Clairvaux

est aussi ce qui enchaîne. Ce qui peut être une aide dans une voie spécifique est également une entrave pour tous ceux qui veulent s’en écarter. On comprend pourquoi les religions se battent pour convertir les masses à leur cause. Pour Bernard de Clairvaux (1090-1153) grand prédicateur de la 2ème croisade (1147-1149) c’était on ne peut plus clair « le baptême ou la mort » ou encore « conversion ou extermination ». Vous pouvez imaginer aisément que le système avait crucialement besoin d’énergie vitale

de poussière exposé à tous les vents. Non il ne mérite pas le nom de savant, celui qui ne l’est pas de soi. Un vrai savant devra d’abord connaître ce qu’il est, et boira le premier de l’eau de son propre puits » (La Considération, de Bernard de Clairvaux) Et si cette eau est amère, faut-il continuer à la boire ? Faut-il aimer telle qu’elle est l’eau de son propre puits ? » (Les pierres sauvages, Fernand Pouillon, Seuil, 1964, 232 p.) Dans cette histoire de la construction de l’abbaye cistercienne

l’abbé Bernard de Clairvaux témoigne des tensions qui traversent la culture du XIIè siècle sur ce sujet. Le premier a une conception plus large des images capables d’opérer le transitus, conception qui repose sur une philosophie néo-platonicienne de la lumière : placé dans la lumière, tout objet sacré est transfiguré et susceptible d’élever graduellement l’âme du fidèle à un état spirituel qui lui donne l’avant-goût de la béatitude céleste. Tout au contraire, Bernard de Clairvaux, sans doute très

des affaires criminelles où se posait la question de la peine de mort, comme par exemple le procès de Roger Bontems en 1972. Ce dernier est reconnu coupable de complicité dans l'affaire du meurtre d'une infirmière et d'un gardien de la centrale de Clairvaux. Mais il ne parvient pas à éviter la peine de mort à son client. Cet événement marque le début de son combat. Grâce à sa plaidoirie contre la peine de mort en 1977, il sauve Patrick Henry, coupable en 1976 du meurtre d’un enfant de sept ans, ce dernier

Paris, Les Belles-Lettres, 2007, 360 p. Le troisième volume a pour titre De vagues individus (ancien titre donné par l’auteur La nation des humains) ; il appréhende par la pensée scolastique (Hugues de Saint-Victor ; Isaac de l’Etoile et Alcher de Clairvaux) la problématique de l’association de l’âme au corps. De vagues individus : La condition humaine dans la pensée scolastique, Paris, Les Belles-Lettres, 2008, 364 p. Même si la trilogie forme un ensemble, les trois volumes peuvent se lire séparément

traitée en prenant appui sur une étude au choix parmi les trois suivantes : ‐ La découverte d’un lieu de culte : une église ou une abbaye. ‐ Les croyances et les pratiques religieuses dont témoignent des œuvres d’art. ‐ La vie d’un moine, Bernard de Clairvaux (1090-1153) ou d’une moniale, Hildegarde de Bingen (1098-1179). La question porte sur les représentations et les rituels liés à la féodalité. On traite au choix : ‐ Les liens d’homme à homme : cérémonies, rituels et symboles. ‐ L’idéal du chevalier

parfaitement guéri, devant la cour d'assises de Troyes. Tout ce que la ville peut donner de foule était là. Claude eut une bonne attitude devant la cour. Il s'était fait raser avec soin, il avait la tête nue, il portait ce morne habit des prisonniers de Clairvaux, mi-parti de deux espèces des gris. Le procureur du roi avait encombré la salle de bayonnettes, -afin, dit-il à l'audience, de contenir tous les scélérats qui devaient figurer comme témoins dans cette affaire. Lorsqu'il fallut entamer le débat, il

réforme a eu plusieurs aspects en fonction des époques. 1098 : Ordre Cistérien. Autorité spirituelle. Restauration de la règle Bénédictine inspirée de la réforme Grégorienne. Rigueur liturgique, travail comme valeur cardinale. Développé par Bernard de Clairvaux (1090-1153). 1121 : Ordre des Prémontés. Au 6ème siècle, les chanoines réguliers désignent des clercs qui desservent une église sous la tutelle d’un évêque. Dès le 8ème siècle, clergé canonial qui proscrit la vie commune (contrairement aux moines

très malade, c’est : « Vous êtes trop malade pour vous réinsérer à l’extérieur, donc on vous garde ». Je plaidais récemment pour Régis Schleicher, l’un des membres un peu à part d’Action Directe. Il est très fier d’occuper la cellule de Blanqui à Clairvaux. Vous savez, la prison, les détenus en parlent comme des hôtels : tel hôtel été fréquenté par Saint John Perse, l’autre par Gide. À son procès, Schleicher déclare donc : « Je suis fier d’occuper la cellule de Blanqui, et je suis fier d’avoir tenté

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