Civ 2ème 20 Décembre 2007

les justiciables seraient alors dans la nécessité d’intenter une action en justice dans chacun des pays intéressés par le litige afin de voir leurs droits pleinement reconnus. Ces exigences contradictoires sont prises en compte dans le cadre de la 20 procédure d’exequatur, qui vise précisément à définir les conditions dans lesquelles donné. 2. Les effets des jugements étrangers en RDC Normalement, un jugement a force probante, obligatoire et exécutoire. Est-ce le cas des jugements étrangers ? 2

Notion L’action en justice est une prérogative du défendeur comme du demandeur. En effet, le devoir de protection juridictionnelle qui incombe à l’Etat vaut tant en faveur du demandeur que par la suite du défendeur. L’action est définie à l’article 20 du CPC comme « le droit pour l’auteur d’une prétention d’être entendue sur le fond de celle-ci afin que le juge la dise bien ou mal fondée ». Pour l’adversaire comme « le droit de discuter le bien fondé de cette prétention ». L’action a fait l’objet

suite le sujet et le champ de votre réflexion. Une fois que vous avez cerné le ou les sens du sujet, il vous faut sélectionner dans vos connaissances les éléments qui vont vous permettre de construire votre devoir. Concrètement, vous devez prendre 15 à 20 minutes sur votre brouillon pour noter, en style abrégé et télégraphique, tout ce qui pourrait avoir un rapport avec le sujet. C’est à ce stade que vous devrez opérer des choix. Ces choix sont nécessaires lorsque le sujet renferme une ambiguïté. Manuel

Droit fiscal général Oral : le cours suffit → JP : le jour n'est pas indispensable → JP : il faut connaître les arrêts cités dans le cours INTRODUCTION – Brèves observations sur la notion de « principe » en matière juridique (cours du 20 novembre) Qu'est ce qu'un principe au sens juridique du terme ? En droit fiscal comme dans toutes les branches du droit, le terme de « principe » recouvre au moins deux réalités distinctes. * Dans certains cas on appelle « principe » des idées qui vont

seulement au juge «en considération de la position de débiteur et usant de ce pvr ac une grde réserve à accorder des délais modérés de paiement». Par la suite, cette faculté accordée au juge a fait l’objet d’une extension constante d’hab par les L du 25/03-20/09 1936 faisant suite à la crise de 1934. Ces L ont facilite la saisine du juge en urgence en conférant au juge des référés le pvr d’octroyer des délais de grâce et en lui permettant de tenir comptes des circonstances et de la situation éco, étant précisé

ou ceux acquis gratuitement. Le régime de participation aux acquêts : c’est le régime de séparation de bien pendant le mariage mais la dissolution est plus communautaire : on égalise la situation des deux époux : si un s’enrichit de 30 et l’autre de 20, le premier devra donner 5 à l’autre. Le règlement se fait par une créance d’argent.  La matière compte peu de modification : réforme de 1965 qui change le régime légal – c’est désormais le régime de la communauté réduite aux acquêts – et la réforme

les contrats imaginable pourvu que ces contrats respectent l’ordre publique et les bonnes moeurs conformément à l’art 6 du code civil. La liberté contractuelle est une liberté fondamentale qui a valeure constitutionnelle depuis une décision du 19 décembre 2000, décision n°2000-437 et pour se faire, le conseil s’est appuyé sur l’art 4 de la DDHC " la liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui ". Du fondement de cette liberté contractuelle on se demande pourquoi sont ils libre

que les deux obligations soient réciproques, il faut que les obligations portent sur un objet fongible, et il faut que les oblig soit certaines, liquides. Dans ce cas, les obligations vont s’éteindre (1290 cc). (ex : voisin doit 40€, moi 20€, il me doit plus que 20€). ! Une personne débitrice a plusieurs créanciers. Cette personne est insolvable. Le débiteur n’a à son actif, qu’une seule créance de somme d’argent, et que cette créance il l ‘a détient de l’un de ses créanciers (compensation ?). Ex :

comme les autres car les juges n’ont pas le pouvoir de rendre des arrêts de règlement (article 5 du code civil). En droit de la responsabilité civile ce sont les arrêts qui font le droit. Epreuve : 1ère session : cas pratique ou dissertation. 2ème session : commentaire ou dissertation. Cas pratique : Pas de plan, on identifie les questions qu’on traite les unes après les autres, dans l’ordre du cas. Bibliographie : • Le Malinvaud Fenouillais : Droit des obligations, édition Litec. •

Cour de cassation, 1e chambre civile, 1993 : Tant qu’elle n’a pas été acceptée la promesse demeure une simple obligation de faire, puisqu’il n’y a pas de rencontre des volontés et donc pas de vente. Cour de cassation, 3e chambre civile, 13 mars 2007 : Pas de réalisation forcée de la vente. On a ici un fort consensus doctrinal avec une critique quasi unanime de la solution. Plusieurs arguments : ⁃ Il faut respecter le principe du consensualisme : si le consentement du promettant est donné