Classification Aarne-Thompson

contes (fantastiques, étiologiques, parodiques…).Des classifications ont été proposées dès le XIXe siècle, mais elles ont posé bien des problèmes en raison de la masse et de la grande variété des contes. Alors pour y voir plus clair, le finlandais Anti Aarne a défini en 1910 le notion de « conte-type » qui a permis l'instauration d'une classification internationale. Reprise et complétée en 1928 par Smith Thompson, cette classification « Aarne -Thompson » regroupe tous les contes selon leur schémas narratifs

et XXe siècles, en quatre catégories : les contes d’animaux, les contes proprement dits, qui incluent les contes merveilleux et les contes religieux, les contes facétieux et les contes à formule, qui sont souvent des contes en chaîne (classification Aarne-Thompson). Ces contes laissent affleurer en général des normes sociales ou morales. Dans l’occident chrétien, les contes s’ordonnent autour du Bien et le Mal, du Diable et du Bon Dieu ; leur lutte immémoriale assure le caractère dramatique du

international des contes établi par deux folkloristes, Antii Aarne et Smith Thompson, recense plus de milles contes-types et les classent en quelques catégories, divisées en sous-thèmes. Les contes merveilleux figurent parmi eux. Ces contes sont facilement permutables, ce qui s’explique par leur structure diégétique décrite par le folklorise russe Vladimir Propp. Ainsi, plusieurs motifs sont présents dans différents contes-types. La classification est donc parfois arbitraire17. Le conte change de signification

et XXe siècles, en quatre catégories : les contes d’animaux, les contes proprement dits, qui incluent les contes merveilleux et les contes religieux, les contes facétieux et les contes à formule, qui sont souvent des contes en chaîne (classification Aarne-Thompson). Ces contes laissent affleurer en général des normes sociales ou morales. Dans l’occident chrétien, les contes s’ordonnent autour du Bien et le Mal, du Diable et du Bon Dieu ; leur lutte immémoriale assure le caractère dramatique du récit

et XXe siècles, en quatre catégories : les contes d'animaux, les contes proprement dits, qui incluent les contes merveilleux et les contes religieux, les contes facétieux et les contes à formule, qui sont souvent des contes en chaîne (classification Aarne-Thompson). Ces contes laissent affleurer en général des normes sociales ou morales. Dans l’occident chrétien, les contes s'ordonnent autour du Bien et le Mal, du Diable et du Bon Dieu ; leur lutte immémoriale assure le caractère dramatique du récit

merveilleux, les contes d’animaux et les contes religieux. Pour Roger Zuber, « ils représentent un beau travail de sauvetage des cultures régionales et des inventions anonymes12 ». Ils comprennent en effet pour chaque conte type (selon la classification Aarne-Thompson), le texte d’une version représentative ; sa décomposition en éléments narratifs, et pour chacun d’eux, les principales variantes attestées dans l’ensemble du corpus. Ils incluent 11 Voir l’ouvrage d’Ernest Tonnelat, Les contes des frères

XIXe et XXe siècles, en quatre catégories : les contes d’animaux, les contes proprement dits, qui incluent les contes merveilleux et les contes religieux, les contes facétieux et les contes à formule, qui sont souvent des contes en chaîne (classification Aarne-Thompson). Ces contes laissent affleurer en général des normes sociales ou morales. Dans l’occident chrétien, les contes s’ordonnent autour du Bien et le Mal, du Diable et du Bon Dieu ; leur lutte immémoriale assure le caractère dramatique du récit

types d’épisodes qui les constituent – épisodes conçus comme autant d’unités narratives. Ainsi, dans le catalogue Delarue-Tenèze et la classification Aarne-Thompson, par exemple, ces précurseurs opéraient par rapport au contenu et distinguaient les contes merveilleux, réalistes, facétieux, étiologiques, mythologiques etc. Propp cherche à éviter ces classifications hasardeuses qui rangent les contes en catégories ou, plus arbitrairement encore, selon les sujets. Il reproche à l’école historico-géographique

Follows Association) nous laisse deux représentants des plus connus : Aarn et Thompson. Thompson est l’auteur de « Types of the folk tale », qui est une aide aux travaux sur le folklore et qui compile les travaux de collègues. Ce livre est en fait un « index des motifs de la littérature populaire », un vaste catalogue des motifs folkloriques, des contes de fées de la tradition populaire, … Il observe une classification alphabétique et à la lettre F on découvre les êtres extraordinaires et parmi eux

dans le champ de l'image : c'est un ensemble constitué par les sons hors champ de la diégèse et les sons off rajoutés après le tournage. G) Sons et temporalité Par ailleurs, sur le plan de la temporalité, si l'on suit David Bordwell et Kristin Thompson (Film Art: An Introduction, 1979 et réédit.), on peut observer que les sons diégétiques et non-diégétiques peuvent être dans un rapport de simultanéité, de concomitance avec l'image ou de non-simultanéité, qu'ils soient décalés parce qu'ils renvoient