Cinématographe

informatiques ouvrent des possibilités quasiment infinies de communication en réseau, à l'échelle mondiale, sans contact physique entre les personnes ainsi mises en relation... Un chroniqueur du Monde Illustré, qui écrivait en1896, à propos du cinématographe : «  Comme il serait et suggestif et charmant, de synthétiser sur le tard de la vie, en quelques secondes, les images de l’être aimé prises de mois en mois pendant des années voire simplement d’année en année, et combien il serait doux

le domaine des arts plastiques. Dans le Cocu Magnanime la structure est abstraite. Il y a un contraste dans les formes géométriques entre les cercles et les rectangles. Les trois cercles dans leurs dispositions amènent les idées de machines, cinématographes, rouages ... Les rectangles celles d’échafaudages, d’ateliers, d’usines ... La forme que prend cette structure laisse libre court à l'interprétation et à la réflexion. De plus, la suppression du quatrième mur, autrement dit le fait qu'il y ait

lies in the way the director Danny Boyle manages to show the evolution and the life of one of the biggest cities of India through the eyes of a child and further on through the eyes of a teenager. This is emphasized by the remarkable job of the cinematographer Anthony Dod Mantle. The way the film has been shot is a huge success. The choice of shooting the film in Mumbai’s shantytown, and the choice of using a series of flashbacks add reality and credibility to the story. The many close-ups on the

remplacé par le « fusil photographique » d’Etienne-Jules MAREY, ancêtre de la caméra. Les peintres « futuristes » reprendront à leur compte les effets de mouvements décomposés rendus par ces fameuses « chronophotographies » Avec les progrès du cinématographe, les artistes du début du 20ème siècle essaient de retraduire sur des images ou des volumes inanimés l’impression de mouvement. L’artiste Marcel DUCHAMPS s’inspire directement des photos de MUYBRIDGE dans sa peinture « Nu descendant un escalier

projeter en public les premiers  « dessins animés ». Mais loin d’en être l’inventeur, les deux personnages qui révolutionnèrent le monde du cinéma sont les frères lumière. (lanterne magique) Ils inventèrent les premiers procédés couleur et le cinématographe (une sorte de caméra et de projecteur en même temps). Ils sont à l’œuvre des premiers films cinématographies. Voilà pour les petites histoires du livre et du cinéma. Noemi : Maintenant pour parler des producteurs et des auteurs, nous nous sommes

de l’internet. Internet, au même titre que tout progrès, comporte sa part de nouveaux risques. En permettant de dupliquer à des millions d’exemplaires la pensée humaine, l’imprimerie a servi aussi bien à populariser Gandhi que Mein Kampf. Le cinématographe des frères Lumière a permis la réalisation de chefs d’œuvre mais aussi le développement sans précédent de l’industrie pornographique ou la prolifération de films « grand public » ultra violents. Tout ce qui est sur internet est accessible à tous

Théophile, Charles et Jacques Pathé, s’intéressent de près aux inventions de Thomas Edison en particulier le phonographe en 1877, puis le kinétoscope et la chronophotographie. En décembre 1895 apparait l’invention qui va bouleverser la société : le cinématographe, appareil qui permet la projection d’images animées, sans paroles, créé par les frères Auguste et Louis Lumière (Cf l’arroseur arrosé). Les frères Pathé établissent un accord avec les frères Lumière pour l’exploitation du phonographe. Même si

dessinateur français, est le précurseur de l’art de l’animation car c’est en 1892, avant l’apparition du cinématographe, qu’il commença à projeter sur écran, à l’aide d’un praxinoscope, ses propres dessins réalisés et coloriés à la main. Il ne reste aujourd’hui de lui que très peu d’œuvres car il les à lui-même détruites de désespoir à cause du tort que lui causa l’apparition du cinématographe. Le plus connu des « animés » est le personnage de Walt Disney, Mickey Mouse, qui, dès son apparition, le

que c'est tout bonnement une abomination... Mais qui a raison ? C'est ce dont nous allons débattre en commençant par rassembler les raisons en faveur de cette transposition. En premier lieu, nous avons pu observer que, dès l'invention du cinématographe, les scénaristes ont utilisé la littérature comme source d'inspiration, comme les frères Lumière se sont inspirés du roman «De la Terre à la Lune» de Jules Verne. En effet, les histoires ont toujours été la base de tout film, que ce soit de

temps signifie. Il rebrasse le réel, l’irréel, le présent, le vécu, le souvenir, le rêve au même ni­veau mental commun. Comme l’esprit humain, il est aussi men­teur que véridique, aussi mythomane que lucide. Il ne fut qu’un instant - l’instant du cinématographe - « cet œil grand ouvert, sans préjugés, sans morale, abstrait d’influences, qui voit tout, n’escamote rien de son champ » dont parlait Epstein[17]. Le cinéma par contre est montage, c’est-à-dire choix, déformation, trucage. « Les images seules