Cibles De La Critique La Cour Du Lion Jean De La Fontaine

• Introduction : L’apologue, bref récit imagé illustrant une morale, est pratiqué par de nombreux auteurs soucieux de convaincre leurs lecteurs en recourant à cette forme littéraire plaisante et efficace. La Fontaine, dans ses Fables, y voit le moyen d’instruire sans lasser : « Une morale nue apporte de l‘ennui ; le conte fait passer le précepte avec lui ». Son mot d’ordre, plusieurs fois affirmé, est en effet de « plaire tout en instruisant ». Comment peut-on penser l’articulation entre

lecteurs n’auraient peut être pas eu accès a ses messages si le texte aurait été sous une forme plus sérieuse. “ Ces bandières, comme le dit La Fontaine dans sa “Préfacé” à ses Fables, ne sont telles qu’en apparence; car dans le fond, elles portent un sens très solide”. On pense alors au l’âne qui a pérît lors d’un sacrifice. La peste ayant frappe leur pays, le lion qui représente le roi décidé qui faudrait un sacrifice afin d’obtenir une “guérison”. Chaque animal raconte donc ce qu’il a sur la conscience

peuvent être utilisés dans la littérature engagée. On la retrouve en effet dans des contes philosophiques (l’Ingénu de Voltaire ou celui-ci critique le pouvoir religieux en France), dans des pièces de théâtre (Don Juan de Molière qui critique lui aussi la religion), dans des fables (La Cour du Lion de Jean de La Fontaine qui se moque directement de Louis XIV et de la cour), dans des romans (Germinal d’Emile Zola qui dénonce les inégalités sociales), dans la poésie (Les Châtiments de Victor Hugo qui s’attaque

Livres V à X, Caractères , 1688, Jean de La Bruyère : La comédie sociale. Jean de la Bruyère (1645-1696), est né dans une famille de juristes. Après des études de droits, et l’obtention d’un héritage qui va l’anoblir, il devient le précepteur du Duc de Bourbon. Sacrifiant à l’esthétique classique, en 1688, il fait paraître, seul, les Caractères ou les Mœurs de ce siècle , de manière

Séance 3 : Les Obsèques de la Lionne Fables de la Fontaine N.B : Le premier recueil est dédié a monseigneur le Dauphin, fils de Louis XIV. Le deuxième (1668-1694) est une dédicace à Madame de Montespan (la maitresse en titre du roi). Elle est mariée au marquis de Montespan, qui toute sa vie, refusera cette situation de cocu royale. Il va ajouter à ses armes deux énormes Cornes de Cerf qui exhibent aux yeux de tous, sa qualité de cornard. Jean de la Fontaine (1621-1695) commence sa carrière

protestantisme. Ronsard n'est pas ouvert d'esprit et n'accepte pas que quelqu'un pense différemment de lui. Texte 2 : Jean de La Fontaine, « Les deux Coqs », 1678, classicisme Introduction : La Fontaine est un auteur classique, il s'inspire d'auteurs grecs (Ésope) et latins (Phèdre) pour écrire ses œuvres. Sous le règne de Louis XIV, il met en place à travers ses fables une critique de la société. Les fables appartiennent au sous genre de l'apologue, court récit illustrant une morale. L'apologue répond

de Naples et pour agir librement en Italie, il donna le Roussillon à l’Espagne et L’Artois ainsi que la Franche-Comté à l’Autriche mais son expédition en Italie échoua complètement. La guerre de 100 ans oppose l’Angleterre à la France Jeanne d’Arc est une paysanne française qui parlait à Dieu et allait trouver le roi pour aider à chasser les Anglais de la France. Elle est dite « pucelle d’Orléans ». Née à Domrémy, petit village de Lorraine, sur la Meuse, en 1412. Brûlée à Rouen[1] en

pas qu’ils se fassent tuer. Rimbaud accuse l’état d’envoyer sa population à la boucherie tout en restant, lui le chef dirigeant, représentant de l'état, bien à l’abri à l'arrière. Cependant il ne s'arrête pas à une simple critique de l'état, Rimbaud attaque aussi l'église et Dieu lui-même. Il exprime son doute vis-à-vis d'une quelconque entité supérieure, car si Dieu existait, alors celui-ci devait probablement se moquer des pauvres mortels qu'il avait envoyés sur terre ;

Cercamon ("celui qui court le monde") et Marcabru (surnommé "pain perdu") de simples jongleurs sans doute très pauvres. L'un des principaux troubadours de la deuxième moitié du XIIe siècle, Bernard de Ventadour, qui suivit Aliénor d'Aquitaine à la cour Angleterre, était d'origine assez humble, fils d'une servante du château de Ventadour. | Certains troubadours sont des femmes, les trobaïritz, la plus connue étant la Comtesse de Die. Le terme troubadour (trobador en occitan) vient du verbe trobar

qui a pris au début du siècle la forme de poésies gaillardes ou burlesques qui désacralisaient sans façon la femme et l’amour. Si la poésie amoureuse de Malherbe recourt parfois à quelque formules pétrarquistes, on y entend souvent, selon les mots de Jean-Pierre Chauveau, « une rudesse bravache et virile », « protestation bourrue contre le féminisme de la tradition poétique ». Mais ce qui importe dans ces poèmes, n’est-ce pas la densité des formules et des rythmes qui faisaient dire à Baudelaire : «