Claire De Lune Verlaine

quand méchante !Un souffle ami hanteLa vague, et nous chante :" Vous sans espérance,Mourez sans souffrance ! "Et puis sous les cieuxQui s'y rient plus clairs,Elle a des airs bleus,Roses, gris et verts...Plus belle que tous,Meilleure que nous ! Paul Verlaine ,La mer est plus belle Elle est retrouvée.Quoi ? - L’Eternité.C’est la mer alléeAvec le soleil. Ame sentinelle,Murmurons l’aveuDe la nuit si nulleEt du jour en feu. Des humains suffrages,Des communs élansLà tu te dégagesEt voles selon. Puisque

m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. » (v.1 à 4) Malgré l’expression de la douleur et de la souffrance la poésie peut aussi exprimer la joie et le bonheur du poète. Par exemple, Verlaine dans le poème « Green » se réjouit de son amour pour une femme. « Voici des fruits, des fleurs, des feuilles et des branches, Et puis voici mon cœur qui ne bat que pour vous Ne le déchirez pas avec vos deux mains blanches Et qu'à vos yeux si

Les Yeux d’Elsa peut se lire sur différent degré. En apparence, ce sont des poèmes d’amour (Plus belle que les larmes ; Cantique à Elsa), des poèmes célébrant des couples célèbres du passé (Les Plaintes) ou des poètes (Musset dans Les Nuits et Verlaine dans les Fêtes Galantes), et des poèmes d’inspiration médiévale (C ; Chanson de Récréance ; Lancelot). Ces différentes conceptions ont pour but de s’émanciper des règles que prescrivent le régime de Vichy. Les Nuits, chapitre du recueil qui renferme

Fut de condamner la Folie A servir de guide à l'Amour. L’Amour et la Folie écrit par Jean De La Fontaine(1621-1695) en 1693 tiré du dernier recueil de Jean De La Fontaine. A DEUX BEAUX YEUX VOUS AVEZ UN REGARD SINGULIER ET CHARMANT ; EN COMME LA LUNE AU FOND DU LAC QUI LA REFLÈTE, VOTRE PRUNELLE, OÙ BRILLE UNE HUMIDE PAILLETTE, AU COIN DE VOS DOUX YEUX ROULE LANGUISSAMMENT ; ILS SEMBLENT AVOIR PRIS SES FEUX AU DIAMANT ; ILS SONT DE PLUS BELLE EAU QU’UNE PERLE PARFAITE, ET VOS GRANDS CILS ÉMUS,

Notamment à cause des nombreuses figures de styles employées qui sont la base de la poésie, principalement la métaphore et la comparaison – exemple « il pleure dans mon cœur/comme il pleut sur la ville » extrait de « Il pleure dans mon coeur », Paul Verlaine , comparaison et métaphore en même temps, les mots ne sont pas utilisés dans leur sens premier, il faut de l’imagination pour comprendre ce que le poète veut dire c) Le poète, créateur de mots → Parfois le poète va plus loin que son utilisation

p.5 - Albert Samain “Ton souvenir est comme un livre”, Au jardin de l'infante (1893) p.6 - Jacques Prévert “Les feuilles mortes “ , Soleil de nuit (1980) p.7 - Paul verlaine “Nevermore ”, Poèmes saturniens (1866) p.9 - Paul verlaine “Colloque sentimental”, Fêtes galantes (1869) p.10 - Charles Baudelaire “J'aime le souvenir de ces époques nues”, les Fleurs du mal (1857)

trouve Baudelaire Gautier et Jules Cross qui comme Pygmalion créaient le sublime idéal qu’ils ne connaitront que dans leurs rêves les plus fou et qui les poussera jusqu’au bord du Tartare. Oh mes non ce ne sont pas les seuls détrompe toi ! le pauvre Verlaine lui aussi après sa vie tourmenté par ce fléau tombe dans les bras de Morphée qui le fera rêver de la sublime beauté de la déesse Aphrodite. Tu ne me crois toujours pas ? tu crois que c’est de l’histoire ancienne ? Mais non regarde Louis Aragon qui

.. Oui je le jure, si tu ne prononces pas ton discours devant cet arbre là, jamais plus je ne te déclarerai ni ne te ferai connaitre le discours de qui que ce soit"92. Dans les romances sans paroles, il est également question de serment, Verlaine rappelle Matilde de ses serments dans Birds in the Night mais pour mieux la critiquer et accentuer les accusations qu'il lui adresse "vous juriez alors que c'était mensonge et votre regard qui mentait lui même ... Et de votre voix qui disait je t'aime"

grammaire, le nom de Rimbaud imprimé dessus; mais celui des frères Bescherelle. Oui, purs de tout cousinage avec le Capitaine et la femme du Capitaine, et peut-être aussi contingents en regard de ceux-ci que les sept planètes lointaines en regard de la lune et du soleil, apparurent magistralement les grands-pères, les phares comme on disait, les étoiles lointaines dans la nuit des collèges, Malherbe et Racine, Hugo, Baudelaire et le petit Banville; qui l’un sorti de l’autre s’étaient donné le jour dans

blessure, il garde son trésor. Il faut qu’il ait au cœur une entaille profonde Pour épancher ses vers, divines larmes d’or ! Théophile Gautier, España, 1845. Document C Le crapaud 5 10 Un chant dans une nuit sans air… – La lune plaque en métal clair Les découpures du vert sombre. …Un chant ; comme un écho, tout vif Enterré, là, sous le massif… – Ça se tait : Viens, c’est là, dans l’ombre… – Un crapaud! – Pourquoi cette peur, Près de moi, ton soldat fidèle ! Vois-le, poète tondu, sans