Cinéaste

rencontre de plusieurs cinéastes français et le produit d’une période historique très intense : révoltes étudiantes, guerre d’Algérie, mouvement de libération des femmes, changement des mœurs. Les thèmes autour desquels se déroulent les scènes sont : l’évolution de la société, la transformation du modèle familiale, la modernisation des foyers, le divorce. La nouvelle Vague devient donc l’instantané d’une époque qui rompt avec le passé. Sous l’impulsion de François Trouffaut les cinéastes veulent attribuer

Unwritten Rules WANG Liwei 9122166 « 10+10 » n'égale pas du tout 20 dans cette collection cinématographique variée de courts métrages réalisée par quelques uns des plus grands cinéastes taiwanais. Il a été donné à chacun des films un temps de cinq minutes pour parler de «l'unicité de Taiwan» pour but de célébrer 100e anniversaire de la république de Chine. Pour les spectateurs qui ne sont pas spécialistes de la Chine moderne et de son histoire, il est difficile de bien comprendre certains

africain, l`Afrique a été un lieu très attractif pour les cinéastes .La vision de ces artistes est primordiale car elle connote l`histoire de l`Afrique et en donne une vision personnelle et cela s`opere comme l`a cite Theogene Karabayinga dans cinémas africains d`aujourd`hui par le fait de « regrouper, restaurer et conserver la mémoire cinématographique du continent africain ». A travers différentes pellicules et différents visions de cinéastes europeens, il me semble très intéressant et percutant

sFrancis Charpentier 13 mars 2013 Travail sur Descartes Dans son dernier documentaire, Alphée des étoiles, le cinéaste Hugo Latulippe a mentionné qu’il ne voulait pas faire un film cartésien, ce qui signifie qu’il n’a pas volontairement associé son documentaire à la théorie de René Descartes. Ce dernier était un grand philosophe, physicien et mathématicien qui s’est fait connaître dans les années 1600. C’est lui qui a déclaré la célèbre phrase : « Cogito ergo sum », qui veut dire « je

nous faire confondre la vie réelle avec le théâtre. Durant ce film le cinéaste nous montre sa parfaite maîtrise des plans qui servent à rythmer ce film. Et il nous montre sa subtilité à mélanger le comique à l’historique avec le même état d’esprit que Chaplin, avec le passage où on peut voir des images réelles d’archive de la guerre mêlées à la musique donne le même effet que dans le cinéma muet. Mais ce n’est pas tout, ce cinéaste a aussi l’art de maîtriser les ellipses qui surprennent les spectateurs

Lecture critique des textes théoriques Cinéma Extrait de Métaphores et vision, 1963, Stan Brakhage Réalisateur, producteur, scénariste ou encore directeur de photographie, grand cinéaste expérimental de la seconde moitié du XXème siècle ; l'américain Stan Brakhage se pose à travers cet extrait de Métaphores et vision, un texte fondateur du cinéma underground publié pour la première fois dans la revue Film Culture en 1963, comme un avant-gardiste, dont la réflexion autotélique sur la perception

"la raison a beau crier, elle ne peut mettre le prix aux choses" Dans le film Huit et demi , sorti en 1963 et réalisé par Federico Fellini, un cinéaste dépressif essaie de réaliser un film sous l’impulsion de son entourage. Or, le cinéaste se réfugie dans ses souvenirs ; ses connaissances en matière de cinéma se trouve impuissante face à ses fantasmes, rendant impossible la réalisation de son film. L’imagination et les pensées du personnage sont alors montrées

orchestre ou phonographe — qu'il a utilisée pour s'accorder avec les images silencieuses que l'on projetait sur l'écran. A l'origine, l'accompagnement musical fut souvent sommaire, mais bientôt de grands compositeurs prêtèrent leur concours aux cinéastes. En 1914, l'Italien Ildebrando Pizzetti écrivit pour Cabiria, film dont le scénario avait été signé par Gabriele d'Annunzio, une musique originale, "la Symphonie du feu". L'apparition des films parlants et sonores, vers les années 1930, ne fit qu'accroître

par exemple l’immensité de la pièce dans la première scène et l’immensité du désert dans la deuxième ; ou encore la coupe de l’enfant quasi-similaire à celle du commandant. Reprise de la séquence d’ouverture d’aviator : CARACTERISER : Le cinéaste installe les ambigüités du personnage rapport à la douceur et aussi à l’enfermement. SYMBOLISER : Le réalisateur présente d’abord une scène symbolique : précisément, un moment de son enfance qui peut symboliser un caractère de son personnage. INTRIGUER :

emprunté à La Féline (1942) de Jacques Tourneur (et qui lui avait porté chance pour Les Dents de la mer, 1975), qui consiste à ne pas trop montrer la créature monstrueuse, pour solliciter davantage l’imagination et la participation du spectateur. Le cinéaste se signale une fois de plus par la virtuosité de ses mouvements de caméra, notamment dans la cave avec la machine exploratrice, qui rappelle la scène des cuisines de Jurassic Park (1993), et sur la route où la caméra, avant de s’envoler dans les