Ciel Paie

terrifié, si troublé, c’est impossible j’ai rien sentis rien de rien. _ Aidez-moi je vous en prie ! Il y a quelqu’un ? Eh oh ? _ O diable céleste ! Qu’est ce bruit étrange et bizarre ? Tout bascule à l’instant même où je l’entendais. Subitement, le ciel devint nuageux, les ténèbres accompagnèrent les orages et le vent soufflait et sifflait, il était si vigoureux. Intrigué et perdue je partis immédiatement vers sa voix. Il était difficile pour moi de la repérer sans aucune odeur. _ S’il vous plait

tu es Saint, tu es Saint, Oui, tu es Saint ! Le ciel et la terre sont remplis de ta gloire, tu es Saint, tu es Saint, Oui, tu es Saint ! 4. C’est toi que les apôtres glorifient

météores. 
 Et, comme s'il naissait de la nuit deux aurores 
 Dans le même ciel bleu, 
 Nous vous verrous sortir de ce gouffre où nous sommes, 
 Mêlant vos deux rayons, fraternité des hommes, 
 Paternité de Dieu !
 
 Oui, je vous le déclare, oui, je vous le répète, 
 Car le clairon1 redit ce que dit la trompette, 
 Tout sera paix et jour ! 
 Liberté ! plus de serf et plus de prolétaire2 ! 
 Ô sourire d'en haut ! ô du ciel pour la terre 
 Majestueux amour !
 
 L'arbre saint du Progrès, autrefois chimérique3

"peuple muet d'infâmes araignées" (vers 11), son cerveau n'est plus qu'une toile d'araignée. 3) L’image de l’enfermement On constate que la prison, d'abord extérieure au poète en proie au spleen, finit par être intérieure, avec : le fait que le ciel soit un couvercle qui enferme l'esprit à la manière d'un cercle. Ou encore avec la pluie qui dessine une immense prison, vaste (vers 10) mais extérieure. La prison finit par s'installer à l'intérieur de l'homme. La prison devient psychique; filet dans

venue chez nous, assis dans le salon en train de chanter tristement autour de maman qui dormait. Je me souviens que tante Bernadette, m’a pris dans ces bras, m’a posé sur le lit de ma maman et m’a demander lui dire au revoir parce qu’elle allait au ciel … Voilà, je me souviens …

mère quelle que heures au paravent. Une fois arrivé au sommet des crêtes elle grimpa sur le rocher ou elle s’était assise cette après-midi et s’y allongea confortablement emmitouflé dans la couverture qu’elle avait emportée avec elle. Elle admirait le ciel emplit d’étoiles brillant de mille feux. Rassasiée de beauté elle se leva voulant regagner sa maisonnette elle s’engagea sur le sentier puis marcha, au bout de dix minutes elle trouva le chemin bien moins praticable qu’a son arriver puis au loin elle

De l'hiver qui hérisonne, N'égalât le chaud passé Du beau printemps qu'il ordonne L'humeur guide de la nuit, L'ombre, le froid, le silence, N'étaient lors en plein minuit En leur première ordonnance ; Tout caressait cet enfant, Le ciel, la mer et la terre, Qui de l'enfer nous défend Et à la mort fait la guerre. Afin que rien n'offensât La chair encor tendrelette Et le froid ne transperçât La petite bandelette. Mais, Seigneur qui eût osé, Qui eût voulu entreprendre

la flamme est fumée. Rien n'est, hors du moment, L'homme n'a rien qu'il prenne, et qu'il tienne, et qu'il garde. Il tombe heure par heure, et, ruine, il regarde Le monde, écroulement. L'astre est-il le point fixe en ce mouvant problème ? Ce ciel que nous voyons fut-il toujours le même ? Le sera-t-il toujours? L'homme a-t-il sur son front des clartés éternelles ? Et verra-t-il toujours les mêmes sentinelles Monter aux mêmes tours ? [...]Les étoiles, points d'or, percent les branches noires

sentait sa tête tourner il se sentait de plus en plus mal sur le point de s’effondrer, mais il devait découvrir l’origine des distorsions qui l’entouraient. Une fois a environ un mètre du dit point il découvrit un superbe pentacle de la couleur du ciel assombri contenait un gros cercle coupé par des cercles plus ou moins séparées, puis un cercle contenant des inscriptions étranges puis un cercle encore plus petit contenant d’autres inscriptions d’un langue probablement venue d’un autre monde reliant

l’ascension du club vers le ciel. Je déportais alors mon corps de la balle comme si, saisi par une lâcheté soudaine je décidais de ne pas frapper ce coup, mais alors que mes mains passaient la hauteur de mes épaules je me souvins alors que sur terre une balle m’attendais prête a fusée à travers tous obstacles pour pleuvoir sur le fairway. Me pliant aux lois de la gravité, mon corps se fit alors aspiré par une force mystérieuse qui ne voulait pas que je monte plus haut que le ciel, je cédai alors ne pouvant