Citoyennete Romaine

Introduction : L'armée romaine (latin : exercitus Romanorum) ; est l'armée de la Rome antique. Elle permet aux Romains de dominer la Méditerranée du IIe siècle av. J.-C. au Ve siècle. La légion romaine est réputée pour ses conquêtes sur tout le continent européen. C'est grâce à cette célèbre armée que Rome a pu prendre le contrôle de la Méditerranée du VIIIème siècle avant J.C jusqu'au Vème siècle. L'armée romaine s'inspire directement des célèbres phalanges d'hoplites grecques. Entre le IVème

L’invention de la citoyenneté dans le monde antique (12 périodes) Références aux programmes  http://media.education.gouv.fr/file/special_4/72/5/histoire_geographie_143725.pdf (page 4) Manuel  Hachette, Histoire (2010), Lambin pages 46-93 Savoirs  PARTIE 1 : Citoyenneté et démocratie à Athènes (Ve-Ive siècle av. J.C) La participation du citoyen aux institutions et à la vie de la cité » fondement de la démocratie athénienne. La démocratie vue et discutée par les athéniens. PARTIE 2 : Citoyenneté et Empire

La loi comme source du droit à Rome. C’est aux Romains que l’on doit la métaphore de « sources» pour désigner les modes de création des règles de droit. la source de la règle juridique est toujours individualisée dans une activité humaine. Au IIème siècle de notre ère, le juriste Gaius dresse la liste des sources du droits pour le peuple romains : les lois, les plébiscites, les sénatus-consultes, les constitutions des empereurs, les édits, les réponses des prudents. Nous allons nous intéresser

antique -A l’époque de l’Egypte antique, le termes de citoyens était premierement donnés à l’élite macédonnienne, puis s’élargit afin de donner ce titre aux habitants des cités, tels que Alexandrie ou Ptolemais. En Grece antique -L’origine de la citoyenneté moderne est la Grèce antique avec l’invention de la cité grecque, ou polis. Il fallait plusieurs critères afin d’être répertoriés en tant que citoyens : être de sexe masculin, être libre, avoir plus de 18 ans, avoir fait l’éphébie (service militaire

- en étant majeur - il faut être un homme Les femmes et les esclaves en Grèce n’ont pas de capacité juridique, de place dans la cité, ils ne peuvent être citoyens mais peuvent en revanche transmettre la citoyenneté (pour la femme). On peut aussi perdre la citoyenneté, il y a alors 2 peines, soit la suspension provisoire des droits civiques, soit l’atimie qui est la peine la plus lourde et qui consiste au renvoi à l’exil de l’individu + sa famille + tous leurs biens. o Les esclaves

Introduction : Ces trois mots font partie de notre vocabulaire quotidien, mais ont souvent une signification assez floue I. Etre citoyen a. La citoyenneté française C’est appartenir à une communauté organisée (état, pays, nation). Cette citoyenneté est transmise par votre nationalité. Elle donne des droits et des devoirs : DROITS DEVOIRS INDIVIDUELS Sont fondés sur la liberté De circuler, d’opinion, d’expression, de conscience, sécurité, justice. Respecter les droits des autres, la tolérance

pouvoir politique B) Notion de cité et cités réelles Au 5ème – 4ème siècle av-JC, les Grecs seront les inventeurs de la notion de citoyenneté. Grâce à cette notion, l'homme n'est plus passif. L'esclavage est une condition indispensable de la démocratie. Les hommes sont au travail pour gagner leur vie. C'est une condition de la citoyenneté en Grèce. Les Grecs ont conçu l'Etat et la souveraineté de la loi. Le citoyen Grec n'obéit pas à un magistrat. Il obéit à un concept

I) La citoyenneté Athénienne. Ce document ne nous montre pas vraiment la citoyenneté, mais elle traduit l'un des trois rôles du citoyen celle de défendre sa cité, les deux autres principaux rôles sont de participer à la vie politique ,et religieux de la cité. Le document nous montre également que des hommes car les femmes ne pouvaient pas être citoyenne, les citoyens étaient alors que les hommes de plus de 18 ans ayant fait l'éphebie une sorte de service militaire. Le citoyen Athénien devait

les étrangers. Le numerus clausus y est inconnu. L’idée d’intégration est vivante à Rome et sert à consolider les conquêtes de la cité. La citoyenneté romaine renvoie à une citoyenneté juridique contrairement à la citoyenneté grecque qui suppose une communauté de vie. L’Edit de Caracalla qui, en 212, accorde la citoyenneté à tous les habitants de l’Empire romain, n’interdit pas le maintien de coutumes et d’institutions locales, même si cette extension du droit de cité permet à tous d’utiliser le jus

Introduction : Baruch Spinoza dans Traité politique (1677) écrit : « Les hommes ne naissent pas citoyens, mais le deviennent ». On comprend alors que la citoyenneté est un privilège qu’il faut acquérir ; être citoyen n’est pas une chose innée. Mais avant tout : qu’est-ce qu’un citoyen ? Dans son Dictionnaire philosophique, André Comte-Sponville définit le citoyen comme « le membre d’une Cité, en tant qu’il participe au pouvoir souverain (autrement il ne serait que sujet) et lui est soumis (sans