Clairière

blancs : Ce n’est pas une bête en son gîte éveillée, Ce n’est pas un fantôme éclos sous la feuillée, Ce n’est pas un morceau de l’ombre du rocher Qu’on voit là-bas au fond des clairières marcher ; C’est un vivant qui n’est ni stryge ni lémure ; Celui qui marche là, couvert d’une âpre armure, C’est le grand chevalier d’Alsace, Eviradnus . Il y a le retour de motifs : « morceau

Sur le devant à droite est une table avec une écritoire, un fauteuil derrière. » Acte V : « Le théâtre représente une salle de marronniers, dans un parc; deux pavillons, kiosques ou temples de jardin, sont à droite et à gauche; le fond est une clairière ornée, un siège de gazon sur le devant. Le théâtre est obscur. » IV.Les Citations « Les gens qui ne veulent rien faire de rien, n'avancent rien, et ne sont bons à rien. » II, 2 « Qu'avez-vous fait pour tant de biens ? Vous vous êtes donné la peine

nous cherchons, dans la ville, Le coin désert, l'abri solitaire et tranquille, Le seuil qui n'a pas d'yeux obliques et méchants, La rue où les volets sont fermés ; dans les champs, Nous cherchons le sentier du pâtre et du poète ; Dans les bois, la clairière inconnue et muette Où le silence éteint les bruits lointains et sourds. L'oiseau cache son nid, nous cachons nos amours.  Victor Hugo (1802-1885), Contemplations (1856) Chat Viens, mon beau chat, sur mon cœur amoureux ; Retiens les griffes

cherchons, dans la ville, Le coin désert, l'abri solitaire et tranquille, Le seuil qui n'a pas d'yeux obliques et méchants, La rue où les volets sont fermés ; dans les champs, Nous cherchons le sentier du pâtre et du poëte ; Dans les bois, la clairière inconnue et muette Où le silence éteint les bruits lointains et sourds. L'oiseau cache son nid, nous cachons nos amours. Ecrit au bas d'un crucifix Vous qui pleurez, venez à ce Dieu, car il pleure. Vous qui souffrez, venez à lui, car il guérit

froid soufflait de la plaine. Le bois était ténébreux, sans aucun froissement de feuilles, sans aucune de ces vagues et fraîches lueurs de l'été. De grands branchages s'y dressaient affreusement. Des buissons chétifs et difformes sifflaient dans les clairières. Les hautes herbes fourmillaient sous la bise comme des anguilles. Les ronces se tordaient comme de longs bras armés de griffes cherchant à prendre des proies : quelques bruyères sèches, chassées par le vent, passaient rapidement et avaient l'air

dérision et de complicité amusée qui fait douter du sérieux de toute l’opération. Saraison d’être, pourtant, si suspecte soit-elle, est de servir de paravent à une autre action, vraiecelle-ci, qui a lieu en dehors du lieu scénique, dans quelque clairière de la brousse africaine : on yprocède clandestinement - nous informe Ville de Saint-Nazaire, Nègre qui fait le va-et-vient entrel’extérieur et l’intérieur - au jugement, puis à l’éxécution d’un mauvais Noir. On a donc besoin de ladiversion que constitue

comme celle que ma mère chantait pour me calmer et me réconforter lorsque, petite fille, je pleurais parce que j’avais peur du noir. Cette mélodie eut le même effet qu’alors. Je sortis de la cabane et je me dirigeai vers elle. Elle me guida vers une clairière couverte de verdure et de fleurs. Le ciel y était d’un bleu d’azur, car le vent avait balayé tous les nuages qui s’y étaient accumulés par erreur. Etait-ce le paradis ? Je baignais dans une lumière plus éclatante que celle jamais produite par le

en guerre aux côtés des Alliés en 1917 ? Les Etats-Unis entrent en guerre aux côtés des Alliés en 1917. A quelle date l'armistice est-il signé ? L'armistice est signé le 11 novembre 1918 A quel endroit ? Dans un wagon-restaurant aménagé dans la clairière de Rethondes, en forêt de Compiègne dans l'Oise. Combien de soldats sont morts pendant la Première Guerre Mondiale ? Environ 9 millions de personnes Combien de français ? Environ 1 700 000 personnes Quels surnom les combattants ont-ils donnés

Fort, ceint son vaste corps de la peau du lion, S’avance, front terrible et doux, à l’horizon ! Par la lune d’été vaguement éclairée, Debout, nue, et rêvant dans sa pâleur dorée Que tache le flot lourd de ses longs cheveux bleus, Dans la clairière sombre où la mousse s’étoile, La Dryade regarde au ciel silencieux… — La blanche Séléné laisse flotter son voile, Craintive, sur les pieds du bel Endymion, Et lui jette un baiser dans un pâle rayon… — La Source pleure au loin dans une longue

Effectivement, on peut remarquer que « l’herbe s’éveille et parle au sépulcres dormants » comme le souligne si justement le vers 8. On remarque également un « O » lyrique au vers 14 qui, avec le champ lexical de l’amour et celui de la nature (« clairière » vers 2, « arbres […] branches » vers 3, « collines » vers 5, « sentiers » vers 7, etc.) souligne l’emploi du registre lyrique tout au long du poème. Le lyrisme d’une scène ou d’un poème est souvent mise en avant par la présence d’un réseau lexical