Civ 1ère 28 Novembre 2000

Commentaire arrêt 1ère civ 4 novembre 2011 La première chambre civile de la Cour de cassation a rendu le 4 novembre 2011 un arrêt relatif à la licéité de la cause du contrat de courtage matrimonial. En l'espèce, une personne mariée a conclu une convention de courtage matrimonial. L'agence matrimoniale en demande ensuite l'annulation pour cause illicite. La Cour d'appel de Nîmes accueille cette demande considérant que le contrat a une «  cause illicite comme contraire à l'ordre public de protection

2ème civ 2 avril 1996 régime spécifique de contamination. • La responsabilité du fait des produits défectueux la loi de 1998 réserve le même sort au producteur et fournisseur. Le régime a été modifié par une loi du 5 avril 2006. La clinique est fournisseur et non producteur et la responsabilité de la clinique ne pourra être engagé en raison de cette réforme de 2006. • Obligation de sécurité du fournisseur a l’égarde de la fourniture de produit de santé est consacré par la jurisprudence 1ère chambre

Master 1 – Droit privé fondamental Devoir n° 1 – « Régimes matrimoniaux » Commentez l’arrêt de la première chambre civile de la Cour de cassation du 28 octobre 2003, ci-dessous reproduit. Sur le moyen unique, pris en ses deux premières branches : Vu l'article 220, alinéa 1er, du Code civil ; Attendu que ce texte, qui fait peser sur les époux une obligation solidaire, a vocation à s'appliquer à toute dette, même non contractuelle, ayant pour objet l'entretien du ménage ou l'éducation des enfants ;

durée de trente minutes en TD 1 Séance 1 – Les conventions d’assistance bénévole Révisions : les conditions de la responsabilité contractuelle. Travail : - analyse des arrêts de la fiche (voir méthode vue en cours) Arrêt n° 1 : Civ. 1ère 13 janvier 1998, Bull. civ. 1998, I, n° 15, p. 9 Sur le premier moyen du pourvoi principal : Vu l'article 1147 du Code civil : Attendu que si la convention d'assistance bénévole emporte pour l'assisté l'obligation de réparer les conséquences des dommages corporels

Baldus qu’ « aucune obligation d’information ne pesait sur l’acheteur » (Civ. 1ère, 3 mai 2000, Bull. civ. I, n°131 – l’acheteur n’avait pas informé le vendeur de la notoriété de l’auteur des photographies qui étaient cédées, et donc de leur valeur). Elle a en revanche retenu le dol de l’acheteur qui, connaissant la richesse du sous-sol du bien vendu, a maintenu les vendeurs dans l’ignorance (Civ. 3ème, 15 novembre 2000, Bull. civ. III, n°171, arrêt Carrières de Brandefert). Cette seconde conception

du testament ainsi en deuxième instance, la cour d'appel de Paris rend un arrêt confirmatif. La maitresse se pourvoit en cassation devant la première chambre civile qui infirme les précédentes décisions en rendant un arrêt de cassation le 25 janvier 2000 et renvoie l'affaire devant la même cour d'appel composée différemment. La cour d'appel , statuant une seconde fois, refuse de s'incliner à la décision de la haute juridiction et réitère son prononcé de nullité de la libéralité en question. En réaction

FAUTE DELICTUELLE ...........................3 L’ELEMENT OBJECTIF _______________________________________________ 3 Civ.1ère, 18 avril 2000................................................................................................... 3 Civ.2ème, 5 décembre 1990 ............................................................................................ 3 Civ.2ème, 23 novembre 1972.......................................................................................... 4 B. L’ELEMENT SUBJECTIF

Document n° 2 : Cass. 1ère civ., 5 nov. 2008.Cet arrêt est un arrêt de rejet rendu le 5 novembre 2008 par la 1ère chambre civile de la Cour de cassation et est relatif à l’indivisibilité du prononcé du divorce par consentement mutuel et de l’homologation de sa convention définitive.En l’espèce, deux époux font une demande en divorce conjointe qui est acceptée par le juge du tribunal en première instance qui rend son jugement en homologuant la convention commune et en prononçant le divorce.Cependant

rapport d'autorité, sans lien de préposition, le code civil est inapplicable. Civ, 3ème, 22 septembre 2010. Ce lien se détermine par : L'existence d'un lien de préposition juridique. L'existence d'une relation de travail salarié et d'un rapport de préposition ne dépend si de la volonté exprimée par les parties, mais des conditions de faits dans lesquelles l'activité s’exerce. Selon la jurisprudence, Soc, 13 novembre 1996, le lien de subordination est articulé sur le pouvoir de l'employeur. A savoir

juges, d'autorités, d'organes, plutôt qu'à uniformiser les normes. Il en est ainsi en particulier dans le cadre des conventions suivantes : relative à la signification et notification à l'étranger des actes judiciaires et Convention de La Haye du 15 novembre 1965 extra-judiciaires en matière civile ou commerciale, en vigueur en France depuis le 1er septembre 1972, sur l'obtention de preuves à l'étranger en Convention de La Haye du 18 mars 1970 matière civile ou commerciale, en vigueur en France depuis