Claude Gueux Injustice

sucre en Europe ».               C- La littérature « miroir » de la société Au XIXe siècle, le roman voulait être un miroir de la société => dénonciation des injustices sociales. • Prenez un exemple dans votre corpus, culture... est développez-le. Cf. Hugo qui dénonce la misère (Les Misérables) mais aussi la peine de mort (Claude Gueux ; Le Dernier jour d'un condamné). Cf. naturalisme de Zola : montre toutes les corruptions, pauvreté, mauvaises conditions de travail... sous le Second Empire.Rhinocéros

(expliquer brièvement que c’est l’ancêtre de l’Assemblée nationale, entre 1814 et 1848), à l’Assemblée puis au Sénat, articles dans la presse européenne et lettres d’intervention en faveur de condamnés. Dans Le Dernier Jour d’un Condamné (1829), et Claude Gueux (1834), deux romans de jeunesse, Victor Hugo souligne à la fois la cruauté, l'injustice et l'inefficacité du châtiment suprême. En écrivant, à vingt-sept ans, Le Dernier Jour d’un condamné comme un journal, à la première personne, Hugo interpelle

d'accusation. C'est un genre littéraire, certes, mais surtout juridique. L'auteur ce sert du réquisitoire pour défendre une cause qui lui est chère mais aussi pour dénoncer les injustices de la société. Dans Claude Gueux de Victor Hugo l'auteur dénonce la peine de mort au travers de faits réels. Après le récit de la vie de Claude Gueux, qu'il romance un peu, certes, mais pour appuyer son argumentation, il affirme que c'est la difficulté de la vie de cet homme, de son rejet de la société, qui en a fait un

aussi permettre à son auteur de défendre une question qui lui est chère. Il prend fait et cause pour un sujet plus précis, un fait de société, une injustice, une pratique qui le révoltent. C’est pourquoi, un grand nombre d’auteurs se sont engagés à travers leurs écrits à propos de causes importantes : tels Hugo contre la peine de mort dans Claude Gueux, Alexandre Soljenitsyne dans l’Archipel du Goulag qui traite du système carcéral et de travail forcé mis en place dans l'Union soviétique ou encore

: l’esprit des lois Contre-argument 2 : soulève des polémiques et exploite l’art pour provoquer Ex 1 : Ex 2 : Argument 3 : permet de défendre une cause, une personne, un idéal Ex 1 : affaire Dreyfus => j’accuse…! D’Emile Zola Ex 2 : Claude Gueux de Victor Hugo => contre la peine de mort Dans la mémoire collective, Sartre est le symbole de l'engagement de l'écrivain. Il affirme qu'un texte n'est jamais neutre par rapport à l'époque où il est écrit — sauf la poésie qui, parce qu'elle

mobilisation des auteurs peut parfois entrainer des changements réels des faits, dès lors, la littérature devient une arme efficace. On peut prendre pour exemple le texte de Voltaire, Traité sur la tolérance. Celui –ci a été écrit pour dénoncer une injustice criante, commise au nom de la religion. Grâce à cet ouvrage, l’auteur a obtenu la réhabilitation de Jean Calas. De même, Zola a permis la révision du procès de Dreyfus, suite à la parution de son article « J’accuse », dans le journal l’Aurore, en

sont pas toujours très facile à lire. Il y a bien souvent des risques d’incompréhension pour le lecteur. Heureusement, on trouve d’autres formes littéraires plus abordables qui elles aussi fournissent une argumentation pour notamment dénoncer les injustices. Les pièces de théâtre n’hésitent pas à montrer les vices de l’époque. Si l’on prend par exemple Les noces de Figaro, l’argumentation de Molière nous pousse à prendre parti contre le père que l’on finit par trouver stupide. C’est probablement

leçon d’histoire. Grâce à la fiction, on entre dans une époque, dans un mode de pensée…               B- La force du recours à la fiction pour dénoncer/argumenter • Au xixe siècle, le roman voulait être un miroir de la société : dénonciation des injustices sociales. Hugo dénonce la misère dans Les Misérables, à travers plusieurs personnages touchants et vivants. Ce ne sont pas des types ; ont leurs défauts et leurs qualités => ressemblent au lecteur. Cf. Cosette, Fantine, Valjean… • Lorsque le narrateur

naturalisme est Zola chef de file du mouvement. Certains romans analysent la société. C'est le cas des romans zoliens. Emile Zola est un auteur qui applique des méthodes de recherche scientifique à une œuvre littéraire (la méthode expérimentale de Claude Bernard ou le déterminisme de Darwin) ; de ce fait, ses romans sont d'une rigueur et d'une logique presque déconcertante : il a pour vocation de prouver l'effet du milieu social et des tares héréditaires sur le comportement des hommes. Ces œuvres

favoris. Dans une premiere partie nous montrerons que le roman a une fonction divertissante puis dans une seconde partie nous vérons que les auteurs se servent aussi de leurs ouvrages pour témoigner d'une idée qui leur tient à coeur, de dénoncer une injustice. Enfin dans une derniere partie nous vérons que la problématique n'a pas de solution. Tout d'abord, nous pouvons pensez que certains auteurs cherchent à écrire des textes qui plairont, non pas à eux même, mais au public. La comédie par exemple