Cité interdite

Millet qui repense l’espace du Pyrée de manière géométrique et rationnelle .Cella permet à Athènes de sortir de son anarchie, et de définir aussi la cité idéale divisée en 3 classes artisans, combattants et agriculteurs. Le quadrillage sépare les espaces de la cité : sacré, publique et privé. Platon reprend ces idées en fondant dans la République une cité idéale dans un lieu utopique l’Atlantide qui est une critique de l’Athènes archaïque. Dans l’ancien testament La Jérusalem céleste décrite par

en 313 l’église ne condamne pas expressément le suicide mais c’est avec Augustin et son ouvrage La cité de Dieu (413) que les choses changent . Le suicide devient un crime puis une « inspiration diabolique » d’après le Concile d’Arles (452). L’église catholique n’a toujours pas changé de point de vue depuis, le suicide reste un péché grave. Jusqu’en 1983 les funérailles leurs étaient interdites. Encore aujourd’hui le suicide est un péché très grave pour l’église, un péché envers Dieu . En effet

induit un choix parmi les possibles offerts ; c'est un choix politique au sens étymologique du terme. Le PADD introduit avec la loi de SRU traduit cette volonté d'une expression politique du projet. Le mot « politique » a pour racine grecque polis, la cité. Le choix d'un scénario de développement peut être plus ou moins partagé avec les acteurs concernés selon les procédures et selon la volonté des élus. Toutefois l'histoire critique de la planification depuis le XIXe siècle montre que, sans un consensus

de connaissances et de biens matériels donnait à l’être humain, non pas un sentiment de satiété avec le désir d’en rester à ses acquis du moment, mais, au contraire, l’impérieuse volonté de bâtir, avec ces acquis mieux répartis et mieux utilisés, la cité idéale, la société parfaite dont tout homme a rêvé un jour…La puissance du rêve utopiste a porté avec force des courants très divers, des phalanstères de Charles Fourier aux communautés soixante-huitardes en passant par les anarchistes ou les communistes

lois divines, le pharaon était roi et dieu tout ensemble, les pontifes créaient le droit à Rome et en Grèce le « prêtre du foyer public portait le nom de roi »[1]. Au témoignage d’Aristote (Politique VI, 5, 11) « Le soin des sacrifices publics de la cité appartient, suivant la coutume religieuse, non à des prêtres spéciaux, mais à ces hommes qui tiennent leur dignité du foyer, et que l’on appelle ici rois, là prytanes, ailleurs archontes. » Le Christianisme introduira une radicale nouveauté

concept de barbare est repris par les Romains. Pour les Grecs, celui qui ne parle pas grec. Pas d’unité politique en Grèce, mais vivent tous dans des cités (polis>politique) avec même organisation politique. Donc le Grec parle grec et vit dans une cité (civitas en latin). Civitas a donné civilisation. Crise du 3ème siècle : invasions barbares. Il faudra 3 ou 4 décennies pour rétablir l’ordre. L’empire est en partie barbarisé, ce qui signifie que les barbares dedans sont en partie romanisés. Modifications

Cependant le temps n'est pas cyclique mais linéaire: il y aune création et une fin du monde. Néanmoins c'est un temps qui reste encore des sociétés froides et que l'on va retrouver chez Saint Augustin (Vième après JC a assisté au sac de Rome en 410). La cité de Dieu publié en 1426 va chercher à répondre aux critiques adressées aux chrétiens par les païens (déchéance de la société romaine qui tombe aux mains des barbares). Saint Augustin va distinguer dans l'histoire deux moments: la chute qui est la conséquence

quotidienne. B. Difficile définition de la politique 1. Définition par une organisation ? Perspective restreinte et limitée de la définition. Serait politique une collectivité humaine. La racine grecque « polis » signifie « cité ». Ce qui se passe dans la cité est politique. La politique serait toute activité visant à gérer la collectivité humaine. L’Etat serait l’incarnation du pouvoir politique. La politique représente la collectivité. Cette approche est discutable par le fait qu’il y a

– doutes sur Dieu. Réponse de St Augustin : La cité de Dieu triple influence sur la Gaule : 1. romaine 2. chrétienne 3. germanique I. Le legs de Rome A. aperçu de l'Histoire romaine 1. Rome légende : Romulus, 753 av. JC 8e s av. JC : réunion de gentes sur le site du Latium -> regroupement en fédération, conseil, élection d'un roi avec des pouvoirs limités 7e s av. JC (=620) : invasion étrusque -> fondation de la cité, monarchie urbaine, unitaire, directe, absolue,

LE PALAIS DE JUSTICE (D'après Paris, 450 dessins inédits d'après nature, paru en 1890) De même que la pointe orientale de la Cité fut toujours occupée par un édifice religieux, temple païen ou bien église chrétienne, l'extrémité occidentale de l'île parisienne reçut, dès les premiers temps de la conquête romaine, un palais destiné au gouvernement et à la justice. Plusieurs des anciens historiens de Paris avaient pressenti ce fait ; d'autres le considéraient comme imaginaire. Il n'est plus possible