Cliquetis

grandes épreuves et à des événements extraordinaires, traduits ici par des procédés d’amplification comme la marque du pluriel (« les cris d’hommes blessés, les hurlements poussés pour se donner du courage, les appels à l’aide, les insultes et le cliquetis des armes. » l. 1 à 5, « Les cendrés se ruèrent » l. 6) ; la présence d’hyperboles (Ils éventrèrent les tenants de la porte cloutée et écrasèrent les gardes » l 8) et de comparaisons (« comme des ogres » l. 6, l. 9 « de tels géants » et l. 18 « comme

éléments (réseau, fils)dont la ville est faite. A travers ce lexique, le lecteur est plongé dans un univers froid et désincarné.Dans cette ville le bruit est omniprésent. Il est par moment faible et lancinant (vibration, bruissement, halètement, cliquetis), puis il est amplifié et strident (klaxons, gémissant, crissant, claquant, sifflant). Le Clézio personnifie la ville en faisant du bruit « le langage » de la ville, « sa manière de raconter son histoire ». Le champ lexicale de la vue (on voyait

electricite parcourant les reseaux de fils de laiton en murmurant sa vibration doucereuse. Bruissements des mecanismes secrets caches dans leurs boites, tic-tac des montres, ronronnement des ascenseurs montant, descendant. Haletement des velomoteurs, cliquetis des soupapes, klaxons, klaxons. Tout ca parlait son langage, racontait son histoire de bielles et de pistons. Les moteurs vivaient, au hasard, enfermes dans les capots des automobiles, degageant leur odeur d'huile et de carburant. La chaleur les

déserte, et je me disais avec complaisance : sans doute je suis le premier mortel qui ait pénétré jusqu’ici ; je me regardais presque comme un autre Colomb. Tandis que je me pavanais dans cette idée, j’entendis un peu plus loin de moi un certain cliquetis que je crus reconnaître ; j’écoute : le même bruit se répète et se multiplie. Surpris et curieux, je me lève, je perce à travers un fourré de broussailles du côté d’où venait le bruit, et dans une combe , à vingt pas du lieu même où je croyais être

Salut, Bon voici quelque petit mois (septembre environ) j’ais eu l’impression désagréable d’entre des cliquetis dans le moteur du VFR, Elle a toujours fait a froid mais ces derniers ce sont fait entendre à chaud, Tiens Quesque ca peut ty donc être …. Mon niveau d’expertise mécanique ne fait dire que ca pouvait être les jeux des soupapes … Appel à Sam qui me rétorque j’ais jamais entendu de moto qui cliqueter, ramène la !! Chose faite quelques jours plus tar, sam me dit que non elle ne cliquette

il y a les femmes, partout il y a la vie. Je voudrais y aller, c'est tentant, mais je sais que mes pieds seraient usées avant que j'y arrive, alors j'accepte mon sort. Si l'on se penche un peu plus, on entend. Il y a le trolleybus qui passe, le cliquetis des soupapes, le concert des klaxons, klaxons qui chantent et fanfaronnent. Les engrenages de cette ville folle. On entend les cris des gens aussi. Le cri du marchand, la querelle, et quelque chose que l'on entend jamais par ici : le rire cristallin

marche dans un bois, par une belle journée ensoleillée. Des arbres, un petit sentier de terre battue. Il marche et tout-à-coup une couleuvre rampe entre ses pieds. Il lève la tête et voit un vélo blanc d’enfant qui roule sans conducteur accompagné du cliquetis de sa vieille chaîne : …tiketik-ketik-ketik… De plus, des cris d’enfants se font entendre et il se met à pleuvoir des couleuvres... Étienne se réveille. 2. Étienne continue à faire ses cours et embarque toujours Alex. Cette fois les deux amis

corps qui tombent, les cris des guerriers, le son des trompettes teutoniques qui est volontairement désagréable,… Souvent, à certains points culminants de la bataille, la musique s'efface un peu pour laisser place aux cris, aux exclamations, aux cliquetis de la bande son, avant de s'y fondre à nouveau. La musique de Sergueï Prokofiev joue un rôle très important dans ce film, la musique est aussi importante que l'image. Tantôt, elle exprime le caractère dramatique de la situation, tantôt le caractère

Le jeu Dans des fauteuils fanés des courtisanes vieilles, Pâles, le sourcil peint, l’oeil câlin et fatal, Minaudant, et faisant de leurs maigres oreilles Tomber un cliquetis de pierre et de métal ; Autour des verts tapis des visages sans lèvre, Des lèvres sans couleur, des mâchoires sans dent, Et des doigts convulsés d’une infernale fièvre, Fouillant la poche vide ou le sein palpitant ; Sous de sales plafonds un rang de pâles lustres Et d’énormes quinquets projetant leurs lueurs

Eléments perturbateurs :Alice se prépare et la veille de son départ, sa voiture est volée dans son garage. Les aventures commencent avant même son départ. Son père décide de lui acheter une nouvelle voiture. Pendant leur voyage, Alice entend le cliquetis d’une bombe que le garagiste désamorce avant que la nouvelle voiture n’explose. Après plusieurs mésaventures, Alice comprend qu’elles sont poursuivies par un homme qui veut les empêcher d’aller chez leurs amis. Série d’actions :Elles arrivent enfin