Chômage Conjoncturel

Courbe de philips : Mise en évidence en 1958, la courbe de Phillips est une courbe illustrant une relation empirique négative (relation inverse) entre le taux de chômage et l'inflation. Elle dérive des travaux de l'économiste néo-zélandais Alban William Phillips mettant en relation le chômage et la variation des salaires nominaux ; l'augmentation des salaires nominaux est source d'inflation, car elle accroît les coûts de production des entreprises et celles-ci se voient alors contraintes de rehausser

Chômage Introduction La macroéconomie, partie de la science économique qui étudie le comportement des agrégats, tels que le produit national brut (PNB), le revenu, la balance des paiements, l’inflation & le chômage, qui est l’objet de notre exposé aujourd’hui. 2 Définition du chômage Chômage, période d’inactivité forcée qui caractérise la situation de personnes capables, disponibles et désireuses de travailler mais qui ne parviennent pas à trouver un emploi. La diversité des définitions

Sociologie travail et mode de vie : Le problème des états comme le notre est de faire un équilibre entre les dépenses et les revenus. Dans le système que l’on connait, quand le chômage est élevé on ne peut pas se contenter de prendre aux salariés. Il faut trouver des financements autres (débat politique actuel).En France, on cherche à maintenir le système de régulation social qui s’est construit après la guerre. Si l’on sort du marché du travail, il y aura normalement toujours des prestations à

CHAPITRE 2 : ETUDE DE DEUX GRANDS DOMAINES D’INTERVENTION PUBLIQUE L’EMPLOI ET LA REPARTITION. THEME 1 : EMPLOI, PLEIN EMPLOI ET CHOMAGE 1. Le niveau d’emploi se détermine sur le marché du travail. Cette approche correspond à l’approche néo-classique (pour les keynésiens il n’y a pas de marché du travail) qui se situe dans le courant libéral de l’économie. Dans cette approche, le travail est une marchandise comme les autres qui s’échange sur un marché. Dans l’optique néo-classique c’est la flexibilité

libéraux vont plus loin encore : Locke et Hume n’envisagent aucune intervention de l’Etat dans les affaires économiques. ------------------------------------------------- NÉO-CLASSIQUES Les néo-classiques considèrent qu’il ne peut exister de chômage durable car le marché crée automatiquement un équilibre entre l’offre et la demande de travail. Ainsi, le plein emploi est automatiquement atteint si rien ne vient perturber le marché. En effet, si à un moment donné, l’offre de travail (par les travailleurs)

fonctionnement sont détruits car anciens et devenus non rentables et de l’autre création de nouveauté pour les remplacer. => pas de chômage en pratique .mais thèse de Fourastié : le PT-> chômage temporaire + besoin de reconversion (nouvelles formations) .mutations sectorielles des emplois

politique économique et sociale doit faire face à de nombreuses contraintes.. 1) La politique sociale est confrontée à des problèmes : a) Au niveau national : • Problème de financement : En raison de la récession et de l’augmentation du taux de chômage, l’assiette des revenus sur laquelle sont appliqués les taux de cotisation sociale, augmente plus faiblement ; cela ralentit la croissance des recettes sociales. En revanche, la crise engendre une augmentation importante des dépenses sociales. Cet

d’emploi : le taux de chômage 2. La nature des cycles économiques Les mouvements économiques peuvent être « acycliques » (c'est-à-dire résulter d’évènements non économiques tels que les guerres, les catastrophes naturelles, etc.) ou « cycliques », dus essentiellement à des causes économiques, en produisant des variations qui se manifestent de manière répétées, à intervalles plus ou moins réguliers et en alternance de périodes d’expansion ou de dépression (mouvements conjoncturels). 3. Les

abordés seront l’inflation, le chômage etc… C’est dans les années 30 que les éco ce sont dit il nous faut un outil et c’est la macroéconomie. La macro c’est des questions au niveau nationale il suffit de faire la somme des questions d’ordre micro. Pas du tout la combinaison des comportements individuels  situation collective inattendue. Embouteillage paradoxe de l’épargne. Augmentation de l’épargne  baisse de la conso  baisse de l’investissement  augmentation du chômage C’est notre comportement

  réduite.     Lorsque  l’offre  d’emploi  augmente,  les  salaires  augmentent  pour  attirer  les  demandeurs   d’emploi.     Sur  ce  marché  on  considère  que  le  chômage  est  essentiellement  volontaire.  La  flexibilité  des   salaires  entraine  un  équilibre  permanent  sur  le  marché  du  travail.       •  Pour  les  keynésiens  :