Cinéaste

Morgane Henrioud Dissertation ; intro. Aphorisme : « Le cinéma, c’est mieux que la vie. » François Truffaut Depuis plus de 100ans, le cinéma nous fait rêver. C’est ce qui permit un jour à François Truffaut, cinéaste de métier, d’affirmer sa pensée en disant que « le cinéma, c’est mieux que la vie ». Cet aphorisme comparant le cinéma à la vie les met également en opposition, permettant d’avoir une connotation positive pour le cinéma, ainsi qu’une connotation négative pour la vie. Le

toujours été préoccupé par le sort de son pays d’adoption et lorsque la pauvreté envahit les rues pour se mêler à la richesse opulente d’une caste dominante, il ne peut rester muet. 1931 : peu de temps après que la crise ait frappé les Etats-Unis, le cinéaste quitte Hollywood et entreprend un voyage de 18 mois autour du monde. Lors de ce périple, il rencontre des personnalités telles Gandhi ou Einstein aux côtés desquelles il constate une hausse effarante du chômage et de la pauvreté. Selon lui, la solution

Inclinaison de la pente de ski : 16°. Le cinéaste prononcera le mot « ACTION ! » lorsque la motoneige, déjà en mouvement à une vitesse constante de 12 m/s, atteindra un certain point dans le champ de la caméra. Au même moment, le skieur amorcera sa descente et devra accélérer en ligne droite afin d’atteindre le bas de la pente à une vitesse de 12 m/s, pour ainsi arriver côte à côte avec la motoneigiste et lui remettre un document sans s’arrêter. Le cinéaste vous demande de lui fournir la hauteur

du faux, de s'ériger en procureur ou en avocat, et on se contentera seulement de noter que Bergman est innocenté en 1979. Ce qui est intéressant dans cette affaire (du point de vue cinématographique), ce sont ses répercussions sur l’état mental du cinéaste et, ce faisant, sur ses créations. Au moment des faits, la presse suédoise s'empare de l'affaire, Bergman fait couverture sur couverture, et la population plonge dans d’interminables débats sur sa culpabilité et son innocence. Bergman, profondément

cinéma engagé. Ainsi, le cinéma interprète le passé mais il est aussi le témoin de la perception de ce passé . Le film offre un ensemble de représentations qui renvoient directement ou indirectement à la société dans laquelle il s’inscrit. Le cinéaste travaille la matière de l’actualité immédiate ou celle de la mémoire historique en cherchant à sensibiliser le grand public. La Première Guerre mondiale a marqué une rupture fondamentale dans les sociétés et les mentalités. Elle a modifié

très vite indiscutable. ( Truffaut- Claude Jade et Jean Pierre Léaud- tournage de Domicile Conjugal 1970 ) ( Belmondo et Anna Karina- Pierro le fou de JL.Godard de 1965 ) De nouvelles influences Cette nouvelle génération de cinéastes, nous l'avons dit, apparaît, à ses débuts, comme un sorte d'ovni dans le ciel du cinéma classique français, pour leur audace scénaristique notamment. Ainsi, chacun de leurs films; des 400 coups à la Religieuse en passant par A bout de souffle s'inscrivent

plus de mémoire à court terme. Il doit donc inscrire les éléments de l’enquête sur différents support afin qu’il puisse reconstruire sa mémoire artificiellement. C’est à cet instant que l’étude de la temporalité devient intéressante. En effet, le cinéaste use du système de flashback afin de montrer et d’expliquer les faits. Analyse Concernant la temporalité filmique, on retrouve ici la structure classique d’un long métrage américain, avec un film divisé en trois parties distinctes : l’introduction

retrouve souvent les meme histoires et les meme personnages mais raconté autrement. Un de ces personnage est Cléopatre, la fameuse reine d'Egypte qui a fasciné les cinéastes. On ne sait que très peu d'elle, car ce sont seulement les romains qui ont parlé d'elle comme si elle n'avait aucun talent de reine mais les cinéastes ont plutot choisi d'en donner l'image d'une reine séductrice et très belle(ce qui n'a jamais été dit par les romains. De nombreuses actrices connues lui ont preté

monétaires, etc. C'est principalement ce dont parle le réalisateur C. Mingui dans son film 4 mois 3 semaines et 2 jours, mais il le fait tout en pointant du doigt une Roumanie séquestrée par un parti totalitaire aux mesures oppressives. D'abord, le cinéaste aborde férocement, vers le début du film, le fil conducteur de son œuvre : le contrôle des naissances imposé par Ceausescu. La scène dans laquelle Gabita, prête à se faire avorter, et Ottila discutent d'argent avec l'avorteur clandestin Mr Bebe pour

restructuration. « Et penser moins en terme de concurrence », pourrait-il ajouter. Mais pourquoi attendre d’en être victime pour tenter d’améliorer le système ? Pourquoi attendre puisque nous sommes de toute façon tous en sursis ? C’est la question que pose le cinéaste, 72 ans, dans cette fiction en prise directe avec notre époque que l’on peut trouver, selon sa sensibilité, excitante, sauvage ou sinistre. Le couperet s’ajoute à la liste maintenant conséquente des films récents consacrés aux ravages de nos modèles