Cimetière juif

qui assure d’une conversion de La Fontaine lors de cette maladie et d’un reniement public de ses contes devant une délégation de l’Académie. Néanmoins, cet événement ne figure aucunement sur les registres de l’Académie. La Fontaine est enterré au cimetière du Père-Lachaise, depuis le transfert de sa dépouille en 1817, en même temps que celle de Molière.

l'Académie : il est un excellent académicien, régulièrement présent aux séances. La vieillesse et la maladie amenèrent sa conversion (1692). Il est obligé de renier ses écrits licencieux : Jean de la fontaine décède le 13 avril 1685 et est enterré au cimetière du Père-Lachaise, depuis le transfert de sa dépouille en 1817, en même temps que celle de Molière. II / Ses œuvres Outre les contes, et surtout les fables qui constituent toute sa gloire, La Fontaine s'est essayé dans tous les genres avec une

réussi. Cette fin n'est pas sans rappeler celle d'un autre roman d'apprentissage, Le Père Goriot, de Balzac (1835), où dans l'excipit, le héros, Eugène de Rastignac, projette de faire fortune et de réussir dans la société parisienne, et du haut du cimetière du Père-Lachaise, s'écrie, en acte de défi à Paris: « A nous deux maintenant ! » (paroles qu'aurait pu prononcer Duroy).

de Fables choisies et mises en vers que publie La Fontaine en 1678 et 1679, cette fois-ci dédié à Madame de Montespan, maîtresse du Roi : ce sont nos actuels livres VII à XI des Fables, mais alors numérotés de I à V. La Fontaine est enterré au cimetière du Père-Lachaise, depuis le transfert de sa dépouille en 1817, en même temps que celle de Molière.

notre dédié au duc de Bourgogne. La Fontaine tombe gravement malade de la tuberculose fin 1692 et meurt le 13 avril 1695. Il est inhumé au cimentière des Saints-Innocents et sa dépouille sera ensuite transférée en 1817 avec celle de Molière au cimetière du Père Lachaise.

est marqué par les honneurs et la gloire ; Ingres est promu par la critique, chef de file du courant néoclassique qui s’oppose alors au jeune mouvement romantique mené par Eugène Delacroix et Théodore Géricault. À sa mort, Ingres est enterré au cimetière du Père-Lachaise à Paris. Il lègue la majeure partie de son œuvre dont 4000 dessins à la ville de Montauban qui fait de son ancien atelier le musée Ingres. Les portraits de Ingres constituent aujourd'hui pour nous un inégalable miroir de la société

Commune de Paris. • 21 mai 1871 : les troupes du gouvernement légal attaquent, c’est le début de la semaine « sanglante ». Les forces de la commune sont refoulées vers l’est. • 31 mai 1871 : les derniers combats ont lieu autour du cimetière du Père-Lachaise (« le mur des fédérés »). • 31 août 1871 : Adolphe Thiers reçoit le titre de Président de la République par la loi Rivet. • 1873 : Tout le monde souhaite la restauration. • 20 novembre 1873 : une loi dite

présentes à la soirée. Suite à ces déclarations, la presse turque ne l'épargne pas et il est soumis à une pression médiatique qu'il ne peut supporter. Par la suite, il s'exilera en France à Paris où il meurt d'une crise cardiaque[2]. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise division 71, aux côtés de Yilmaz Güney[4].

livrée à des passions dévorantes. En 1845, il élabore le plan d'ensemble de la Comédie humaine, lequel prévoit 137 titres (90 romans seront achevés). Il épouse Mme Hanska (14 mars 1850). Mort : le 18 août 1850. Balzac est inhumé le 21 août au cimetière du Père-Lachaise, où Victor Hugo prononce son éloge funèbre.

ne le reconnaît plus. Il s’éteint le 18 Août 1850, âgé de cinquante et un an seulement, laissant derrière lui son œuvre, la Comédie humaine, inachevée. C’est Victor Hugo qui prononce l’éloge funèbre le jour de l’enterrement, le 21 Août 1850, au cimetière du Père-Lachaise, là où, dans le roman de Balzac, le Père Goriot avait été enterré, avec la seule présence du jeune Rastignac.