Cicéron Le Gouvernement Idéal

Etat-citoyen contradictoire au niveau économique. Comment offrir une cité idéal, et a travers quel gouvernement ? Conflit sur le droit de propriété, au niveau juridique. Platon communiste // Aristote attaché à la propriété. Doit-elle être collective, ou individuelle ? Les grecs sont très partagés. 1 Platon Platon est à l’origine de 2 idées relatives à l’organisation économique de la cité : au travers de 2 œuvre : La République (cité idéal) et Les Loi Athènes est sur la voie du déclin. Une des 150 cités

entre la règle de droit, et les autres règles de conduites sociales. › Le jus-naturalisme a pour postulat de départ la considération du droit positif (droit en vigueur dans un pays à un moment donné) entant qu’incarnation et reflet du droit naturel, idéal de justice, il n’est réellement droit que ce qu’il lui est conforme. Dés lors, le droit cesse d’être respectueux et les citoyens sont autorisés à le combattre. Identification du droit naturel :  L’antiquité gréco-romaine. Les philosophes faisaient

Bodin, né en 1529 à Angers et mort en 1596, à Laon, est un jurisconsulte, philosophe et théoricien politique français, qui influença l’histoire intellectuelle de l’Europe par la formulation de ses théories économiques et de ses principes du « bon gouvernement ». Il est considéré comme l’introducteur du concept moderne de souveraineté. Sur certains points, il se fit l'avocat d'une plus grande tolérance religieuse, soumise à une plus grande autorité royale. On cite souvent de lui l’aphorisme « Il n’est

des hommes, se bornaient à tenir leur rôle d'épouse et de mère, et n'étaient pas autorisées à avoir de relations entre elles. Mais des voix se font de plus en plus entendre pour condamner toutes formes d'homosexualité, c'est notamment le cas de Cicéron. Et peu à peu les lois romaines vont se montrer de plus en plus sévères envers les gays. Ainsi, la Lex scatina de 226 punit d'une amende l'amour entre deux hommes libres. 3. Le christianisme et les premières persécutions　: En 313, le christianisme

Antigone de Sophicie : conflit légalité/légitimité. Platon (disciple de Socrate) fut révolté par la condamnation à mort de son maître, pensant qu’il était le plus exemplaire des citoyens. Les lois doivent être conformes à la Raison, dans la cité idéale les philosophes devraient être ceux qui gouvernent la cité, en étant l’auteur des lois également. Aristote, disciple de Platon va élaborer une conception et va la développer. Il affirme le droit naturel, conforme à l’ordre immuable de l’univers

s’il existe il n’est pas pour autant facile d’en user et le sens de l’existence s’en trouve perturbé. Si nous sommes libres de tout choisir, l’existence n’a de sens que celui que nous lui donnons. Pourtant les hommes choisissent des religions, des idéaux utopiques et ils inventent un monde fiction dans lequel la signification serait préétablie et fixe. Auraient-ils peur de la liberté ? Pouvoir choisir n’implique pas nécessairement qu’on sache comment le faire. Transition : L’homme est-il vraiment

publicum (= droit profane) On trouve cette distinction sous la plume d’Ulpien dans Le digeste (= compilation sous le règne de Justinien 530 avant J-C) au IIIème siècle de notre ère. «Le droit public est ce qui concerne l’administration du gouvernement romain et le droit privé est en relation avec les intérêts des individus » // « Le Prince est délié des lois » (maxime romaine). · Droit public è cultes, sacerdoces (fonction de celui qui a le privilège du sacre), magistrature (celui qui détient

cette justice, est qu’elle repose sur un jugement de valeurs morales et sociale des différents individus. Cc l : La place de la justice dans le droit - > double limite. • C’est une notion trop floue pour pouvoir constituer autre chose qu’un idéal qu’il appartient ensuite de traduire en règle juridique. La justice est une des finalités du droit, elle est une fin et non un moyen. • La justice n’est pas la seule finalité du droit, elle est devancée par d’autres objectifs poursuivis par le

derrière toute une pensée. Les idées du Code Civil ont pour l’essentiel été empruntées à la Révolution, ainsi, au 19ème siècle et jusqu’au début du 20ème, il suscite deux jugements différents, deux réactions différentes : Tantôt il apparait comme un idéal. Il s’agit là de la vision des courants libéraux. Tantôt il apparait comme un repoussoir du point de vue des contre-révolutionnaires. Cette distinction est très nette en 1915 après la chute de Napoléon Bonaparte. Là où le code a été imposé, soit il

possibilité d'exercer son travail dans la paix sociale. On peut faire remonter à Machiavel un tel détachement de la politique par rapport à l'éthique. A la différence de la doctrine classique, la doctrine moderne de la politique ne situe plus son idéal dans la pédagogie d'une vie conforme au bien et à la justice, mais dans la possibilité de coopérer dans un cadre correctement organisé selon des critères devant garantir la paix civile. 2.- Sur le deuxième point : la rationalité de l'action politique