Chomage Neo Classiques Classiques Keynes

l'utilitarisme comme une théorie eudémoniste. Toutefois cet eudémonisme n'est pas une caractéristique suffisante pour être le signe distinctif de l'utilitarisme. En effet on retrouve déjà l'idée sur laquelle le bonheur est le bien chez les auteurs classiques tels Platon ou Aristote. Pour mieux saisir la spécificité de l'utilitarisme il faut préciser que les auteurs de ce courant assimilent bonheur et plaisir. En effet pour ces auteurs le plaisir est un synonyme du bonheur. Ceci signifie qu'il considère

influencera un ouvrage majeur, celui d'Alfred Marschall (néoclassique). On peut donc dire que les marginalistes sont les premiers néoclassiques et il y a un certain nombre de différences notables entre les néoclassiques avec la théorie classique. En effet les classiques avaient une vision de long terme avec une perspective dynamique dans laquelle étaient mis en avant les problèmes de l'accumulation du capital. Également ils avaient une vision de la croissance économique et du devenir général du système

publiques, permettant de verser des subventions aux industries naissantes ou en difficulté. Les physiocrates : Premiers à se qualifier d'économistes, surtout en France. Principal auteur : François Quesnay (Tableau Économique en 1758) Inspirés par néo-mercantilistes : Boisguillebert (qui évoque les notions de circuit économique et d'effet multiplicateur dès 1707), Cantillon (développe l'économie urbaine, met en place un circuit économique et monétaire en 1755). XVIIIe Contexte historique :

Approche néo-classique, approche keynésienne Auteurs : B. Dirou, et JP.Testenoire |Approche néo-classique |Approche keynésienne | |L’approche est micro économique : |L'approche est macro-économique : | |Les néo-classiques étudient le comportement des agents économiques individuels |Les

croissants, marché interne/externe| |emploi. |travail, chômage, précarité, flexibilité. |du travail. | Objectifs : comprendre les principales caractéristiques du marché du travail ainsi que les principales mutations de l’emploi. Comprendre ce qu’est le chômage et être capable d’effectuer une analyse critique de ses causes . II) Le chômage Objectifs : appréhender la complexité du phénomène, dans toutes ses dimensions

On raisonne en économie fermée. 1929 : Crise Boursière. Jeudi Noir. Théorie néo classique. On laisse faire le marché. On pense qu’il va s’ajuster automatiquement ; Les USA s’enfonce dans la récession. Il faut mettre en œuvre une politique de grand travaux. Donc, réorientation de la recherche car on s’aperçoit des limites du modèle néo classique. Théorie Keynésienne Rupture de Keynes avec les néoclassique. Keynes considère que les prix sont fixes dans le cour terme. Cela est du a une circulation

2 Les grands courants de la pensée économique Historiquement, on peut successivement distinguer le mercantilisme, le libéralisme de l’école classique, le marxisme, le courant libéral néoclassique, le keynésianisme et enfin des développements contemporains de la pensée libérale néoclassique. 1 LE MERCANTILISME Favorables à l’intervention de l’État, les mercantilistes élaborent, au cours des XVIe et XVIIe siècle, des règles de politique économique visant à attirer et à conserver sur le territoire

II Les théories traditionnelles de la croissance Les nouvelles théories de la croissance puisent une large part de leur idée dans les courants plus anciens. Les classiques, les keynésiens, et les néo-classiques s’intéressent sur une question centrale : une croissance durable est-elle possible ? 1 Les économistes classiques Les premiers à analyser la croissance sont Adam Smith (1776) et David Ricardo (1819). Il résume la croissance a l’accumulation du capital : la quantité des instruments

marxiste qui se veut révolutionnaire au XIX siècle • Une vision keynésienne qui se veut interventionniste, qui met en avant l’intervention de la puissance publique. II. Les grands courants de la pensée économique A. La pensée classique et néo-classique - primauté de l’individu - primauté de l’entreprise - primauté du marché - impossibilité de crise économique - l’état minimal a. La primauté de l’individu La société est conçue comme une collection d’individus rationnels

utiliser une démarche scientifique qui cherche à mettre dans un premier temps en valeur des données objectives, càd des rapports constants qui sont pour les unes des causes et pour les autres des conséquences. Par exemple la fonction de consommation de Keynes donne une réponse sur la propension à consommer. Il y a donc une corrélation entre le revenu d'une nation et sa consommation. Cela permet de construire les modèles, c'est-à-dire des représentations simplifiées de la réalité. La comptabilité nationale