Civ 1ère 28 Novembre 2000

la jurisprudence est peu à peu venue reconnaître dans de nombreux contrats conclus en matière de crédits à la consommation, de crédits immobiliers, d’épargne logement, des contrats consensuels et synallagmatiques. Ainsi par son arrêt rendu le 28 mars 2000, la Cour se prononçant sur le contrat de prêt, conclu certes une évolution qui ne laisse pas sans conséquences l’analyse des contrats réels. De sorte que l’on peut se demander si cette catégorie de contrat ne serait pas en voie d’extinction. Il

diversité de fautes « Tout fait quelconque de l’homme » ​ ​a. Le caractère de la faute • L’article 1382 ancien du code civil ne distingue pas des fautes selon leur degré de gravité. Toute faute, quel que soit son degré de gravité, est condamnée (Civ 2ème, 8 mai 1964) • Dans le code de 1804, deux articles consacraient la responsabilité pour faute : 1382 et 1383, devenus 1240 et 1242, qui établissent respectivement la responsabilité délictuelle et la responsabilité extracontractuelle. Mais en réalité

de Lyon http://fdv.univ-lyon3.fr Fiche à jour au 29 novembre 2011 FIICHE PEDAGOGIIQUE VIIRTUELLE CHE EDAGOG QUE RTUELLE Matière : Droit des obligations Auteur : Jézabel JANNOT SEANCE N° 5 - LES VICES DU EANCE N CONSENTEMENT (3) : LA VIIOLENCE LA V OLENCE SOMMAIIRE OMMA RE I.  LA NOTION DE VIOLENCE A.  PAYSAGE TRADITIONNEL Civ.1ère, 13 janvier 1999 Com., 28 mai 1991 B.  PAYSAGE MODERNE Civ.1 , 30 mai 2000 CA Paris, 12 janvier 2000 Civ. 3 ème ère 3  3  3  4  5  5  6  10  , 3 avril

démontrée.[25] Le moyen qui tend à faire déclarer irrecevable la demande d’ouverture faite de mauvaise foi constitue une fin de non recevoir[26], qui peut être invoquée à tout moment de la procédure[27] sans que le juge puisse la relever d’office.[28] La Cour de cassation admet aussi la mauvaise foi révélée à l’occasion de la procédure de surendettement, dans les hypothèses qui s’apparentent souvent aux causes de déchéances énumérées à l’article L. 333-2 du Code de la consommation, modifié

avec les époux séparément puis ensemble pour s'assurer de leur volonté de divorcer. Il faut noter que les devoirs découlant du mariage persistent-ils pendant l'instance en divorce, notamment le principe de fidélité et de vie commune - Document 8 – Civ. 2ème 3 mai 1995 C) Les mesures provisoires Un temps plus ou moins long peut s'écouler entre le moment où le divorce est demandé et celui où il est prononcé. Tout ce qui touche à l'après divorce sera organisé par le jugement qui le prononce

totalité par le cédé (B). Un tel mécanisme se retrouve notamment dans les contrats d’affacturage2. Affacturage : (opération de crédit qui consiste dans le transfert de créances commerciales de son titulaire à un factor qui se 1 2 Paris, 12 déc. 1934 ; Civ.3, 20 avril 1982. Pour un exemple de jurisprudence récente CA Versailles 30 juin 2005, Bull. des transports et de la logistique 2006 n° 3112 p.26, note Tilche Marie 2 Cession de créance et cession de dette - Annabelle Soyer Salacroup – Master

du cautionnement : pallier à la défaillance du débiteur principal. Aujourd'hui Loi du 28 Juillet 2005, sanction : L622-26 Ccom : forclusion Cornu , définition de la forclusion : sanction frappant le titulaire d'un droit ou d'une action pour défaut de déclaration ds les délais judiciaire... perte d'un droit d'agir, c'est une sanction de pure forme. Sanction nouvelle confirmée dans un arrêt : Cass com 3 novembre 2010 Sanction modifiée pour conformité En sauvegarde : Par mesure de faveur on a

droits et en dignité ». La dignité constitue d'ailleurs la première partie de la Charte européenne des droits fondamentaux (intégrée dans le traité de Rome de 2004 (traité instituant une Constitution européenne, aurait dû entrer en vigueur le 1er novembre 2006 à condition d’avoir été ratifiée par chacun des 25 états signataires) et clairement inspirée par la Convention de sauvegarde des Droits de l'Homme et des Libertés fondamentales (1950). Le premier article de la Charte y est consacré à la dignité

de la 1ère édition du Code civil, promulgué en 1804*   Doc. 5 : Livre du Bicentenaire du Code civil, Dalloz 2004 (extraits)*  :   - J. Humbert, Portalis et Justinien ou les épaules d’Enée (ibid.) - J. Ph. Levy, La Révolution française et le droit civil (ibid) - J. Carbonnier (+),  Le Code civil des français dans la mémoire collective (ibid)   Doc. 6 : Conseil constitutionnel : décision n° 2004-496, loi sur la confiance dans l’économie numérique   Doc. 7 : Cour de Cassation, 1ère ch. Civile

Fiche arrêt et commentaire du 28 février 2006 Il s'agit d'un arrêt relatif à l'étendue des pouvoirs des juges du fond dans le cadre d'une procédure de divorce pour faute. Faits : Divorce prononcé aux torts exclusifs de Mme Y et résidence habituelle des enfants chez leur père et suspension du droit de visite de la mère. Procédure : Appel Mme Y interjette appel pour : - D’une part, obtenir le divorce aux torts partagés Motivation de Mme Y: fautes imputables à son époux La CA déboute Mme