Cinna

ses héritiers » (S. Guégan, De la scène au tableau, p39) Voir : Allégorie de la libération des esclaves, 1806 (salle 9) Vincent emprunte au théâtre des références Voir le dessin La clémence d’Auguste ou Auguste et Cinna – 1785, Plume et lavis, en référence à Corneille, Cinna 1641 (salle 7) Voir le dessin Le retour de Tobie, 1796, créé pour la pièce de théâtre de Collin d’Harleville, Les Artistes, 1796. Vincent a réalisé les tableaux qui ont servi dans le décor et la mise en scène de la pièce

terme au débat. Corneille, blessé par cette querelle, n’écrit plus jusqu’en 1640. La reconnaissance et les responsabilités : Dans les années 1640, Corneille se lance dans la tragédie, genre sérieux qui plaît au public. Il compose Horace, Cinna, Polyeucte, accueillis avec succès. Corneille jouit désormais d’une reconnaissance définitive. En 1641, à l’âge de 35 ans, il épouse Marie de Lampérière, avec laquelle il aura sept enfants. Cependant, la mort de Richelieu, puis celle de Louis XIII

il obtient la protection du frère du roi : sa troupe prend le nom de « Troupe de Monsieur » et représente ses deux premières comédies, des comédies de Scarron et de Thomas Corneille et des tragédies de Pierre Corneille (en particulier Nicomède et Cinna), de Rotrou et de Tristan l'Hermite1. Sa carrière d'auteur dramatique commence vraiment avec Les Précieuses ridicules qui remporte un grand succès en novembre 1659. Soutenu par le roiLouis XIV, marié avec la jeune comédienne Armande Béjart et jouissant

Si le drame bourgeois au XIXe siècle et le théâtre contemporain privilégient la prose, le théâtre a longtemps été écrit en vers. Toutes les tragédies classiques et des drames romantiques comme Ruy Blas de Victor Hugo sont écrits en vers. Dans Cinna, Corneille utilise ce qui est considéré comme le mètre parfait, l’alexandrin, de même Victor Hugo dans Ruy Blas. Cette manière de dialoguer s’écarte grandement du langage quotidien : ainsi les vers engendrent des prononciations particulières, certains

L'ensemble des événements qui se succèdent depuis 1"'exposition" jusqu'au "dénouement". Dans  une œuvre dramatique, l'intrigue est concentrée. Ex., intrigue de ​ Cinna​  (1640) de Corneille :  Emilie, fille adoptive de l'empereur Auguste, conspire contre celui­ci afin de venger son père.  Cinna, son amant, doit tuer Auguste. Mais Cinna est partagé entre son amour pour Emilie et son  estime pour Auguste. Le complot sera dévoilé par un conjuré jaloux, mais Auguste sera  magnanime.    Le nœud de l'action : 

moment même où il a lieu dans la conscience, soit par la rédaction d'un journal intime, qui enregistre dans la durée les modifications du sujet en fonction de ce qu'il vit. Confirmant son existence, le sujet ambitionne de devenir, comme Auguste dans Cinna, "maître de (s)oi comme de l'univers". La conscience serait l'équivalent, dans l'individu, d'une capacité d'auto-contrôle ou d'un centre de volonté (qui, pour Maine de Biran, constitue le sentiment d'un moi capable de s'opposer au reste). 3. La

il obtient la protection du frère du roi : sa troupe prend le nom de « Troupe de Monsieur » et représente ses deux premières comédies, des comédies de Scarron et de Thomas Corneille et des tragédies de Pierre Corneille (en particulier Nicomède et Cinna), de Rotrou et de Tristan l'Hermite[1]. Sa carrière d'auteur dramatique commence vraiment avec Les Précieuses ridicules qui remporte un grand succès en novembre 1659. Soutenu par le roi Louis XIV, marié avec la jeune comédienne Armande Béjart et jouissant

torts de ceux qui s'écartent du droit chemin. Le héros doit souvent choisir entre sa passion et son devoir ; il peut être soumis à un destin implacable (Phèdre de Racine) ou parvenir à la maîtrise de soi à force de volonté et de raison (Auguste dans Cinna de Corneille). Absurde : propos déroutants par leur absence de logique et leur caractère imprévisible. Badinage : plaisanterie légère, enjouée, moins dure que l’ironie, plus superficielle que le comique. Exemple, les poèmes de Marot. Burlesque :

déclaration à Tartuffe, l’acteur Orgon et le spectateur ne peuvent que croire à un jeu destiné à révéler qui est le vrai Tartuffe. Voir aussi l’importance du "petit coin" où se tient Alceste dans Le Misanthrope, et celle du "Prends un siège Cinna" dit par Auguste dans Cinna qui instaure le rapport de force entre le "généreux" empereur et le conjuré, ou encore l’ordre de Salluste à Ruy Blas de fermer la fenêtre pour interrompre sa diatribe de "premier ministre" : c’est par leur prise en "corps" de l’espace

d’avocat.1629 : Mélite, une comédie et aussi sa première création dont il confie à la troupe de Charles Le Noir. Suite aux succès de celle-ci alors qu’il n’a que 23 ans, il décide d’entamer une carrière théâtrale. Œuvres importantes : Le Cid, Horace, Cinna, Polyeucte. Œuvre : L’Illusion comique : pièce en 5 actes (1635-1636), représenté pour la 1ère fois en 1636 au théâtre du Marais et publié en 1639.C’est une comédie qui transgresse les principes du théâtre classique : Page 47 de l’examen : « Le premier