Chomage Naturel

et Keynes sont contradictoires à propos du chômage. Pour Friedman ,il existe un taux de chômage naturel et incompressible né de l’inadaptation de certains actifs à remplir les conditions fixés par le marché du travail ,une politique de relance ne peut pas faire baisser ce chômage structurel, mais elle induit une croissance rapide de la demande qui bute à court terme sur la pénurie d’offre qui provoque des tensions inflationnistes. Keynes : le chômage est dû à l’insuffisance de la demande par rapport

Et toi…Qu’est-ce que tu sais faire ? Jeunes diplômés au chômage… Et toi… Qu’est-ce que tu sais faire ? Comprendre le chômage Construire un projet de vie basé sur les compétences propres Lancer des Microprojets à forte valeur ajoutée. Sondes Khribi Khalifa Enseignante à l’IHEC Sousse, plus de 10 ans d’expérience de l’enseignement et de l’entreprise, doctorat en management et psychologie sociale. Spécialiste de l’entrepreneuriat et de la communication. Consultante en entreprises 1

partir de la fin du XIXème siècle A) L’Etat modère les insuffisances du marché, planifie et est entrepreneur dans les pays industrialisés Il remédie aux défaillances du marché qui ont été mises en évidence par MARSHALL et PIGOU : monopoles naturels, fournitures de bien indivisibles, internalisation des effets externes par le jeu des taxes/ primes Pour Keynes l’Etat permet d’obtenir une croissance forte et équilibrée, l’Etat joue un rôle essentiel en décidant des politiques budgétaires et

l’on prend consciemment et il concerne tout type d’activité tandis qu’un risque social est un événement qui provoque à un individu soit des dépenses importantes (exemple : maladie,maternité, …) soit une diminution sensible de ses revenus (exemple : chômage,vieillesse, …) qui nécessite donc une prise en charge collective, un risque social est donc un risque concernant la vie sociale. Evénements qui met en danger un individu et qui sont plus ou moins prévisibles. risque social : prit en charge par la

Introduction I. Idéalement et à long terme, le chômage répond (sic) aux lois du marché et ne peut être que volontaire A. La rationalité et les lois du marché impliquent un chômage volontaire B. Un chômage naturel de plein-emploi volontaire II. En pratique et à court terme, il existe un chômage involontaire A. Un marché vicié facteur de chômage involontaire B. Un chômage involontaire dû à une insuffisance de la demande Conclusion   Le chômage est depuis 1973 un problème particulièrement

qu'il y a des mécanismes d'autorégulation : ils ne résolvent pas le problème du chômage et de l'inflation. Il n'y a pas de déséquilibre possible : d'une part les agents, et d'autre part les producteurs maximisent leurs profits. Mais après la crise de 1929, le chômage persiste, il n'y a pas d'ajustement et une déflation. Il ne résonne pas en terme de marchés mais de circuits économiques qui permettent de réguler le chômage : mise en relation de différentes variables pour améliorer l'éco du pays = analyse

ROYAUME DU MAROC *-*-*-*-* HAUT COMMISSARIAT AU PLAN *-*-*-*-*-*-*-* INSTITUT NATIONAL DE STATISTIQUE ET D’ECONOMIE APPLIQUEE Relation inflation-chômage : Courbe de Phillips. Encadré par : Mr. EL MAAZOUZI Préparer par : Melle AHATTOUCHE Fatima Ezzahra

monétariste. 3. La notion de taux de chômage naturel À la fin des années soixante, Friedman  affirme qu'il existe dans une économie un  taux de « chômage naturel ». Le taux de « chômage naturel » est déterminé par la structure du marché du travail et son fonctionnement (les imperfections du marché,  l'assurance chômage, les syndicats, le  salaire minimum...). Il s'agit pour lui de  dénoncer les dangers d'une politique  monétaire expansive en vue de lutter  contre le chômage, en l'absence d'insuffisance

moyenne par an depuis 1999, repose de manière égale sur son attractivité (entrées moins sorties du territoire) comme sur son dynamisme démographique (naissances moins décès). Cette année encore, la région a connu une année florissante : le solde naturel s'est établi à 16 200 personnes supplémentaires, soit un niveau relativement élevé. Toutefois, il s'est inscrit en recul par rapport à 2006, les naissances ayant reculé et les décès augmenté (respectivement - 1,7 % et + 2,0 %). Concernant l'éducation

(fin XVIIIème siècle - début XIXème siècle). Les économies classiques sont les fondateurs de l’économie politique ayant pour domaine d’étude l’ensemble des activités qui concourent à la production, à la circulation et à la répartition des richesses naturelles. Les fondateurs de ce courant sont : Adam SMITH (1723-1790), David RICARDO (1772-1823), Jean-Baptiste SAY (1767-1832) et Thomas Robert MALTHUS (1766-1834) dont les œuvres s’étalent sur prés d’un demi siècle et marquent profondément successeurs et