Claire De Lune Verlaine

(« l’honnête homme ») représenté par les écrivains de la seconde moitié du XVIIe : Les «Classiques». En réaction contre l’exubérance du Baroque, le classicisme cherche à créer des modèles, en fondant chaque genre littéraire sur des règles de construction claires et rigoureuses. Il revendique l’usage d’un style simple et naturel. XVIII LES LUMIERES Ce mouvement d’idées s’exprime depuis fin XVIIème mais prend toute son ampleur avec l’entreprise de l’Encyclopédie. Les écrivains des Lumières s’engagent

ROMANCES SANS PAROLES par PAUL VERLAINE ARIETTES OUBLIÉES I Le vent dans la plaine Suspend son haleine. (Favart) C'est l'extase langoureuse, C'est la fatigue amoureuse, C'est tous les frissons des bois Parmi l'étreinte des brises, C'est, vers les ramures grises, Le chœur des petites voix. O le frêle et frais murmure ! Cela gazouille et susurre, Cela ressemble au cri doux Que l'herbe agitée expire... Tu dirais, sous l'eau qui vire, Le roulis sourd des cailloux. 1 Cette âme qui se lamente

au Parnasse : rôle du poète et fonction de la poésie Fiche méthode 1 : Identifier le registre lyrique Corrigés des exercices 2. Du Parnasse au symbolisme Fiche méthode 1 : Éléments de versification 3. Une œuvre intégrale : Poèmes saturniens, Paul Verlaine Corrigés des exercices 4. Avant-gardes et surréalisme : révolutions poétiques Fiche méthode 3 : formes fixes et formes libres Corrigés des exercices Entraînement à l’écrit Séquence 6 – FR20 1 © Cned – Académie en ligne O bjectifs & parcours

la célèbre "marche funèbre" • La cinquième fameuse par son thème du "destin qui frappe à la porte" • La sixième ou symphonie "pastorale" • La neuvième avec le fameux final de "l'Ode à la joie" de Schiller MUSIQUE DE CHAMBRE : Sonate "clair de Lune" OPERA Fidelio • Le Roi des Aulnes • La Truite • La Jeune fille et la Mort • La Belle Meunière • Le Voyage d'Hiver Remarques Novateur et maître de la musique instrumentale. ce dernier marque le tournant entre le classicisme

aussitôt disparues, Les baisers échangés au seul gré du hasard. Je voudrais au matin voir s'éveiller la brune Qui vous tient étranglé dans l'étau de ses bras ; Et, le soir, écouter le mot que dit tout bas La blonde dont le front s'argente au clair de lune. Puis, sans un trouble au cœur, sans un regret mordant, Partir d'un pied léger vers une autre chimère. - Il faut dans ces fruits-là ne mettre que la dent : On trouverait au fond une saveur amère. La chatte métamorphosée en femme est

mythologie. -Les colchiques: les colchiques réprésentent la femme sauf qu’elles contiennet du poison donc le poète a une vision mélancolique de l’amour. On note qui s’inspire du thème apprécié de Ronsard mais aussi de l’influence de Verlaine dans la construction du poème. -Palais: Le poète nous emmène dans l’univers des contes en faissant allusion à blanche neige et cendrillon. Il s’improvise guide d’un château et de ses extérieurs. Il fait preuve d’un certain

pour mission d’évoquer un univers supérieur invisible et idéal, dont le monde réel n’est que le reflet. Auteurs : Baudelaire : L'ennemi (poème) / (les fleurs du mal). Il était le précurseur du symbolisme Verlaine :Fêtes galantes (1869) : Dans son second recueil de 22 poèmes, Verlaine s'inspire de Watteau et des autres peintres qui, au XVIIIe siècle surtout, ont évoqué les plaisirs d'une société élégante et frivole. Sous le nom de fêtes galantes, on désignait alors une variation sur le thème

texte 2. Nom : Prénom : 2°1 12/10/09 Test SQ2 : la versification « Croquis parisien » La lune plaquait ses teintes de zinc Par angles obtus. Des bouts de fumée en forme de cinq Sortaient drus et noirs des hauts toits pointus. Le ciel était gris. La bise pleurait Ainsi qu’un basson. Au loin, un matou frileux et discret Miaulait d’étrange et grêle façon. Paul Verlaine, Poèmes saturniens, 1866. Voc : Zinc = métal. Obtus = larges. Bise = vent. Basson = instrument. Grêle

de la prose par son sujet, par sa forme, par l’opération qui la fait naître, voire même par le public auquel on la destine. Ces nécessités s’expriment à travers les «   arts poétiques   » traditionnels (Malherbe, Boileau) aussi bien que novateurs (Verlaine, Valéry). Des règles sont posées, même si elles doivent d’une certaine façon conduire au « déréglement de tous les sens ». A - Les contraintes y sont ou parfaitement consenties, naturellement suivies (c’est l’art classique, mais pas seulement celui

cheveux coupés courts sur le front. Trouverai-je jamais des mots qui la peindront, La chère vision que malgré moi j’ai fuie ? Qu’est auprès de son teint la rose après la pluie ? Peut-on comparer même au chant du bengali Son exotique accent, si clair et si joli ? Est-il une grenade entr’ouverte qui rende L’incarnat de sa bouche adorablement grande ? Oui, les astres sont purs, mais aucun, dans les cieux, Aucun n’est éclatant et pur comme ses yeux ; Et l’antilope errant sous le taillis humide