Claude Gueux Injustice

l’immense succès populaire de notre Dame de Paris ou des misérables ou de Claude gueux… Dans Claude gueux (1834), Hugo cherche à montrer que Claude gueux n’est pas un personnage au sens traditionnel du mot mais l’incarnation de tous les malheureux, un héros collectif. Par le récit de son itinéraire, Hugo souligne que la justice loi de permettre la rédemption ne peut qu’acculer les misérables. Condamné a mort, Claude gueux révèle une bonté qui n’avait pu s’exprimer jusqu’alors. Enchaînant sur une

la société => dénonciation des injustices sociales. A – Le tableau réaliste. Lorsque l’auteur crée le personnage => le lecteur peut s’y attacher, touché par ses misères. Cf. la pauvre Fantine qui est réduite à se faire couper les cheveux, arracher les dents puis se prostituer pour aider sa petite Cosette (les Thénardier étant en + des escrocs => encore plus pathétique). = > Au XIXe s, le roman voulait être un miroir de la société : dénonciation des injustices sociales. = > Hugo dénonce la

rendre hommage aux victimes de cette guerre, de dénoncer ces tueries arbitraires, et de faire connaître un martyr qui ne peut être décrit que par les mots poétiques. De même, dans un contexte de ruptures politiques, Victor Hugo publie son roman Claude Gueux en 1834. De façon réaliste et poignante; il conte l'histoire d'un pauvre homme qui, pour survivre est forcé de voler. Cela l’amène au bagne et le corrompt au point de tuer un homme, non pas par manque d'humanité mais parce que la société l'a rendu

présentant un personnage qui va cultiver un goût du bonheur très proche du sien. Il en est de même pour Victor Hugo qui s’inspire du compte rendu du procès d’un certain Claude Gueux pour plaidoyer contre la peine de mort. On peut soupçonner Victor Hugo d’avoir embelli la vérité pour appuyer son argumentation. Dans le roman, Claude Gueux est décrit d'une façon habituellement réservée aux héros; il gagne le respect et l'admiration des autres prisonniers par son calme et sa pondération. Le directeur lui

Primo Levi. c) La censure. - ex : Les fables Conclusion CONCLUSION : Les écrivains parle de ce qui le touche, donc s'il se sent concerné par le sort de certains, par le pouvoir en place, par des injustices... il passe par ce qu'il sait faire pour transmettre ses idées. La portée peut être limitée. Mais les textes peuvent faire peu à peu évoluer les mentalités, faire réfléchir et aider la société à évoluer. Oui la littérature est un moyen au questionnement

intrigue au service de la dénonciation d’une cause = moins polémique ms assez efficace car touche la sensibilité du lecteur EX : pièce de théâtre pr dénoncer esclavage Zamore et Mirza d’O de G / apologue = détour par la fiction pour dénoncer Claude Gueux ou d’un perso de fiction = Marceline dans Le Mariage de Figaro dénonce l’inégalité de traitement des femmes…. III. Une de fonctions de la littérature est de refléter le monde = une lutte en sourdine = une lutte qd même ms srtt un moyen

Introduction identique pour les 3 lectures analytiques → Dans son roman les Misérables, Victor Hugo décris la vie de miséreux à Paris et en province. Jean Valjean en est le héros principal et n'est pas sans rappeler Claude Gueux ou le protagoniste du dernier jour d'un condamné. C'est un roman historique qui rappelle des fait précis mais également un roman social et philosophique. Ce roman est une expression du romantisme car « l'homme est bon et c'est la société qui le rend mauvais». Durant l'écriture

rares au sein des communautés au bas de l’échelle économique. Cela s’explique, en partie, par la négligence de la société et l’accès inadéquat aux services de santé pour ces personnes. Puis, de façon plus abstraite, la pauvreté est décrite comme une injustice sociale. En effet, les pauvres sont prédestinés à vivre dans la pauvreté, mais aussi à en rester : « Père Las ! Mère Pas. » Avec cette strophe, on comprend que l’individu est un orphelin. Dans ce sens, le poète montre que, puisque les inégalités

lumières, par exemple, mettent en cause les | | |du siècle |fondements du pouvoir absolu et dénoncent certaines injustices comme |B.Les romanciers du courant romantique s’intéressent aux couches | |Dans Les Confessions d’un enfant du siècle, Musset dénonce l’idolârie|l’esclavage (21) |sociales défavorisées (2)

sucre en Europe ». C- La littérature « miroir » de la société Au XIXe siècle, le roman voulait être un miroir de la société => dénonciation des injustices sociales. * Prenez un exemple dans votre corpus, culture... est développez-le. Cf. Hugo qui dénonce la misère (Les Misérables) mais aussi la peine de mort (Claude Gueux ; Le Dernier jour d'un condamné). Cf. naturalisme de Zola : montre toutes les corruptions, pauvreté, mauvaises conditions de travail... sous le Second Empire.