Christianisme orthodoxe

institutions religieuses (le pape, le clergé, l’Eglise) et le dogme catholique, la doctrine officielle. L’hérésie est considérée comme un poison, une souillure. Pour donner quelques exemples d’hérésie, il y a « les humiliés » qui sont des mendiants non-orthodoxes qui ne sont pas dans le respect de l’Eglise. Ils refusent les vœux monastiques et ne se soumettent pas au pape mais disparaissent au XIVème siècle. On trouve aussi les Vaudois, une préfiguration du protestantisme qui apparait au XIIème siècle. Les

territoire « sacré » Les différents cadres territoriaux chrétiens (diocèse, royaume, Chrétienté) Première partie : Les fondements d’une sacralité commune (v.300- v. 800) 5 siècles qui préparent un total renversement des valeurs au sein du christianisme : Tout d’abord il y a réticence de la part des Chrétiens à toute forme de matérialisation du divin. Cf saint Augustin La Cité de Dieu -> le vrai temple n’est pas de ce monde. L’église-bâtiment n’a pas un statut d’exception jusqu’au VII-VIIIème

comme un personnage sacré du fait de son ascendance qui remonterait aux rois bibliques Salomon et David selon la tradition éthiopienne, mais également par la signification de son nom de naissance, comme de celui choisi par les prêtres de l'église orthodoxe éthiopienne pour son sacrement. Le choix et la signification des noms ont en effet une importance primordiale dans la culture africaine. Le mouvement rastafari est assimilé par certains à une religion, par d'autres à une philosophie, voire à une

tardif et christianisme o 2.2 Moyen Âge o 2.3 Temps modernes o 2.4 Époque contemporaine : l'apparition du mariage civil * 3 Le mariage comme institution * 4 Raisons du mariage * 5 Ethnologie o 5.1 Mariage et localité * 6 Cas particuliers o 6.1 Le mariage homosexuel o 6.2 Le mariage posthume o 6.3 Les mariages mixtes * 7 Le mariage religieux o 7.1 Judaïsme o 7.2 Christianisme

l’ISESCO, Dr. Abdulaziz Othman Altwaijiri ; le Député-Maire de Toulouse et l’ancien Ministre de la Culture en France, M. Philippe Douste-Blazy ; la Lauréate du Prix Nobel de la Paix 2003, Mme Shirin Ebadi ; le Métropolite de la Communauté Grecque-Orthodoxe de Beyrouth, Mgr. Elias Audi ; et la Présidente de l’ADICR, Mme Samar Sassine ainsi que d’autres personnalités intellectuelles, politiques, religieuses ont participé à l’inauguration de la conférence qui s’est tenue les 24 et 25 février 2004, elle

il n'a eu de cesse de chercher à savoir comment les événements, aussi subtils soient-ils, devenaient culture. Retiré du monde public depuis 1999, il s'est éteint en 2007 dans sa Rochelle natale. Biographie Mircea Eliade Né dans une famille orthodoxe catholique dont le père était officier de l’armée, Mircea publie son premier livre à quatorze ans ‘Comment j’ai découvert la pierre philosophale’. Après avoir obtenu son diplôme en philosophie de l’Université de Bucarest en 1928, Eliade part étudier

avant JC : Jules César et Vercingétorix à Alésia. Explication : César, chef des Romains bat Vercingétorix, chef des Gaulois, à Alésia. Cela marque la fin de la civilisation gauloise et la conquête de la Gaule par les Romains. I° s : début du christianisme Explication : Le prophète Jésus-Christ annonce une nouvelle religion monothéiste dans tout l'empire romain. Progressivement elle remplace la religion polythéiste des Romains. Elle devient la religion officielle au IV° s. I et II° s : la paix

religions dites primitives ou animistes, les religions orientales (hindouisme, bouddhisme, shintoïsme, confucianisme, taoïsme…) et les religions monothéistes issues de la Bible (judaïsme, christianisme, islam), le christianisme ayant lui-même donné naissance à plusieurs religions ou Eglises chrétiennes (catholique, orthodoxes, protestantes, évangélique…) Etymologie Le mot religion est dérivé du latin "religio" (ce qui attache ou retient, lien moral, inquiétude de conscience, scrupule) utilisé par

l’universel et le général (vrai à un endroit donné) crée une tension très forte. Le philosophe dynamite la pensée générale. * Le monde judéo-chrétien : -monothéisme, vient du monde juif, seule société à proposer le monothéisme, duquel découle le christianisme (et l’islamisme) -le messianisme, attitude d’attente et non d’évidence (où tout est déjà donné, transmission du passé vers le présent). Le messianisme devient une attitude d’attente de la réalisation de la promesse, rejoint l’attitude chrétienne

3. La question religieuse (§6 à 8 ) On touche ici à la caractérisation du religieux comme ordre des grandeurs et des principes réglant l’estime et la valeur des hommes. La force du christianisme a été de suggérer que les premiers dans l’ordre de la nature pouvaient bien être les derniers dans l’ordre de la Grâce ; il y a liberté quand la société cesse d’être homogène, mais laisse vivre un dédoublement des “valeurs”. La critique des principes religieux, leurs dissociations de simples préjugés communautaires