Civilisation Et Barbarie

-Cosmopolitisme -Systématisation des connaissances (esprit encyclopédique) LIEN ENTRE LES DEUX : Les Lumières sont décrits comme amoureux du genre humain et croient en son génie et ses progrès. Cependant, le 18e a apporté divers contacts avec d’autres civilisations qui ont pu bouleverser les valeurs occidentales et estomper leur prétendue supériorité. Le mythe du bon sauvage (soit idéalisation des hommes vivant au contact de la nature) a d’ailleurs intrigué plusieurs philosophes, dont Diderot dans « Supplément

opprimeacute, tyranniseacute par le vainqueur raquo Il nous parle drsquoun monde sanglant, baseacute sur la loi du plus fort. raquoLa conquecircte que vous preacuteconisez, crsquoest lrsquoabus pur et simple de la force que donne la civilisation scientifique sur les civilisations rudimentaires pour srsquoapproprier lrsquohomme, le torturer, en extraire toute la force qui est en lui raquobr / Dans le deacutebut de lrsquoextrait qui nous estproposeacute, il parle de races infeacuterieures, supeacuterieures

culture. Dans un sens général, la culture du latin colere signifie « mettre en valeur », par exemple, un champ, mais aussi bien l’esprit. Cependant, chez Rousseau, ce rapprochement recèle une critique de la civilisation, autre sens du mot culture. • La culture peut s’assimiler à la notion de civilisation. La culture désigne alors dans ce sens toutes les œuvres de l’esprit, œuvres qui témoignent d’un état des représentations d’une société précise à un moment donné. si nous prenons pour exemple les icônes

rien de barbare et de sauvage dans ce peuple, sinon que chacun appelle barbarie ce qui ne fait pas partie de ses usages. Explication : Thèse : Montaigne démontre que malgré les apparences des coutumes (surtout le cannibalisme), les indiens honorent les mêmes valeurs que les Européens, mais avec plus de sincérité et de cohérence. Montaigne n'est pas favorable à ces coutumes mais il dénonce les apparences de civilisation chez les Européens qui se réfugient derrière elles pour dissimuler leur

mémoire artificielle, dont le développement devrait s’accompagner d’une meilleure cons-cience du passé, donc d’une plus grande capacité à organiser le présent et l’avenir. Après avoir éliminé tous les critères proposés pour distinguer la barbarie de la civilisation, on aime-rait au moins retenir celui-là : peuples avec ou sans écriture, les uns capables de cumuler les acquisitions anciennes et pro-gressant de plus en plus vite vers le but qu’ils se sont assigné, tandis que les autres, impuissants à

déséquilibre, le désordre et le chaos. Les couleurs froides et le peu de luminosité créent une ambiance de fin du monde. Cette huile sur toile affiche un paysage désertique et sinistre où s’accumulent des objets de toutes sortes, vestiges d’une civilisation (sculptures abîmées, un tableau déchiré, une machine à écrire cassée, du matériel de géométrie, une partition froissée, (La chanson, très populaire, était constamment diffusée par la BBC, qu’on pouvait écouter en Belgique. « v’rything free and

c’est-à-dire l’environnement, pour satisfaire ses besoins primaires. On a tout ce besoin naturel de se nourrir, on les satisfait de manière diverse en fonction de la culture à laquelle on appartient. 2ème sens : Sens ethnologique = étude de la civilisation. Ethnie : Groupe d’humains qui partagent un héritage socioculturel commun. Diversités des cultures : elle va être présente comme un obstacle, c’est l’universalité qu’on recherche. II. Ethnocentrisme et relativisme : l’impasse 1. Le « tout

chanceler devant l’énormité des faits. C’est pourquoi on ne s’est guère risqué à rattacher ce phénomène majeur qu’est la barbarie contemporaine à une théorie plus large de la culture. Rares sont ceux qui ont interrogé ou scruté les correspondances étroites qui existent entre les structures de l’inhumain et la matrice environnante des civilisations avancées. Et, pourtant, cette barbarie que nous avons subie reflète, en plus d’un point précis, la culture dont elle est née et qu’elle a tenté de profaner

espéraient encore, fuyaient, suppliaient. Mais ici, ce dernier reste d’espoir qui rend la mort dix fois plus douce, on vous le supprime radicalement. Fedor Mikhaïlovitch Dostoïevski (1821-1891) La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie. Victor Hugo Les adversaires de la peine de mort guillotineraient volontiers les partisans de la peine de mort. René Barjavel Mais qu'est-ce donc que l'exécution capitale, sinon le plus prémédité des meurtres auquel aucun forfait criminel

dernier avait laissé à sa mort. La domination des Fils du Soleil s’exerçait de la Colombie jusqu’au Chili. Mais le « Tahuantinsuyu », l’empire des quatre provinces, n’a atteint cette puissance qu’après de longues luttes qui l’opposait à d’autres civilisations déjà bien installées. Vers la fin du XIIIe siècle une petite tribu arrivait, avec bien des difficultés, dans le bassin de Cuzco, dans les Andes du Pérou. La légende raconte que ces indiens « Quechuas » étaient à la recherche de l’endroit idéal