Civilisations Mortelles

séparer la civilisation de la “ culture ”[1] - présente, ainsi que l’on sait, à l’observateur deux faces. Elle comprend, d’une part, tout le savoir et le pouvoir qu’ont acquis les hommes afin de maîtriser les forces de la nature et de conquérir sur elle des biens susceptibles de satisfaire aux besoins humains ; d’autre part, toutes les dispositions nécessaires pour régler les rapports des hommes entre eux, en particulier la répartition des biens accessibles. Ces deux orientations de la civilisation ne sont

Philosophie L’état chercher à imposer des règles de vie commune entre les Hommes mais cherche aussi à les aider à accomplir ce qui leur est propre, c'est-à-dire l’estime de soi ou encore le respect. Dans cet extrait De la Liberté, on se pose des questions sur la liberté individuelle dans la société. On voit dans cet extrait qu’il y a des tensions contradictoires entre le contrôle social et la liberté individuelle. Nous nous demanderons quel rôle joue la société dans le fondement de la liberté 

D’après Thomas Hobbes « le bien et le mal de même que le juste et l’injuste n’existent que pour un individu vivant en société ». Cela implique que l’homme non civilisé, l’homme sauvage, à l’état de nature n’est pas confronté au bien et au le mal et par conséquent au juste et à l’injuste. Or dans « La profession de foi du vicaire savoyard » , Rousseau explique que se tient dans le cœur des hommes « un principe inné de justice et de vertu » nommée conscience. Elle est un guide légitime sur lequel l’homme

hommes) et à l’universalisme (universalité de la culture). La culture est un mot associé à la raison. Ce mot culture au XVIIIs est très proche du mot civilisation : on parlera de « LA » civilisation (au singulier) => mission civilisatrice de l’occident : il faut apporter cette civilisation au monde. Certains comme Rousseau n’utiliseront pas le terme civilisation car en perçoivent les dérives cad la « monolatéralité ». Ces termes nous permettent de passer à une conception désacralisée de l’histoire (conception

dʼun pays, dʼune région, dʼune civilisation. Cʼest un ensemble de faits de civilisation (langue, art...) spécifique à un groupe social. Le mot culture vient du latin «colere» qui au début signifie «cultiver la terre, la fertiliser». Ensuite est venue la culture de lʼesprit. La notion de culture est à la fois multiple et évolutive puisquʼelle est aussi bien individuelle que nationale, civilisationnelle voire universelle. A lʼintérieur dʼune culture, dʼune civilisation une autre différence peut être

duseulargumentdesconquérants« Ce pays est à nous » (14)parlerecoursàl'hypothèse inversée :l'invasiondel'EuropeparlesTahitiens.Retournelasituationetsoulignelecaractèreabsurde,inacceptable :c'estdu« vol »(22).   c)Paix,innocence,naturevsViolence,civilisation Colonsqualifiésde« brigands », de"méchants" (l.8).CLdelaviolence:"allument des fureurs inconnues", "femmes folles", "féroces", "haïr".Innocence=bonheur:"nous sommes innocents, nous sommes heureux" (l.16). Natureprésente,harmonie:"nous suivons

s breve relation de la destruction des indesTrès brève relation de la destruction des Indes, B. de Las Casas => B. de Las Casas => prêtre dominicain qui dirige une encomendia (=base d'administration coloniale). Il a écrit la TBRDI qu'il dédie au prince Philippe II. => Texte polémique Problématique : Quels enjeux idéologiques au cœur du pamphlet ? I.Le discours épidictique au service de la morale religieuse a) le double portrait => éloge des indiens/blâme des Espagnols

nature Nous avons respecté notre image en toi. tournures réciproques - condamnation du vol, de l'esclavage (droit du plus fort) par une série de fausses interrogations QU'EST - CE QUE LA CIVILISATION ? (relativisme) Face aux prétextes des colonisateurs qui se disent animer d'un idéal généreux de civilisation, le vieillard dénonce ces inutiles apports Il utilise leur langage (troquer ce que tu appelles notre ignorance) Nouveau renversement : ignorance - inutiles lumières Il insiste sur l'absence

sont exilées ou elles deviennent esclaves.Ces pratiques insistent sur le fait que l'acte sexuel a pour but premier la procréation. CHAPITRE 5 : Suite du dialogue entre A et B. A et B approuvent les mœurs tahitiennes et remettent en cause la civilisation qui assujettit les hommes à des lois artificielles, arbitraires et contradictoires. Puis ils revisitent les "conventions de la vie amoureuse" instituées par le code civil et le code religieux au regard du code la nature : le mariage, la galanterie

d'une sauvage austérité. La pure jeune fille, vierge, sage et forte qui finit par épouser le héros. La sinistre canaille Des paysages immenses, des prairies, des déserts, des roches où s'accroche la ville en bois amibe primitive d'une civilisation. La justice qui, pour être efficace, doit être extrême et expéditive, moins que le lynchage cependant. L'homme blanc est le conquérant créateur d'un nouveau monde. L'herbe pousse où son cheval a passé, il vient tout à la fois implanter