Claude Gueux Injustice

presque se met à sa place) => le lecteur sent donc toute l'atrocité de la peine de mort - surtout à la fin puisque le récit s'arrête avec la vie du condamné. Et Hugo utilise même une histoire vraie dans Claude Gueux : le personnage a vraiment existé, il est vraiment mort - il ne s'appelait sûrement pas « Gueux » qui insiste sur sa pauvreté mais il est mort : réalisme => touche le lecteur. ∆) Grande force de la fiction. Le fait de passer par un personnage => le lecteur s'identifie à ses peines (ou joies

riches que Hugo critique, c’est aussi le système judiciaire français, ses imperfections et ses injustices. Hugo éprouve de la pitié pour des condamnés à mort et de la haine pour la guillotine. Il trouve la peine capitale insupportable et ne comprend pas pourquoi « la société fît au coupable, et de sang-froid, et sans danger, précisément la même chose dont elle le punissait »[1].A travers Claude Gueux, Hugo accuse la pauvreté et l’injustice sociale comme responsables de nombreux crimes.

institutions mobiles, véhiculent une culture. Miroir:Image, reflet de quelque chose La littérature « miroir » de la société , le roman voulait être un miroir de la société => dénonciation des injustices sociales. . Hugo qui dénonce la misère (Les Misérables) mais aussi la peine de mort (Claude Gueux ; Le Dernier jour d'un condamné).. naturalisme de Zola : montre toutes les corruptions, pauvreté, mauvaises conditions de travail.

Je me présente …. Je suis ici dans le but de défendre mon client, Claude Gueux ici présent. Dans cette affaire il n’y a pas seulement une victime il y en a deux ! Sachez-le ! Mon client est bien conscient de son crime (témoignage de l’infirmière). La preuve, il a essayé de mettre fin à ses jours après son acte. Ce crime est un coup de folie qu’il regrette terriblement aujourd’hui ! Interrogeons nous d’abord, pour comprendre pourquoi il a commis un tel acte ! Commençons par le commencement :

En tant qu’homme politique et écrivain du XIXe siècle, Victor Hugo n’a cessé de combattre les injustices et les abus de la société. En effet, ayant à cœur le bien de la société et non celui des aristocrates, il n’hésite pas à publier face aux idées courantes, telle que pour plaider la cause des misérables – rejetés de la société -. Le roman « Le Dernier Jour d’un condamné », écrit en 1828 alors qu’Hugo n’a que 26 ans, sera toutefois l’annonce de son premier vrai combat : combat contre la peine

après le coup d’état de Napoléon Bonaparte en 1851. Hugo reste à Guernesey pendant 20 ans où il écrit des recueils de poésie tel Les contemplations (1856), et Les Châtiments (1853). Son roman le plus célèbre, Les Misérables écrit en 1862 dénonce les injustices sociales. En 1870, il fait un retour triomphal et siège comme sénateur. A sa mort, ses obsèques nationales rassemblent deux millions de personnes. Il repose désormais au Panthéon. III) Une œuvre monumentale : L'ensemble des écrits de Victor

simple, c'est la question de ceux qui ont et de ceux qui n'ont pas ! ». Hugo est un farouche abolitionniste. Dans son enfance, il a assisté à des exécutions capitales et toute sa vie, il luttera contre. Le Dernier Jour d'un condamné (1829) et Claude Gueux (1834), deux romans de jeunesse, soulignent à la fois la cruauté, l'injustice et l'inefficacité du châtiment suprême. Mais la littérature ne suffit pas, Hugo le sait. Chambre des Pairs, Assemblée, Sénat : Victor Hugo saisira toutes les tribunes

GARDENAT Aliénor 3°bleue Fiche de lecture I Titre : CLAUDE GUEUX Auteur : VICTOR HUGO Genre : Nouvelle romanesque et dramatique écrite en 1834 relatant un fait réel. Discours narrativisé II Résumé de l'œuvre : Victor Hugo nous relate l'histoire de Claude Gueux, telle une caméra placé dans la prison. Claude Gueux est un pauvre ouvrier parisien qui vit avec sa maîtresse et son enfant. Un hiver, alors qu’il est au chômage, la faim et le froid le poussent à commettre un vol. Il est condamné

faire part de leurs opinions au yeux des lecteurs. 5°/ Y a-t-il des points communs entres ces ouvrages et Claude gueux ? Si oui, lesquels ? Quel genre (l’essai ou l’apologue) est le plus efficaces pour faire passer ses idées selon vous, Pourquoi ? Les ouvrages « Eloge du carburateur » et «Le président des riches », présentent tous les deux des points communs avec l’ouvrage de Claude gueux, Chacun de ces trois ouvrages va montrer que dans notre société il existe un grand problème d’égalité économique

l’heure de son exécution. La portée de l’œuvre : Le Dernier Jour d’un condamné est une oeuvre humaniste, une œuvre engagée, il est aussi l’œuvre inaugurale du combat qu’a mené Victor Hugo pendant toute sa vie contre la peine capitale : avant Claude Gueux, Les Misérables et les nombreux discours politiques contestant la peine de mort, Le Dernier Jour d’un condamné pose la question de la justice, des causes sociales du crime, des raisons du châtiment, il use tous les arguments pour dénoncer afin