Chou frisé

dans le film "Astérix aux jeux Olympiques", quel acteur interprète César ? Alain Delon Quelle plante rimant avec "pastis", sert justement à fabriquer cette boisson ? L'anis Un mauvais journal est familièrement appelé une "feuille de... Chou Quelle partie du théier utilise-t-on pour préparer une infusion de thé ? Les feuilles Quelle actrice joue Cléopâtre dans le film "Astérix et Obélix : mission Cléopâtre" ? Monica Bellucci Quelle pièce de vaisselle associe-t-on communément

réchauffer et, encore tiède, ajouter quelques gouttes d'huile et appliquer sur la hernie. Cataplasme tiède de feuilles de lilas fraîchement cueillies et pilées, passer au feu avec très peu d'huile. (rayé). Prendre 3 feuilles Dacca, 1 feuille pourpier chou de Jaffa, 1 feuille de pissenlit, glisser le tout dans un sachet de toile serrée, faire bouillir dans très peu d'eau, le soir avant de dormir et l'appliquer tiède sur la hernie en position allongée durée une 1/2 h. Faire ce traitement pendant 7 soirs

amie s’appellera Kitty. Idiote. Mon histoire ! on n’oublie pas ces choses-là. Comme on ne comprendra rien à ce que je raconte à Kitty si je commence de but en blanc, il faut que je résume l’histoire de ma vie, quoi qu’il m’en coûte. Mon père, le plus chou des petits papas que j’aie jamais rencontrés, avait déjà trente-six ans quand il a épousé ma mère, qui en avait alors vingt-cinq. Ma sœur Margot est née en 1926, à Francfort-sur-le-Main en Allemagne. Le 12 juin 1929, c’était mon tour. J’ai habité Francfort

close de sa nourriture, il serait mort de faim. Mauvaise affaire : ne pas savoir le matin si on mangera le soir. Un jour, on le voit assis derrière une palissade, dévorant un gros radis, suçant une carotte, ou bien mettant en menus morceaux un chou de rebut. D’autre fois, il geint sourdement en traînant un seau d’eau, allume du feu sous un pot, tire de sa poitrine on ne sait quoi de noirâtre et le jette dans la gamelle. Tantôt dans son recoin, il remue quelque objet en bois, puis il met des

d’avouer ça à un monsieur. « Je vois que vous avez mis de côté les légumes blancs, reprit-il en montrant les navets et les oignons. Tiens, ceux de couleur orange ne voisinent pas avec ceux de couleur pourpre, pourquoi ça ? » Il ramassa une tranche de chou et un bout de carotte, les secoua dans sa main comme des dés. Je regardai ma mère, elle hocha discrètement la tête. « Les couleurs jurent parfois quand elles sont côte à côte, Monsieur. » Il fronça les sourcils, de toute évidence il ne s’attendait

lettres parasites même si elles renvoient à l’étymologie (pourquoi ne pas écrire « filosofie » à l’image de l’italien filosofia ?) et diminuer le nombre de règles que l’on est forcé d’apprendre très tôt. Ainsi pourquoi certains mots (bijou, caillou, chou…) prennent-ils un x au pluriel alors que la marque du pluriel est un s en français ? Ne pourrait-on pas éliminer la règle qui veut que le n se transforme en m devant b, p et m, ne serait-ce que parce que le terme « embonpoint » est à la fois un exemple

de Rosie qui écrit des pe ts mots pendant la classe. Je vous attends jeudi à quinze heures. Mlle Casey Alex, Mes parents ne me laissent pas aller au cinéma ce soir. Je m’ennuie, parce que je suis pas assise à côté de toi. Les cheveux de Lizzie la Frisée m’empêchent de voir le tableau. Pourquoi est-ce qu’il nous arrive des choses comme ça tout le temps ? Rosie ALEX QU’IL Y AIT DU SEXE DANS TA VIE… ET DE LA VIE DANS TON SEXE ! TON AMOUREUSE SECRÈTE XXX Rosie, C’est toi qui a écrit cette carte, je le

parlons, il régnait dans les villes une puanteur à peine imaginable pour les modernes que nous sommes. Les rues puaient le fumier, les arrière-cours puaient l’urine, les cages d’escalier puaient le bois moisi et la crotte de rat, les cuisines le chou pourri et la graisse de mouton ; les pièces d’habitation mal aérées puaient la poussière renfermée, les chambres à coucher puaient les draps graisseux, les courtepointes moites et le remugle âcre des pots de chambre. Les cheminées crachaient une

nous parlons, il régnait dans les villes une puanteur à peine imaginable pour les modernes que nous sommes. Les rues puaient le fumier, les arrière-cours puaient l’urine, les cages d’escalier puaient le bois moisi et la crotte de rat, les cuisines le chou pourri et la graisse de mouton ; les pièces d’habitation mal aérées puaient la poussière renfermée, les chambres à coucher puaient les draps graisseux, les courtepointes moites et le remugle âcre des pots de chambre. Les cheminées crachaient une puanteur

nous parlons, il régnait dans les villes une puanteur à peine imaginable pour les modernes que nous sommes. Les rues puaient le fumier, les arrière-cours puaient l'urine, les cages d'escalier puaient le bois moisi et la crotte de rat, les cuisines le chou pourri et la graisse de mouton ; les pièces d'habitation mal aérées puaient la poussière renfermée, les chambres à coucher puaient les draps graisseux, les courtepointes moites et le remugle âcre des pots de chambre. Les cheminées crachaient une puanteur