Classes Sociale Entre Maitre Et Valets

ou de sentiments entre plusieurs personnes. L'échange peut opposer de longues tirades, ou au contraire de courtes phrases aigües. Avec quels moyens littéraires et de mise en scène, les conflits dans les rapports humains sont-ils représentés au théatre ? Nous allons tout d'abord, aborder les conflits d'ordre politique ou sociale, puis les conflits de génération, et finalement le conflit interieur. Premièrement, les conflits d'ordre politique ou social. Les conflits d'ordre social sont des situations

les déboires auxquels doit faire face le valet Figaro pour se marier avec Suzanne alors que son maître, le comte Almaviva essaie d’obtenir les faveurs de la fiancée. Ecrite en 1778 par une figure emblématique du siècle des lumières, Beaumarchais, la première représentation de cette pièce n’eut lieu qu’en 1784 suite à plusieurs années de censure. La scène 16 de l’acte 3, c'est-à-dire l’extrait étudié, fut interdite car il « remettait en cause l’ordre social ». Vu comme «  le fils de Molière » à cause

Comédiens italiens, entre 1722 et 1740, des comédies sur mesure. Il est, après Molière, Racine, Corneille et Musset le cinquième auteur le plus joué par la Comédie française. Les Fausses Confidences est une comédie en trois actes et en prose de Marivaux jouée pour la première fois le 16 mars 1737 par les Comédiens italiens. Avec cette pièce, Marivaux met en scène le triomphe de l'amour. Dubois, l’assistant d’Araminte, une riche veuve, met en place un complot avec son ancien maître Dorante, afin qu’il

de français « Rien de plus futile, de plus faux, de plus vain, de plus nécessaire que le théâtre ». Louis Juvet. A partir du XVII et du XVIII siècle, le théâtre, les romans et les livres sont à la mode. Les gens de quelle que soit leur statue social, ils s' intéressent aux théâtre que ce soit une comédie ou une tragédie. Les théâtres sont toujours plein de monde, et les acteurs traitent toutes sortes de sujet à propos de la société. Les comédiens se moquent plutôt de la noblesse, notamment leurs

raison du départ précipité de Dom Juan, alors qu’il l’a fait sortir d’un couvent pour l’épouser. Sganarelle, valet vantard de Dom Juan, donne une première ébauche du personnage en lui apprenant qu’un « mariage ne lui coute rien à contracter », et qu’« un grand seigneur méchant homme est une terrible chose ».  Nous pouvons donc nous demander quel portrait Sganarelle donne-t-il de son maitre et indirectement le sien. Dans un premier plan nous allons traiter le portrait de Dom Juan que fait Sganarelle

façon de penser révolutionnaire par l’écriture et la politique. L’écrivain dévoué à la société est désigné comme le romancier du peuple pour la nouvelle importance qu’il donne à la forme populaire dans ses œuvres, il demande la substitution des idées sociales aux idées politiques. L’enfant des lumière a fortement contribué au renouvellement de la poésie et du théâtre. En 1827 il écrit la préface de Cromwell, l’exemple d’un drame selon la technique shakespearienne, c’est-à-dire le drame romantique. Ce

est, en quelque sorte, une manière d’envisager le réel, de se cantonner dans l’étude de la nature humaine, d’étudier objectivement jusqu’aux basses classes. Tout en s’intéressant aux sujets contemporains et quotidiens, les auteurs réalistes refusent de se laisser « emporter » par leur sujet, refusent la subjectivité et l’émotion comme réformateurs sociaux et moraux. Mais étudier la nature d’une façon objective, ce n’est pas photographier le réel Définition Le réalisme Le réalisme est un mouvement

est un humaniste anglais qui vécu de 1478 à 1535. Il y explique les bases de l'utopie, d'ailleurs Son ouvrage servira de modèle aux futures utopies sociales. Le mot " utopie " signifie littéralement " lieu de nulle part ". Elle représente une société parfaite et idéale où les hommes vivent en paix et en harmonie. Celle-ci peut être politique, social. Quoi qu'il en soit les sociétés utopiques sont en principes fondées sur la tolérance, la paix, l'amour du travail, le partage des biens, le fait

c'est le libre penseur qui l'emporte, celui qui ne croit pas aveuglément et qui doute, celui qui raisonne devant les évidences de la vie dont se contentent ses contemporains Sganarelle présente tout de suite son maître comme un athée (acte I, scène 1): (…) tu vois en Dom Juan, mon maître, le plus grand scélérat que la terre ait porté, un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni saint, ni Dieu, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, en pourceau

références des pages renvoient à l'édition folio-théâtre n°9) • • • • L.A n°1 (Acte I, scène 1) : l'exposition (de « On dit que votre futur » p35 à « Quel fantasque avec ces deux visages » p37) L.A. n°2 (Acte II, scène 9) : un duo amoureux entre Silvia et Dorante (de « Ah, ma chère Lisette » p86 à « Sans difficulté » p88) L.A. n°3 (Acte III, scène 6) : les aveux comiques de Lisette et Arlequin (de « Sachons de quoi il s'agit » p122 à « la coiffeuse de Madame » p125) L.A. n°4 (Acte III