Civilisation Et Philosophie

HUNTINGTON – CHOC DES CIVILISATIONS (1996) paru en 1996 et traduit en français en 1997, l’auteur cherche à démontrer qu’à l’ordre bipolaire de la guerre froide s’est substitué un ordre multipolaire basé sur les civilisations. La politique globale est à la fois multipolaire et multicivilisationnelle, le rapport de force entre civilisations change et l’influence de l’occident décline. Un ordre mondial organisé sur la base de civilisations apparaît et les pays se regroupent autour des Etats phares

de productions unies par une référence unitaire à la beauté. Par définition l’art s’oppose à la nature, à ce qui est produit sans intervention humaine, mais il correspond à tout ce qui n’aurait pas existé sans l’action de l’être humain. La civilisation grecque a été le premier milieu culturel dans lequel les activités artistiques ont acquis leur propre définition, afin qu’on puisse les distinguer des activités courantes de la vie social. En effet, dans l’antiquité le concept d’art était étroitement

barbares ». On commence à user une définition positive du barbare, du barbarisme. Les barbares sont des destructeurs d'une civilisation devenue désuète, d'une société décadente. Ils mettent fin à une époque terminée, révolue. La barbarie = stade entre sauvagerie et civilisation 3 âges de l'humanité= sauvage (Amérique, Afrique), barbares (intermédiaire), civilisation, culture. Les barbares construisent qqch de nouveau. La France = culture de la finesse, les allemands se moquent du raffinement

le temps et l’espace. En philosophie, la culture est, ce qui est transmis par les générations précédentes. C’est souvent un ensemble de croyances et/ou de vérités. Elle s’enseigne, et cet enseignement se dit d’une vérité vraie, à un âge où l’individu ne possède pas encore tout son discernement. Juridiquement, depuis les années 2000, le mot culture emprunte la définition allemande « kultur ». La culture s’associe alors au terme de civilisation. la culture ou la civilisation, c'est l'épanouissement

productions unies par une référence unitaire à la beauté.Par définition l’art s’oppose à la nature, à ce qui est produit sans intervention humaine, mais il correspond à tout ce qui n’aurait pas existé sans l’action de l’être humain.  La civilisation grecque a été le premier milieu culturel dans lequel les activités artistiques ont acquis leur propre définition, afin qu’on puisse les distinguer des activités courantes de la vie social. En effet, dans l’antiquité le concept d’art était étroitement

du XXème siècle, fut une activiste féministe et contribua à la libération de la femme dans les années 70. “On ne nait pas femme : on le devient” est une de ses citations issue de son livre Le deuxième sexe, connu comme le plus grand livre de la philosophie contemporaine sur le féminisme. Cette phrase met surtout en avant le fait qu’être une femme n’est pas seulement un fait biologique lié au sexe, mais la construction de son individualité et le résultat d’une éducation liée aux moeurs. Pour parvenir

------------------------------------------------- Identités et diversités en Europe L’IDENTITE SOCIOLOGIQUE Le sociologue Henri Mendras définit l’Europe occidentale à partir de 4 traits : individualisme, nation, capitalisme, démocratie qui sont les fondements de ce modèle de civilisation. I L’individualisme A Religieux Les Evangiles fondent l’individualisme occidental en établissant un rapport direct entre la créature et son Créateur, chacun attend son salut personnel de son Créateur et de lui seul. Paradoxalement, l’Eglise

différence dès civilisations dans les termes de l'inégalité; certaines seraient supérieures à d'autres. Cette idée est implicite dans bien des comportements et se devine dans nombre de propos : la langue de l'étranger nous semble moins harmonieuse que la nôtre, ses mœurs plus rustres, ses techniques dépassées (« Là-bas, c'est le Moyen Age ! »); on est tout prêt enfin à voir de la superstition dans sa croyance.On a longtemps pensé et on pense encore la différence dès civilisations dans les termes

axiologique dans les sciences sociologiques et économiques. Après la première guerre mondiale à laquelle il participe, il entame son grand traité Economie et Société qu’il ne termina jamais tout en menant de nombreuses études épistémologiques (= philosophie des sciences). L’intérêt de l’œuvre de Weber tient autant à la fécondité de sa réflexion méthodologique qu’à son contenu. Les thèmes principaux sont les rapports entre l’économique et le social, l’analyse des formes de pouvoir, notamment la bureaucratie

concept dépendant d’un contexte idéologique précis, de coutumes, règles, conventions, classes sociales,… propres à une société et une époque déterminée. On ne peut trouver la signification de la folie qu’à condition de la replacer en parallèle d’une philosophie de « l’homme dans le monde », la situer dans un contexte aux aspects précis. Comme le disait F. Laplantine : « on ne devient pas fou comme on le désire, la culture a tout prévu ». C’est la société qui définit les normes de pensées et de comportements ;