Claude Gueux Injustice

auteurs afin d'exprimer leurs avis et souvent de dénoncer les injustices, les problèmes. Hugo a usé de toutes les formes de la poésie de la plus noble (épopée) à la plus familière (chansons). La littérature « miroir » de la société Au xixe siècle, le roman voulait être un miroir de la société : dénonciation des injustices sociales. Hugo, par exemple, qui dénonce la « misère » (Les Misérables) mais aussi la peine de mort (Claude Gueux ; La Dernier jour d'un condamné). Le naturalisme de Zola montre

références bibliographiques. Corpus et contenus : Séquence de seconde Bac pro 3 ans, en lettres, dans le cadre de l’objet d’étude du parcours du personnage de Claude Gueux de Victor Hugo. Séquence en première Bac pro 3 ans, en lettres, dans le cadre de l’objet d’étude sur le combat des Lumières : « le combat contre les injustices : lecture de l’œuvre intégrale de Candide de Voltaire» Revue Pratiques, résumé, notes de lectures et proposition de séances d’étude de la langue sur l’ironie et la

de Paris (1831) e) Claude Gueux (1834) f) Les Orientales (1829) © Cned, Français 3e — 73 © Cned – Académie en ligne c c Séquence 6 g) Hernani (1830) h) Ruy Blas (1838) i) Les Châtiments (1853) j) Les Contemplations (1856) 3- Voici le classement de ces titres selon le genre du livre : Théâtre Cromwell Hernani Ruy Blas Poésie Odes et Ballades Les Orientales Les Châtiments Les Contemplations Roman Le dernier jour d’un condamné Notre-Dame de Paris Claude Gueux 4- Victor Hugo rend

qu’il n’y était entré. Le châtiment ne remplit pas sa fonction de réparation, ni à l’égard du coupable, ni à l’égard de la société. C’est aussi la thèse qui soutient le court roman de Victor Hugo, Claude Gueux : les humiliations répétées que M.D, le directeur des ateliers de la prison, fait subir à Claude Gueux, poussent celui-ci à le tuer. Par ailleurs, la justice fondée que décrit Paul Ricœur suppose l’existence d’une loi au-dessus de tous et non pas un « droit » individuel ; elle suppose que le pouvoir

en chanson Nuit et brouillard dénonce la Shoah, véritable catastrophe mondiale. Enfin, Victor Hugo, exemple même de l’engagement du poète. Il s’est battu toute sa vie pour l’abolition de la peine de mort. Le Dernier Jour d'un condamné (1829) et Claude Gueux (1834), deux romans de jeunesse, soulignent à la fois la cruauté, l'injustice et l'inefficacité du châtiment suprême. Il faudra néanmoins attendre 1981 pour qu’elle soit définitivement abolie. Ses textes n’ont donc servis à rien ? Législativement

La peine de mort Hugo est farouche abolitionniste dans son enfance il a assisté à des exécutions capitales et toute sa vie il luttera contre cette peine. Il l’a combattra dans le dernier jour d’un condamné et Claude gueux. Deux romans de jeunesse soulignant à la fois cruauté, injustice et inefficacité de ce châtiment suprême. Mais la littérature ne suffi pas Hugo le sait: chambre des pères assemblé, sénat : Victor Hugo saisira toutes les tribunes pour défendre l’abolition comme dans son discours

historiques en vogue au début du XIXe siècle mais n'en sont pas vraiment ; c'est que Hugo n'est certainement pas Walter Scott ; chez lui en effet, les temps modernes pointent toujours derrière l'Histoire. Le Dernier Jour d'un condamné en 1829 et Claude Gueux en 1834 ne sont pas plus aisés à définir. Ce sont des romans à la fois historiques et sociaux qui sont, surtout, engagés dans un combat — l'abolition de la peine de mort — qui dépasse de loin le cadre de la fiction. On pourrait en dire autant des

politiques, l'argumentation directe est un outil essentiel aux auteurs littéraires pour dénoncer une injustice dans la société humaine. C'est une approche directe du problème posé qui permet aux lecteurs une réflexion rapide et peut ainsi les faire agir plus vite. Sans sous-entendus, le message de l'auteur est directement compris. Elle n'est pas toujours utilisée tout au long du récit comme dans « Claude Gueux » où Victor Hugo dénonce vigoureusement la peine de mort. L’œuvre est une nouvelle ce qui signifie

des conséquences primordiaux dans la société actuelle. Les grandes œuvres vivantes sont la source d’idées qui ont changé la société et le monde. En effet, elles montrent des exemples à suivre pour abolir des abus, des privilèges ainsi que des injustices. Ces grandes idées peuvent se réunir en 4 mots : Liberté, Raison, Tolérance et Egalité. Tout d’abord, les ouvrages écrits ont chacun une portée morale ayant pour but de créer un impact, dénoncer les inégalités : en effet, on peut voir dans « Candide »

souhaite pas forcément, il peut enfreindre le règlement. C’est le cas de L’Étranger où « à cause de cette brulure », due au Soleil, il a fait « un mouvement en avant » et a tiré sur « l’Arabe ». On peut également voir cette destinée tragique dans Claude Gueux de Victor Hugo où, ce héros éponyme, pourtant « capable, habile, intelligent, fort mal traité par l’éducation, fort bien traité par la nature, ne sachant pas lire et sachant penser », se retrouve en prison pendant cinq ans pour avoir volé un peu