Ciel de traîne

évidemment référence à l’attentat des deux tours jumelles du 11 septembre 2001. Le cadrage limite le lecteur à deux tours tronquées, de la fumée qui s’en dégage et un ciel en fond. Cette sobriété évoque des souvenirs dans l’esprit de chacun. L’instant capturé par l’artiste oppose le calme pesant extérieur de ces deux tours en train

notre passion.Seul constructeur au monde d’avions et de trains, nous avons bâti un portefeuille complet et diversifié de solutions de mobilité gagnantes. Partout où les gens se déplacent, que ce soit sur terre ou dans le ciel, il y a un produit Bombardier pour les transporter. De nos biréacteurs d’affaires ou nos avions commerciaux, définissant les normes de leur catégorie et conçus pour relever les défis d’aujourd’hui, à nos élégants trains à grande vitesse ou nos systèmes de transport en commun

par le ciel rouge qui symbolise le feu des crématoires Les couleurs dominantes du tableau : le gris, le vert, le bleu dominent (couleurs plutôt froides) et tranchent avec rouge/orange (chaudes) Composition générale du tableau (allure générale donnée par l’organisation de la scène sur le tableau) : Structurée, la scène principale est mise en valeur par le fantôme qui plane, les visages en souffrance sont particulièrement mis en lumière (blafards). Le ciel rouge-orangée vient allumer le ciel d’une

qualité) et a été prise avec un Leica (photo) qui est une innovation de l’époque car il est petit et léger donc le photographe le transporte plus facilement.! ! On peut voir qu’elle est prise en fin d’après midi grâce a l’ombre du soldat. Mais le ciel est couvert donc les gris sont plus dominants, seule deux taches blanches se démarquent : la chemise et l’oreille du soldat.! ! C’est un plan moyen car le soldat est pris des pieds a la tête il est décentré à gauche et chute.! ! La partie droite

Mariane Je crois... Madame Pernelle Mon Dieu, sa sœur, vous faites la discrète, Et vous n’y touchez pas, tant vous semblez doucette ; Mais il n’est, comme on dit, pire eau que l’eau qui dort, Et vous menez sous chape un train que je hais fort. Elmire Mais, ma mère... Madame Pernelle Ma bru, qu’il ne vous en déplaise, Votre conduite en tout est tout à fait mauvaise ; Vous devriez leur mettre un bon exemple aux yeux, Et leur défunte mère

Montre l’aspect majestueux de l’animal qui domine le ciel. • Champs lexical de la souplesse : « indolents » (l.3), « glissant » (l.4), « volait » (l.12) => L’agilité de l’oiseau accentue sa beauté. • Champs lexical de la maladresse : « maladroits » (l.6), « gauche » (l.9), « infirme » (l.12) => Contradiction avec la souplesse de l’oiseau dans les airs. • Champs lexical de la faiblesse : « honteux » (l.6), « piteusement » (l.7), « traîner » (l.8), « veule » (l.9). => Contradiction avec la splendeur

désirs » ou « Je reçus d’elle des marques d’amour » tendent à assimiler ce contact à une étreinte amoureuse. B) Le pathétique de la scène : Le récit d’un mort-vivant : « Un récit qui me tue » ; « Toute ma vie est destinée à la pleurer » ; « J’ai trainé, depuis, une vie languissante et misérable. Je renonce volontairement à la mener jamais plus heureuse ». Trois références temporelles se mêlent : le moment de la mort de Manon, le moment du récit à Calais et l’avenir : il permet de constater à quel

province basque de Biscaye. Le 26 avril 1937, Guernica est particulièrement peuplé, de nombreux réfugiés des environs sont venus dans l'espoir de pouvoir fuir en train et c'est le jour du marché. La petite ville est alors la cible d’un raid aérien allemand. Les premières bombes explosent à 16 H 30. Les derniers avions quittent le ciel de Guernica vers 19 H. Les 50 appareils de la légion Condor ont lâché 50 tonnes de bombes incendiaires et ont fait plus de 1800 morts et plus de 800 blessés sur 6000

l'ombre immense et sous le ciel béni, Quelque chose d'heureux chanter dans l'infini . Victor Hugo, Toute la Lyre, 1888 « Automne malade » Automne malade et adoré Tu mourras quand l’ouragan soufflera dans les roseraies Quand il aura neigé Dans les vergers Pauvre automne Meurs en blancheur et en richesse De neige et de fruits mûrs Au fond du ciel Des éperviers planent

Infidélité qui sera de nouveau montrée dans l'acte II où Don Juan tente de séduire 2 paysannes quasiment en même temps et ce aux dépends de Pierrot un paysan qui venait d'avouer son amour pour Charlotte à celle-ci, le paysan surprendra Don Juan en train de séduire son aimée et demandera au noble de la laisser mais Don Juan résiste et va jusqu'à gifler Pierrot ce qui nous fait remarquer la méchanceté voire la cruauté du personnage. Dans la pièce Don Juan fera pas d'autre conquêtes féminines mais