Citoyennete Romaine

À Athènes, dans l’Antiquité, il y a 6 000 citoyens. La citoyenneté n’est pas accordée à tout le monde. Au IVème siècle avant Jésus-Christ ils sont 25 000 et 40 000 en 431 avant Jésus-Christ. En effet, il est presque impossible de devenir citoyen. On hérite souvent la citoyenneté, c’est-à-dire qu’il faut être fils de citoyen. Ensuite, il y a différentes étapes pour devenir citoyen. Comment devient on citoyen à Athènes ? Nous verrons tout d’abord les obligations du citoyen dans la cité ainsi

importance. Polybe parle de la constitution romaine, en 167 il avait été déporté à Rome comme esclave, à Rome il avait eu l'amitié de Scipion, ce qui lui avait permis de voir de l'intérieur le fonctionnement de cet Etat. Polybe est un grec qui parle de Rome, il essai d'analyser le régime romain, ses institutions pour comprendre son hégémonie. Ce livre a été rédigé entre 167 et 149 avant Jésus Christ. Polybe dans ce texte nous parle de la constitution romaine qu'il considère comme un modèle, il l'a

PARTIE 2 L’invention de la citoyenneté dans l’Antiquité ❯ MANUEL PAGES 34-77 Les exemples d’Athènes et de Rome, de loin les mieux documentés, nous font pénétrer au cœur de la citoyenneté antique. Les chapitres 2 et 3 permettent de confronter deux approches très différentes de la citoyenneté, au niveau conceptuel et territorial. Plusieurs années avant l’ère chrétienne, les Grecs créent des cités. L’une d’elles, Athènes, invente la démocratie. Elle devient ainsi une cité de quelque

entravant la société romaine reflètent certains problèmes de la société française contemporaine et plus généralement les problèmes liés au nationalisme et à la détermination d’obtenir la victoire à tout prix, problèmes qui contribuent à la corruption de la signification véritable des J.O. Dans Astérix aux Jeux olympiques, les Jeux sont, au lieu d’un tournoi entre de nombreuses nations, un face-à-face lourd de signification entre la Grèce et l’Empire romain. Grecs et Romains sont présentés, comme

complexe qui s’est étalé sur environ quatre siècles. Pour l’appréhender, les traces écrites gréco-romaines (César, Strabon…) donnent un état de la Gaule et de ses habitants mais qui peut prêter à caution. Une approche plus objective doit s’appuyer aussi sur les sources épigraphiques (14000), archéologiques et architecturales. Parmi ces dernières figurent les mosaïques très prisées dans l’Empire romain. Elles décorent les sols, mais aussi les parois et les voûtes à partir du 1er siècle ap. J.C., et

de Rome. Cette idée est liée à celle de la Pax Romana, paix romaine qui instaure un ordre stable. Rome assure sa puissances militaires grâce à ses légions. Dans cet empire territorial, l’armée est paradoxalement peu nombreuse. Mais, il ne suffit pas d’une grande puissance mais il faut également autre choses, comme par exemple les grandes voies de communication. Rome s’appuie sur sa capacité à séduire les peuples conquis. L’empire romain n’est pas uniforme, pas unifié, mais il a une grande diversité

La citoyenneté dans l’Antiquité Epoque : du 5ème au 4ème siècle avant J.C. Le père fondateur de la démocratie s’apelle Clisthène (-508). La Grèce est sur les côtes de la Méditerranée. Elle est constituée d’une dizaine de cités-états (ex : la cité POLIS = Asty (ville) + Chôra (sa campagne). Les cités ont leur propre gouvernement, armée et monnaie. Mais toutes ont la même langue, Dieux, jeux (JO de Coubertin). Les Hellen parlent grec, contrairement aux Barbares. Les cités ont différents modes

2 : L’invention de la citoyenneté dans le monde antique. Analyse du sujet : Invention=créer époque historique concerné : monde antique. Citoyen : Membre de la cité qui participe au gouvernement. Où : Athènes en Grèce et l’Empire Romain. Introduction : Athènes au V et VI siècle avant J-C et l’Empire Romain du I au III siècle après J-C offrent deux exemples de régimes politique qui, de manières différentes, ont donné une place central au citoyens. Chapitre 2 : Citoyenneté et démocratie à Athènes

historiquement dans son contour géographique. Périclès fera d’ailleurs adopter par l’Ecclesia une disposition restreignant l’accès à la citoyenneté. La citoyenneté appartient à la cité et le droit, la justice ou l’égalité n’existent qu’à l’intérieur de la cité. A l’extérieur, c’est le règne du plus fort, y compris entre les Grecs. Cette incapacité à ouvrir la citoyenneté athénienne à d’autres cités a été une des cause de l’échec d’Athènes et du caractère fragile de sa domination ( Cette appréciation

vous avez donné la plénitude [= totalité] des droits politiques ou même la communauté de race : pour le reste, vous l’avez soumis et réduit à l’obéissance. Ni la mer ni l’étendue d’un continent ne peuvent être un obstacle à l’obtention de la citoyenneté ; dans ce domaine, l’Asie n’est pas séparée de l’Europe. Tout se trouve ouvert à tous ; il n’est personne digne du pouvoir ou de la confiance qui reste un étranger. […] Comme nous l’avons dit, vous avez, en hommes généreux, distribué à profusion