Claude Gueux

siècle (1802-1885), auteur romantique qui révolutionna le théâtre en instaurant les principes du drame romantique, poète de la Légende des siècles, romancier à qui l’on doit les œuvres fameuses de la littérature française comme les Misérables, Claude Gueux, Notre dame de Paris, homme politique impliqué dans les luttes de son époque, il publie en 1829 ce cours récit d’un Dernier jour d’un condamné et ce de façon anonyme afin que l’art ne prenne pas le pas sur le combat contre la peine de mort. Mais

spectacle est très importante car elle permet à Victor Hugo de dénoncer l’horreur de la peine de mort, en mettant en scène la joie et l’excitation des spectateurs face à la souffrance du condamné. Nous pouvons rapprocher cet extrait à celui de Claude Gueux de Victor Hugo car ce roman dénonce aussi la peine de mort.

surprend le lecteur qui n'attendait pas une telle chute; elle veut le faire adhérer à la phrase prononcée par l'enfant mais ne cherche pas à le convaincre par un raisonnement argumenté. QUESTION 6 Par ses dessins, par ses oeuvres narratives (Claude Gueux, Le Dernier Jour d'un condamné), par ses discours, Victor Hugo lutte jusqu'à la fin de ses jours contre la peine de mort. En juin 1848, il prononce à la tribune de l'Assemblée constituante la phrase que Robert Badinter reprendra en 1981 «Je

spectateur se sent concerné ou visé va rire et donc par la suite réfléchir sur ses agissements et corriger ses habitudes. Nous pouvons ajouter que ce but est également assuré par la littérature engagée, c'est-à-dire à travers des romans tels que Claude Gueux de Victor Hugo, dans lequel, le célèbre auteur s'attaque à la peine de mort et à la justice française en incluant dans son histoire réelle un personnage qui à la base était quelqu'un de tout à fait honnête mais qui se retrouve condamné à la

au premier Congrès socialiste de France, à Marseille. La peine de mort Hugo est un farouche abolitionniste. Dans son enfance, il a assisté à des exécutions capitales et toute sa vie, il luttera contre. Le dernier jour d'un condamné (1829) et Claude Gueux (1834), deux romans de jeunesse, soulignent à la fois la cruauté, l'injustice et l'inefficacité du châtiment suprême. Mais la littérature ne suffit pas, Hugo le sait. Chambre des Pairs, Assemblée, Sénat : Victor Hugo saisira toutes les tribunes

le plus connu aujourd'hui de Victoire Hugo est les misérable qui s'étale sur 5 volumes. Une partie de ses œuvres paraîtrons à titre posthume Deux des ces romans auront comme sujet la peine de mort, le dernier jour d'un condamné son 3ème roman et Claude Gueux qui est paru 5 ans après. Le Livre Le Dernier Jour d’un condamné est un roman publié en 1829 aux éditions Gosselin sans le signer, ce n'est que 3 ans plus tard qu'il y ajoute une longue préface et la signe. Il sera vivement contesté par les critiques

delà de la parodie, Hugo utilise les techniques du roman populaire en les amplifiant et subvertit les genres en les dépassant. Pour Hugo lui-même, il faut distinguer «romans de faits et romans d'analyse». Le Dernier Jour d'un condamné en 1829 et Claude Gueux en 1834 engagent une réflexion directement sociale. Dans Les Travailleurs de la mer (1866) et dans L'Homme qui rit (1869), Hugo se rapproche davantage de l'esthétique romantique du début du siècle, avec ses personnages difformes, ses monstres et

simple, c'est la question de ceux qui ont et de ceux qui n'ont pas ! ». Hugo est un farouche abolitionniste. Dans son enfance, il a assisté à des exécutions capitales et toute sa vie, il luttera contre. Le Dernier Jour d'un condamné (1829) et Claude Gueux (1834), deux romans de jeunesse, soulignent à la fois la cruauté, l'injustice et l'inefficacité du châtiment suprême. Mais la littérature ne suffit pas, Hugo le sait. Chambre des Pairs, Assemblée, Sénat : Victor Hugo saisira toutes les tribunes

célèbres et « efficaces » d'entre eux furent Victor Hugo et Albert Camus. Victor Hugo fut en effet très concerné par cette lutte, il publia deux réquisitoires d'une importance majeure contre la peine de mort : Le dernier jour d'un condamné ainsi que Claude Gueux, un roman basé sur des faits réels. Albert Camus, quant à lui, défendit cette cause dans L'étranger, publié au XXème siècle. On peut également parler de L'exécution de Robert Badinter, récit du procès de deux condamnés à mort des années 70, Bontems

ce poème est une plaidoirie dans laquelle Victor Hugo s'engage bien contre la guerre et ses ravages. On retrouve d'autres textes qui sont des plaidoiries contre tout ce qui est barbare chez l'homme, comme Le dernier Jour d'un condamné, ou encore Claude Gueux.