Ciel

vieux noir qu'admirait l'univers Trahi par les Français, jaloux de sa vaillance Le noir fut dans ce fort jeté les pieds au fer. Méprisant d'un consul l'atroce barbarie Il répétait toujours:" Je meurs pour mon pays!". Mais une nuit, pensant au ciel de la patrie, A sa femme, à ses fils, à ses champs de maïs Le guerrier s'écria dans un accent sincère: "O mon pays! Mon coeur à tes doux souvenirs, Ne peut gémir encore sur la terre étrangère La voûte du cachot entend trop mes soupirs. Le général

Lrn lrabirtnr 2 Maghicb xctuel, rLr Mo),en Age un Ilerbère ilpparrenanr dLr au peuple conrluéranr de l'Espagne. Par exrension, )"adje«if nlnuqn signiiie ici Qu'elle vienne inspir:er, ranimer, ô génies, Mes r:hansons? comlle urn ciel cl 'arrtoilrre rcmbrnnies, rs Et jerer dans rnes yeux son magrclue reflet, Et longternps, s'éreignant en runtelrrs étor.rffées, Avec les mille tor_rrs de ses palais c{e fées, Bmmeuse, denreler' 1'horizon violcr ! li :;r ptr-,ntl.rrc lll2[.i.

Il pleut sur Nantes, donne-moi ta main. Le ciel de Nantes rend mon coeur chagrin Un matin comme celui-là, Il y a juste un an déjà, La ville avait ce teint blafard, Lorsque je sortis de la gare. Nantes m'était alors inconnu, Je n'y étais jamais venue. Il avait fallu ce message Pour que je fasse le voyage: "Madame, soyez au rendez-vous, 25, rue de la Grange-aux-Loups. Faites vite, il y a peu d'espoir; Il a demandé à vous voir." A l'heure de sa dernière heure, Après bien des années d'errance, Il

papillonNaître avec le printemps, mourir avec les roses,Sur l'aile du zéphyr nager dans un ciel pur,Balancé sur le sein des fleurs à peine écloses,S'enivrer de parfums, de lumière et d'azur,Secouant, jeune encor, la poudre de ses ailes,S'envoler comme un souffle aux voûtes éternelles,Voilà du papillon le destin enchanté!Il ressemble au désir, qui jamais ne se pose,Et sans se satisfaire, effleurant toute chose,Retourne enfin au ciel chercher la volupté!

mélancolique et langoureux vertige ! Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir ; Le violon frémit comme un cœur qu’on afflige ; Valse mélancolique et langoureux vertige ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. Le violon frémit comme un cœur qu’on afflige, Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir ! Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir ; Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige. Un cœur tendre, qui hait le néant vaste et noir, Du passé lumineux recueille

hanches et ses formes si voluptueuses . Nous laissions nos corps se découvrir jour après jour sans se soucier du monde qui nous entourait , j’aimais à penser que nous étions seuls au monde , seuls dans ce champ de fleurs , où le ciel nous donnait toute sa chaleur. Ce ciel crépuscule aux couleurs nacrées venant à la rencontre du champ de coquelicots . Quand la nuit tombait , les fleurs devenaient nuages …ou était-ce les nuages qui devenaient fleurs ? Peu importe ,c’est à ce moment précis que nos

A quoi bon vivre, étant l'ombre De cet ange qui s'enfuit ? A quoi bon, sous le ciel sombre, N'être plus que de la nuit ? Je suis la fleur des murailles Dont avril est le seul bien. Il suffit que tu t'en ailles Pour qu'il ne reste plus rien. Tu m'entoures d'Auréoles; Te voir est mon seul souci. Il suffit que tu t'envoles Pour que je m'envole aussi. Si tu pars, mon front se penche ; Mon âme au ciel, son berceau, Fuira, dans ta main blanche Tu tiens ce sauvage oiseau. Que veux-tu

I / LA DOUBLE PERSONNALITE DE TARTUFFE 1) Un irréprochable dévot Tartuffe est avant tout un dévot. Dès son entrée en scène, on peut déjà relever le vocabulaire de la dévotion dans sa première réplique : « Priez » , « Ciel » , « illumine » , « aumônes » , « partager » , « deniers ». Tartuffe apparaît donc pour la première fois devant le spectateur comme un personnage généreux et avant tout comme un bon chrétien. De plus, le premier vers, « Laurent, serrez ma haire avec ma discipline », montre

des verbes d’action : « promenais, m’en aperçus, couchai ». Il livre uniquement ses sens et son cœur. Il a également un autre élément de bonheur : il s’imagine dans un lit à baldaquin avec «le ciel de lit », «niche » qui évoque le caractère douillet et sécurisant, «les têtes des arbres » qui retiennent le ciel du lit. Finalement, il nous décrit un refuge maternel avec les rossignols pour berceuse. C’est plus qu’une simple nuit mais une renaissance. La naissance traumatisante où sa mère est morte devient

fait connaître ce qu’est la chose. SES ŒUVRES LES PLUS CELEBRES -Oraganon, -De Anima, -Parva Naturalia -Physique, -Métaphysique , -Au traité du ciel, -Météorologieques, -De la génération et de la corruption. ORGANON :signifie instrument de travail. C’est un ensemble de traité principalement de logique. EXTRAIT DE AU TRAITE DU CIEL : Par conséquent, les composés actuels se dissoudront un jour et ce qui a été dissons était antérieurement composé . Or cette alternative s’est produite