Clairière

repeupler le Morvan, de nouvelles habitations sont construites dans les clairières artificielles qui font suite à la poursuite du défrichement du massif durant le Moyen Âge. Ces nouveaux hameaux, isolés des villages auxquels ils sont rattachés, prennent dans le Morvan le nom particulier d'Huis. Cette appellation est suivie d'un nom, correspondant le plus souvent à celui de la personne ayant procédé au défrichage la clairière : par exemple, l'Huis-Dupin (rattaché à la commune de Gâcogne), est un hameau

bivouaquer !… WRANDRALL : on campe, hein ? J'ai sommeil ! ZEHIRMHANN : bien sûr ! Cherchons une clairière pour installer le camp... TRICHELIEU : ici, ça me semble très bien ! ENORIEL : mais non... ici c'est trop pentu ! TRICHELIEU  : c'est vrai ! (bruit d’estomac) ZARAKAÏ : j'ai faim ! WRANDRALL : Faut qu'on s’arrête... je suis fatigué... ZEHIRMHANN : D'accord... mais il faut trouver une clairière... ok ? TRICHELIEU : ici, ça me semble très bien ! ENORIEL : mais non ! Regarde ! Y a que des

histoire abracadabrante d'apparitions dans une pâtisserie, qui était sans doute inventée de toute pièce certes, mais qui était néanmoins assez troublante. Nous étions quatre amis, à peine sortis de l'adolescence. Nous campions au beau milieu d'une clairière, un froid dimanche d'automne. Notre feu de camp arrivait quand même à nous réchauffer. Là, je me décidais enfin à parler : « Moi aussi il m'est arrivé une aventure terrifiante, mais avant de vous la raconter, jurez-moi de n'en parler à personne

Exposition de Gilbert Fastenaekens – Chambre de la Princesse, Château
« Invisible project » - Exposition de Manfred Menz – Asinerie
« Atmosphère » - Exposition de Shin-Ichi Kubota – Galerie du Porc Epic Installations permanentes « Capella dans la clairière » - Installation d’ Anne et Patrick Poirier - Bosquet du Parc
« L'oeil de la mémoire» - Installation d’ Anne et Patrick Poirier - Bosquet du Parc
« L'oeil de l'oubli » - Installation d’ Anne et Patrick Poirier - Bosquet du Parc
« Lieu de rêve » -

vivent en petits villages installés le plus souvent au bord des rivières, dans des maisons fabriquées en torchis (cf. ci-contre) ou en pierre avec un toit de chaume. Les hommes du Néolithique doivent défricher et abattre des arbres pour ouvrir des clairières pour leurs champs à l'aide de hâche en pierre polie. Ils vivent de manière sédentaire avec les contraintes liées au travail de la terre et de l'élevage mais avec un meilleur équilibre alimentaire que par le passé. Les tenues vestimentaires sont

« Tragiques » : tout spectacle renvoie à cette première scène. Mais est-elle la première ? La première dont il se souvienne. Mais n’est-elle pas elle-même la répétition d’une autre « scène », celle-là primitive, originaire ? Dans l’épisode de la clairière, Leiris souligne plusieurs fois l’incapacité de l’enfant à établir le moindre lien entre ce qu’il voit et ce qu’il sent : il note simplement les coïncidences, il ne comprend pas « le mot de l’énigme ». À dire vrai, l’adulte qui fait le lien, comprend-il

souligne encore le caractère surnaturel des œuvres) : la décapitation de Cathor, la grange d’Otto où ont eu lieu le viol d’Emélia et des trois jeunes filles ainsi que leur meurtre ; la Baptistenbrücke et les saules où les trois j.f sont enterrées ; la clairière de Lichmal où elles ont été découvertes par les villageois qui les ont ensuite livrées aux Fratergekeime ; les rochers de Tizenthal, enfin, d’où Diodème, rongé par le remords, va se jeter. Tous des lieux sont donc associés à des mises à mort, des

condamné par les autres chevaliers et les seigneurs. Le chevalier à l’épée du soleil se présenta au Comte et le provoqua en duel, en lui notifiant qu’il venait venger son père et qu’il connaissait sa traîtrise. Le duel fut fixé au lendemain dans la clairière du Bois Fendu qui était proche de la ville. A peine arrivé, le Comte descend de son cheval et se jette sur Florent l’épée en avant, mais Florent esquive sans peine car les gestes du Comte sont malhabiles. Le Comte est trop sûr de lui et Florent

l’anneau quand il le passe à son doigt. Ainsi, il parvient à s’enfuir alors que Gollum comptait le tuer. Chapitre 6 : De Charybde en Scylla : Bilbo retrouve ses compagnons. Ils sortent de l’autre côté des Monts Brumeux. Mais, en arrivant dans une clairière, ils sont attaqués par des loups géants, les wargs, ainsi que par des gobelins. Le groupe monte dans les arbres et est sauvé par l’arrivée des aigles géants qui les emmènent. Chapitre 7 : Un curieux logis : les compagnons poursuivent leur route

pris  son sceptre en bois a deux mains. Une immense lumière aveugla  Moria quelques secondes. Elle couru vers lui et le transperça avec  son sceptre au niveau du ventre il tomba à terre. Après une heure de marche, ils arrivèrent dans une clairière. Au millieu de celle-ci, ils virent un homme assis sur un tronc d'arbre, un corps a ses pieds. Les trois adolescents étaient surpris de la  situation, mais Hysen prit son courage à deux mains et s'avença vers  lui. Il tenta de lui parler