Claude Gueux

(19). Les « contemplations » est la plus connue. Des romans (9) comme « le dernier jour d’un condamné » « Claude gueux » « notre dame de paris » et « les misérables ». Des pièces de théâtre (12) les plus connus étant « Hernani » et « Ruy Blas ».

Victor Hugo ne pratique pas la rhétorique politique de son temps 01 min 10 sec ;) Le combat contre la peine de mort Victor Hugo a 27 ans quand il écrit un témoignage à la première personne : « Le Dernier Jour d’un condamné », écrit en 1829 et Claude Gueux, écrit en 1834 sont les deux nouvelles qu'Hugo publia contre l'homicide légal. La forme narrative du monologue intérieur, forçant le lecteur à s’identifier avec le personnage principal, inspirera Dostoïevski «Crime et châtiment» et Camus « l'Etranger»

d’intervention en faveur de condamnés. Toute sa vie Victor Hugo a été un farouche abolitionniste. Ce combat contre la peine de mort est d'abord mené au moyen de son œuvre littéraire. Dans deux romans, Le dernier jour d'un condamné (1829) et Claude Gueux (1834), il dépeint la cruauté des exécutions capitales auxquelles il a assisté dans son enfance. S'il avoue que l'écriture l'a libéré d'une culpabilité, il ajoute, dans la préface de 1832 du dernier jour d'un condamné, que « se laver les mains

les écrivains critiquent les régimes politiques (ici le nazisme) de leur époque. Les écrivains sont alors, si l’on peut dire, la conscience de leur époque et osent le montrer, en risquant la prison, et en allant contre les politiciens. Dans « Claude Gueux », Victor Hugo s’élève contre la peine de mort. Robert Badinter dans « l’abolition », s’élève aussi contre la peine de mort. Victor Hugo a osé s’opposer à la mentalité de l’époque en montrant que ce n’était pas faire preuve d’intelligence que de

diaboliser ce châtiment en lui reprochant de porter atteinte à l’esprit d’un homme innocent qui normalement ne devrait pas être humilié, déshumanisé, il touche au à se que l’homme à de plus chère, sa dignité. Après cela on peut faire une ouverture sur, Claude Gueux, un bref roman de Victor Hugo paru en 1834 et dénonçant la peine de mort. L'histoire est en partie fondée sur des faits réels, visant à éveiller les gens, contre la peine capitale.

chef-d'œuvre, Les Misérables est un hymne à la misère et aux plus démunis. Hugo est un farouche abolitionniste. Dans son enfance, il a assisté à des exécutions capitales et toute sa vie, il luttera contre. Le Dernier Jour d'un condamné (1829) et Claude Gueux (1834), deux romans de jeunesse, soulignent à la fois la cruauté, l'injustice et l'inefficacité du châtiment suprême. Mais la littérature ne suffit pas, Hugo le sait. Chambre des Pairs, Assemblée, Sénat : Victor Hugo saisira toutes les tribunes

même si ce n’est pas un sujet très gai ! Je pense que nos informations sont complètes avec de bonnes références historiques ainsi que littéraires. Nous avons bien travaillé dans l’ensemble, avec beaucoup de sources. Bibliographie :Victor Hugo : Claude Gueux Le Dernier jour d'un condamnéAlbert Camus : L'étrangerAlphonse de Lamartine : Contre la peine de mortStephen King : La ligne verte

la mort qu'il inflige et que cela mettrait leur santé mentale en danger. Pour terminer, toutes personnes à le droit à une deuxième chance et devrait pourvoir essayer de se réhabilité dans la société. Comme Victor Hugo le démontrait dans « Claude Gueux », la justice à le devoir d'éduquer et de corriger les criminels reconnues coupables. En reversant l'argent mit pour les peine capital, des centres de réadaptation pourraient être créer. L'Homme n'est pas fondamentalement mauvais et a toujours

enfance jusqu’à sa mort. Dans quels œuvres prend-il position ? Dans Les Misérables ou encore Le dernier jour d’un condamné, il défend ses idées contre la peine de mort. Quels sont les arguments dans l’œuvre lue ? Dans Claude Gueux, son argumentation est basée sur l’abus de pouvoir (directeur de prison), l’erreur judiciaire puis le sort de la famille du condamné. Il soutient l’idée qu’il n’appartient pas à la société de punir un homme. Il est légitime qu’il veuille se protéger

sensibilisés aux questions sociales, Il se soucie de l'éducation du peuple et condamne la peine de mort dans “Le Dernier Jour d'un Condamné” (1829). En 1834, Victor Hugo dénonce à nouveau une société impitoyable pour les misérables en publiant “Claude Gueux”.