Chomage Structurel Et Frictionnel

ne produit qu’une situation harmonieuse mais il doit rester le régulateur principale de l’activité. Rien de pire pour lui que le collectivisme. Le « fine tuning », c’est-à-dire le réglage fin de l’activité avec une priorité absolue, l’emploi et le chômage. Pour lui la théorie néoclassique qu’il connaît parfaitement n’a aucun intérêt, c’est un jeu qui ne permet pas de comprendre le fonctionnement de l’économie et qui repose surtout sur des hypothèses comportementales complètement fausses. Pensé de Keynes :

historiques (par exemple à la révolution industrielle, aux Trente glorieuses…) étaient fortement souhaitables. Le support théorique minimal exigé était fourni par les analyses du fonctionnement du marché du travail (ajustement walrasien, chômage frictionnel, structurel…, théorie du salaire d’efficience…) ou encore par les analyses de Schumpeter, d’A Sauvy, de la croissance endogène (Romer, Lucas, Barro…). Les résultats obtenus montrent que la préparation suivie par la majorité des candidats a été

Classiques vont considérer que la misère est inhérente au système capitaliste. V- Jean de Sismondi : « principe d'économie politique » il va critiquer les conséquences sociales de l'industrialisation telle qui la connaît en Angleterre qui sont le chômage, les inégalités et la poperisation. Il va dénoncer le libéralisme qui ne se fait qu'à sens unique, en imposant des obligations aux ouvriers. Théorie économique qui montre la possibilité de déséquilibres globaux dans l'économie et donc le possibilité

d’étudier le fonctionnement de l’économie d’un point de vue globale. On s’intéresse ici au macro agent (ex : consommateur) et on met en place des indicateur macro économique (PIB). On s’intéresse aux grandes évolutions des agrégats. Ex : Problème : chômage, crise, inflation concerne la société. - Microéconomique (micro environnement), il s’agit ici d’étudier le comportement des micro agent que sont le consommateur et le producteur et d’étudier les relations qu’ils entretiennent

Théorie keynésienne du chômage La théorie keynésienne se caractérise par l'importance qu'elle accorde à l'explication du chômage involontaire, le seul chômage véritable. Contrairement à l'optimisme candide de la théorie classique, Keynes ne croît pas que notre système économique puisse assurer automatiquement le plein emploi. Le capitalisme moderne, organisé par les marchés boursiers et financiers, lui paraît même moins apte que le capitalisme familial à permettre la convergence des anticipations

rallongement du temps de travail. Des contradictions apparaissent alors : l’augmentation de la plus value entraine : accumulation du capital (la plus value est investie). Augmentation du chômage par substitution capital / travail. Développement d’une « armée de réserve » : les chômeurs. Baisse des salaires (le chômage favorise une baisse des salaires puisque l’offre de travail est supérieur à la demande de travail). Paupérisation (appauvrissement) de la main d’œuvre. Sous consommation des ménages. Crise

réglementation des marchés (exemple: celles vérifiant le respect des règles de concurrence) ; les institutions de stabilisation des marchés (banque centrale) ; les institutions de légitimation des marchés (systèmes de retraite, systèmes d’indemnisation du chômage…). Ces différentes institutions garantissent un ensemble de règles au fonctionnement économique. 2. La croissance économique chinoise s’opère dans le cadre d’un interventionnisme étatique puissant. 3. La démocratie permet aux sociétés de choisir les

INTRODUCTION .......................................................................................................... p. 3 I) L'organisation et gestion du système d’assurance chômage...................... p. 4 A) Le service public de l’emploi ........................................................................................ p. 4 1) La composition ................................................................................................................ p. 4 2) L’intervention .

l’emploisle taux de chomage ets le point de référence, pour l’équilibre exterieur le deficit commercial ou l’excédent en % du PIB est l’instrument de mesure retenu. Ces 4 indicateurs permette de construire un carré magique qui est une representation graphique élaboré par Kaldor en 1930. On porte sur 4 axes la croissance et le solde exterieur dans un sens positive et on place le chomage et l’inflation dans un sens négatif, car plus la performance économique est bonne plus le chomage et l’inflation sont

indicateurs de bien-être discutables. La relation entre quantité produite et qualité de vie n’est pas établie. Ce n’est pas pcq on a plus de biens dans sa vie que l’on est heureux. La réalité, c’est que si on produit moins, les entreprises ferment, donc chômage, donc moins de revenus, donc moins de consommation. En définitive, il faudra considérer les agrégats comme des éléments de décision pour les Etats. D ) La distinction entre microéconomie et macroéconomie : La microéconomie se fonde sur le