Cinema Fiction Realite

prisonniers, c'est nous ! En quoi notre situation ressemble-t-elle à celle des prisonniers ? Il veut dire par là que nous prenons les apparences pour la réalité. Et, nous sommes "prisonniers des apparences". Certes, nous savons déjà qu'il nous arrive de " prendre les apparences pour la réalité... ". Les apparences peuvent masquer la réalité. Par exemple : l'image de marque (la fonction) est le faux ; face au président, au ministre, au proviseur, au professeur, à l'élève,... on a le statut

sujet : il y 4 aspects à retenir : 1. « créer une utopie » ( une documentation ou une information sur ce genre littéraire particulier o Il s’agit d’un genre littéraire depuis le 17ème siècle ▪ D’abord romanesque (fiction narrative) ▪ Puis prenant ensuite des formes variées (théâtre, lettres…) o Ce genre contient une visée argumentative et moralisatrice ▪ ( valorise certains principes humains comme la loyauté, la générosité

avec pour ambition de rendre compte de la réalité sociétale du pays : crime organisé et terreau mafieux : société clanique, anomie sociale, corruption politique et policière, violences et insécurités urbaines... mais qui a véritablement connu son essor après la Seconde Guerre mondiale. Dès lors, le roman noir désigne aujourd'hui un roman policier inscrit dans une réalité sociale précise et porteur d'un discours critique, voire contestataire, et sur cette réalité sociale, porteur d'une vision « noire

tout autant description sociale que psychologie d’une époque et de personnages à tout jamais marqués par l’Histoire. Au terme d’un demi-siècle 1 d’”évolution”, l’image coloniale léguée par nos ancêtres n’a pas encore fini d’entacher la réalité présente de ses dangereux clichés. (…) En fait ce film d’auteur, Rue Cases-Nègres est surtout un film au scénario édifiant, à la structure narrative hyper classique et qui diffuse des sentiments que le public s’est fait ou se fera un plaisir

------------------------------------------------- 4.   Le fantastique au cinéma Longtemps dédaigné, parce que longtemps méconnu des historiens et de la critique, sinon des spectateurs eux-mêmes – ce qui peut sembler paradoxal pour un genre aussi ancien et populaire –, le fantastique cinématographique, après avoir conquis ses lettres de noblesse, se voit enfin reconnaître, au même titre que le western, le burlesque ou la comédie musicale, autrefois également qualifiés de genres mineurs, le droit

Sujet : Les effets spéciaux au cinéma Année 2011/2012 INTRODUCTION: Les effets spéciaux sont un ensemble de techniques utilisées au cinéma pour créer l'illusion d'action et simuler des objets, des personnages ou des phénomènes qui n'existent pas dans la réalité ou qui ne pourrait pas être filmé au moment du tournage. On parle aussi de « trucage ». Pour préparer ce travail personnel encadré nous nous sommes posés les questions suivantes: Comment les avancées technologiques ont-elles permis

d'images cinématographiques doublées par la voix seule des comédiennes. : Les personnages et comédiens ne font plus corps : la limite entre la fiction et la réalité n'est plus évidente. Une voix de femme qui devient simultanément masculine, des images filmés et retransmises à l'état brut, un texte qui se veut au plus proche du réel. Le théâtre et le cinéma sont traités de manière à ce que le simple divertissement se transforme en interrogation collective: Jacques Adit et ses partenaires nous invite

Charlie Chaplin a dénoncé des faits réels à l’aide de l’humour, mais il était obligé d’ajouter à cette recette de réalité et d’humour, une touche de fiction, de manière à avoir une histoire qui intéresserait le public, et par cela le convaincrait implicitement à adopter son point de vue sur les choses ou alors aider à faire passer son message. Prenons quelques exemples des fictions qu’il mettait en place dans ses films, commençons par « Le dictateur » (Dans ce film il invente tout un monde. Il

 Pierre  Gaudin  pour  les  «  leçons  de  cinéma  »  autour  du  thème  :  «  pratiques   résidentielles  et  espaces  urbains  ».         Suite     3_  La  ville,  cadre  du  drame  social  (approche  du  film  noir)   Dans  le  champ  de  la  représentation  de  la  ville,  le  cinéma  occupe  une  place  centrale.  C’est  souvent

territoires de la vérité : « l’imagination est la reine du vrai, et le possible est une des provinces du vrai » écrit Baudelaire (texte 1). Mais l’imagination est également une source d’erreurs et d’illusions, car elle nous renseigne moins sur la réalité elle-même que sur les réactions de notre corps et de notre sensibilité à notre milieu. C’est l’interférence des sources de nos représentations qui serait la cause de l’illusion, dont l’imagination est en l’occurrence directement responsable (texte