Cités Banlieues Incivilité

cohésion sociale...................... 2.1 2.2 2.3 2.4 Une société de plus en plus violente dont les faits sont commis par des plus en plus jeunes ......................................... La multiplication des problèmes comportementaux et des incivilités ..................................................................................... Les nouvelles structurations de la cellule familiale .................. Des politiques publiques qui ont abouti à une concentration des problèmes : la guettoïsation

L’affaire est appelée par le président du tribunal correctionnel L’identité du prévenu est déclinée Le président du tribunal expose les faits figurant dans l’enquête de police ou de gendarmerie Il interroge le prévenu, la victime, les témoins cités. La parole est donnée La victime s’exprime sur les faits, elle-même ou par l’intermédiaire de son avocat Le procureur de la République demande la réparation du dommage cause à l’ordre public. Il explique pourquoi il pense que le prévenu est coupable

hooliganisme qui dans sa version la plus abrupte, celle d’un supporter anglo-saxon poignardé au début de l’année 1998 dans une ruelle, semble être au sport ce que l’homicide volontaire et prémédité est au code pénal. Le moindre petit fait, les incivilités ont en effet des « effets de spirale » sur la violence ou la délinquance. La violence peut être également objective ou subjective[8] [8] Michel Wieviorka, Violences en France, Paris, Le Seuil,... suite. Selon que l’on se place du point de vue de

HANDICAP 8/ L'OBESITE 9/ LES DROGUES 10/ L'ADDICTION A L'ALCOOL 11/ LE TABAGISME 12/ LA BIOETHIQUE 13/ DONS D'ORGANES ET DONS DU SANG 14/ ASSISTANCE MEDICALE A LA PROCREATION 15/ LES TESTS GENETIQUES 16/ L'EUTHANASIE 17/ LA BANLIEUE 18/ LA POLLUTION 19/ LE CHOMAGE 20/ EXCLUSION ET PAUVRETE 21/ LA DELINQUANCE 22/ LA FAMILLE 23/ L'IMMIGRATION 24/ LES PERSONNES AGEES 25/ LES FEMMES 26/ L'ENFANT 27/ LES BIENFAITS DU RIRE 28/ LES VIOLENCES CONJUGALES

blanchiment d’argent et la complicité avec une entreprise terroriste voisinent avec le délit d’initié, les ventes d’armes et de stupéfiants, les filières d’immigration illégale, la débrouille (comme le resquillage dans les transports publics), les incivilités urbaines (tags et graffiti, par exemple), les rassemblements voués à la musique techno, les mouvements collectifs de revendication et les multiples formes de la révolte. Les mesures sont intrusives. Perquisitions sans l’assentiment des personnes

au second plan la tâche de transmission des savoirs, qui demeure pourtant la raison d’être de la scolarisation des individus. Plus redoutable que l’inégalité économique, la ségrégation spatiale et territoriale dont font l’objet nos villes et nos banlieues est l’un des facteurs qui bouleversent le sens même de la fonction éducative en milieu scolaire. Elle révèle surtout le déséquilibre entre deux démarches qu’on ne saurait totalement confondre. L’instruction relève de l’éducation, et non l’inverse

= mvt litt apparu en France et en Belgique vers 1870. Le mot « symbolisme » vient de « symbole », du grec sumbolon. Dans la Grèce antique, le « symbolon » était un morceau de poterie qui était brisé en deux et qu’on donnait à deux ambassadeurs de cités alliées pour se reconnaître. Il s’agit d’associer les objets qu’on voit aux états d’âme, à la sensibilité du poète. Pour les Symbolistes, le monde ne saurait se limiter à une apparence concrète réductible à la connaissance rationnelle. Il est un mystère

Depuis longtemps - le quartier est un outil au service des politiques. Dès l'après-guerre : - les urbanistes veulent en faire des unités de vie sociale = sociabilité et citoyenneté - urbanisation extensive : production des « banlieues-dortoirs » Dès les années 1970 - Les politiques d’équipements et d’aménagement s’en inspire → la politique d'amélioration de l'habitat se base sur des opérations locales ciblées utilisant des techniques d'animation

sporadique des banlieues, les problèmes que connaissent les éducateurs et certains parents font dire à certains que l'on a poussé le bouchon un peu trop loin - l'absence d'autorité devenant alors laxisme -, et que les enfants élevés en absence de toute autorité sont aussi privés de tous repères. Pourtant, un retour en arrière qui remettrait au goût du jour des maîtres d'école maniant la férule ne semble guère possible... 2 Banlieue Une réalité contrastée Qui dit banlieue pense spontanément

la position de l’enseignant est importante. Pour pouvoir établir ce rapport, l’interface est fragile entre l’élève et l’enseignant (rôle des affects). Ainsi tout rapport au savoir est aussi un rapport social. Dans les deux ouvrages précédemment cités, l’auteur fait passer des bilans de savoir dans des établissements (collèges et LEP). Il va demander aux élèves de remplir un questionnaire. - depuis que je suis né j’ai appris plein de choses, dans la famille, la cité, à l’école : lesquelles