Claire De Lune Verlaine

voit voleter la chauve-souris sombre. Tout bruit s'apaise autour. À peine un vague son Dit que la ville est là qui chante sa chanson, Qui lèche ses tyrans et qui mord ses victimes ; Et c'est l'aube des vols, des amours et des crimes. […] Paul Verlaine, « Nocturne parisien » (extrait), Poèmes saturniens, 1866. Texte 4 Ô Paris, ville ouverte(12) Ainsi qu'une blessure, Que n'es-tu devenue De la campagne verte. Te voilà regardée Par des yeux ennemis, De nouvelles oreilles Écoutent nos

recommence, Et je médite, obscur témoin, Pendant que, déployant ses voiles, L'ombre où se mêle une rumeur, Semble élargie jusqu'aux étoiles Le geste auguste du semeur. 37.  LE SOIR, AU CLAIR DE LUNE  (Albert Samain) Le ciel comme un lac d'or pâle s'évanouit, On dirait que la plaine, au loin déserte, pense Et dans l'air élargi de vide et de silence, S'épanche la grande âme de la nuit. Pendant que çà et là brillent d'humbles lumières

de ma merencolie’’ de Charles d' ORLEANS Petite analyse de ce poème Tableau liée au poème Texte B : ‘’Spleen (LXXVIII)’’ De Baudelaire Petite analyse de ce poème Tableau : Edvard MUNCH, Le cri, 1893 Texte C : ‘’Colloque sentimental’’ de Verlaine Petite analyse de ce poème Tableau : Magritte, colloque sentimental, 1947 Texte D : ‘’Le mal de vivre’’ de Barbara Petite analyse de ce poème Photographie : Self-destruct, anonyme Texte E : ‘’Rappelle-toi’’ d’Alfred De Musset Petit analyse

Bonjour Madame. Quelle heure est-il ? Il est midi. Qui te l’a dit ? La petite souris. Où donc est-elle ? Dans la chapelle. Qu’y fait-elle ? De la dentelle. Pour qui ? Pour les dames de Paris Qui portent des souliers gris. Anonyme À la claire fontaine À la claire fontaine M'en allant promener J'ai trouvé l'eau si belle Que je m'y suis baigné Il y a longtemps que je t'aime Jamais je ne t'oublierai ! […] Une chanson traditionnelle YEAR 5 La rentrée Je voulais dans mon cartable Emporter mes châteaux

terroir. Pedrolino, Pierrot, le personnage au visage enfariné ; il est, un peu comme sur une peinture de Watteau, ou sous la plume de Verlaine dans les fêtes galantes. Ces fêtes galantes, où des personnages charmants et élégants laissent libre cours au songe amoureux et aux conversations tendres. Ces fêtes galantes et masquées et musicales qui s’ouvrent au clair de lune et qui se terminent souvent de façon sentimentale et douloureuse. C’est cette poésie délicate très évocatrice qui m’inspire ; c’est

rappelle que les hiboux sont comparés à des dieux. Les colombes : J'ai sélectionné ce poème car Théophile Gautier utilise des figures de styles pour représenter ses rêves par des colombes. Le rossignol : Ce poème a attiré mon attention car Verlaine se sert de la personnification de l'oiseau pour raconter son divorce d'avec sa femme et sa rupture avec Rimbaud. Les oiseaux : J'ai retenu ce poème car les moineaux vont apporter un peu de joie et de vie dans le cimetière. Dans les bois :

poèmes Cours de français Mme Nulens 5H /Semaine 05/06/2012 Sommaire La pauvreté de Rutebeuf Page 3 Sur la mort de Marie de Pierre de Ronsard Page 5 L’automne d’Alphonse de Lamartine Page 7 Chanson d’automne de Paul Verlaine Page 9 L’adieu de Guillaume Apollinaire Page 11 Préface Mon vers est : Pâle comme un beau soir d’automne (L’andalouse, Alfred de Musset). La thématique retenue est l’automne. Pour moi, l’automne évoque la mort, la tristesse, la chute et

auteurs représentatifs du Romantisme sont Chateaubriand (1768-1848), Lamartine (1790-1869), Musset (1810-1857) et Hugo (1802-1885). b) Une œuvre littéraire romantique: « Nuit de Printemps » de François Renée de Chateaubriand Le ciel est pur, la lune est sans nuage : 
 Déjà la nuit au calice des fleurs 
 Verse la perle et l'ambre de ses pleurs ; 
 Aucun zéphyr n'agite le feuillage. 
 Sous un berceau, tranquillement assis, 
 Où le lilas flotte et pend sur ma tête, 
 Je sens couler mes penser

et qui bavarde ;Les tuyaux, les clochers, ces mâts de la cité,Et les grands ciels qui font rêver d'éternité.Il est doux, à travers les brumes, de voir naîtreL'étoile dans l'azur, la lampe à la fenêtre,Les fleuves de charbon monter au firmamentEt la lune verser son pâle enchantement.Je verrai les printemps, les étés, les automnes ;Et quand viendra l'hiver aux neiges monotones,Je fermerai partout portières et voletsPour bâtir dans la nuit mes féeriques palais.Alors je rêverai des horizons bleuâtres

pont Mirabeau coule la Seine          Vienne la nuit sonne l'heure          Les jours s'en vont je demeure "Le Pont Mirabeau" Apollinaire, Alcools (1912) PARIS Louis ARAGON, né en 1897 Où fait-il bon même au cœur de l'orage Où fait-il clair même au cœur de la nuit L'air est alcool et le malheur courage Carreaux cassés l'espoir encore y luit Et les chansons montent des murs détruits Jamais éteint renaissant dans sa braise Perpétuel brûlot de la patrie Du Point-du-Jour jusqu'au