Chou rouge

ravageurs: les cochenilles, les araignées rouges, les pucerons Anthurium, Anthure Flamant rose, Langue de feu Anthurium Famille: Aracées Origine: Amérique tropicale, Antilles Période de floraison: toute l'année Couleur des fleurs: blanc, rose, rouge Exposition: lumière claire Type de sol: terreau léger, bien drainé Acidité du sol: neutre à acide Humidité du sol: neutre à acide Utilisation: pot, bac Hauteur: jusqu'à 80 cm selon les variétés Type de plante: fleur Type de végétation: vivace

n'y croyait pas Un rebelle est un rebelle Deux sanglots font un seul glas Et quand vient l'aube cruelle Passent de vie à trépas Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Répétant le nom de celle Qu'aucun des deux ne trompa Et leur sang rouge ruisselle Même couleur même éclat Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas Il coule il coule il se mêle À la terre qu'il aima Pour qu'à la saison nouvelle Mûrisse un raisin muscat Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas L'un

« Le mal » écrit en 1870 par Arthur Rimbaud (1854-1891) extrait du recueil « poésies ». « Le dormeur du val » écrit en 1870 par Arthur Rimbaud (1854-1891) extrait du recueil « poésies ». « Le déserteur » écrit en 1954 (Le Déserteur, est la chanson la plus célèbre de Boris Vian, parmi les 461 qu´il a écrites. Chanson anti-militariste, elle a été écrite à la fin de la guerre d'Indochine (soit le 15 février 1954), juste avant la guerre d´Algérie.) par Boris Vian (1920-1959) « Liberté »

e[ Jules Laforgue - Complainte de l'oubli des morts ] Mesdames et Messieurs, Vous dont la mère est morte, C'est le bon fossoyeux Qui gratte à votre porte. Les morts C'est sous terre ; Ça n'en sort Guère. Vous fumez dans vos bocks, Vous soldez quelque idylle, Là-bas chante le coq, Pauvres morts hors des villes ! Grand-papa se penchait, Là, le doigt sur la tempe, Sœur faisait du crochet, Mère montait la lampe. Les morts C'est discretÇa dort Trop au frais. Vous avez bien dîné

couleur” (l.12) , “liquides blancs, rouges, jaunes, verts” (l.15-16) désignant la vivacité des couleurs et leur gaieté. Puis , “peau brulée” , “ flanelle bleue ou de flanelle rouge” , “rouge ou bleue aussi” (l24-25-26) “l’ardent soleil” (l.26) , notations de couleur présentes dans la seconde partie connotant la bonne humeur, l’harmonie mais aussi le doux éclat de l’été. Puis des sensations olfactives : “ exhalait une odeur de sueur

Le groupe nominal « la tôle bosselée » associé à l’adjectif attribut « chaude » affiche un côté insalubre  , ensuite Vian enchaîne en utilisant des personnifications  pour les machines : le groupe nominal « machine trapue » ainsi que « la gueule rouge sombre des fours de pierres » . Il utilise le groupe nominal « des appareils de toutes les tailles pour donner une impression d’infériorité . 2/Un épisode macabre Vian fait en sorte de banaliser la vue des morts dans cette usine avec les phrases

est sous surveillance constante, des indics dans les rues, des caméras, des micros, des délateurs… Les étudiants sont classés par couleur de l’uniforme qu’ils portent et qui est en rapport avec leurs résultats scolaires. Le violet est le top puis rouge, vert, bleu, brun. Le pouvoir est aux violets et aux rouges. Ils profitent de leurs avantages. Les gens vivent dans la peur des représailles, sont endoctrinés dans ce système. Ils se contentent d’obéir et n’ont plus de libre arbitre. Le système veut

tous leurs habitant, tout le pays à l’entour avec ceux qui l’habitaient, et tout ce qui avait quelque verdeur sur la terre. Genèse I La voyez-vous passer, la nuée au flanc noir ? Tantôt pâle, tantôt rouge et splendide à voir, Morne comme un été stérile ? On croit voir à la fois, sur le vent de la nuit, Fuir toute la fumée ardente et tout le bruit De l’embrasement d’une ville. D’où vient-elle ? des cieux, de la mer ou des monts ? Est-ce le char

de nombreux portait de ses amis comme celui de Michel Foucauld. Ses travaux sont souvent formés à partir de peinture avec ou sans photo et fonctionnent en série. Il commence la série des « Pétrifiés  en 1963 ». Les séries s’enchaînent ensuite « le rouge  » entre 68 et 70 ; « Boulevard des Italiens » 1971 ; «  Le peintre et le modèle  » 1972 ; « le désir est partout » 1974 etc. Depuis l’exposition de la série « Tout est allumé » 1978-1980 au musée national d’Art moderne Centre George Pompidou il partage

Remarques quant à l’ouverture du roman et du film Les deux œuvres présentent une vision différente de la mondanité. Par le jeux de successions des lettres (Cécile à Sophie lettres 1-3 / Merteuil et Valmont lettres 2-4). Laclos met en évidence la bipolarité du monde. D’un côté se trouve l’innocence et la sagesse de l’autre, le libertinage et ses mesquineries. Ans le film, seul le monde des apparences est donné à voir et il y a une forte insistance