Club des Cordeliers

le roi : le club des Feuillants, ce sont des modérés. Exemple : La Fayette : il est partisan de garder le roi, il est pour une évolution modérée. * ceux qui estiment que le roi est un traitre et qu’il faut le condamner : le club des Jacobins (ceux qui sont pour une évolution). C’est le début d’une division droite/gauche. Un événement va creuser le fossé : la fusillade du Champ de Mars en juillet 1791. Un club encore plus à gauche que les Jacobins est celui des Cordeliers (club très populaire)

en tenue légère dans une vitrine. La négociation se fait par gestes à travers la vitre ou à travers une fenêtre prévue à cet effet. C'est une forme de prostitution particulièrement répandue aux Pays-Bas et en Belgique. La maison close, aussi appelée club, boudoir, studio, cabaret ou sauna, permet aux filles de recevoir leurs clients. Ces maisons vont du bouge à l'établissement grand standing avec sabot de paiement par carte. Le client qui y rentre peut demander à voir les filles pour en choisir une

professionnelles nécessitant les qualités théoriques, la connaissance des oeuvres ou celle de l’histoire du cinéma acquises (programmation, écriture critique, gestion d’organismes culturels, de festivals, initiatives nationales ou actions locales). Le Ciné Club offre, tant en première qu’en deuxième année, un apport nécessaire et stimulant à l’exercice de la vision et de l’analyse des films, indispensables à la formation de Master. 9 Spécialité : Théorie, Histoire, Esthétique (R) Contenu des enseignements

jusqu'à l'apparition de l'Empire. Elle propose aussi différents modèles institutionnels. I. L'entrée en République. Le passage de la monarchie à la République se prépare dans les esprits dès l'été 1791, au lendemain de la fuite de Varennes. → club des cordeliers exige une proclamation de la République que l'Assemblée nationale refuse. Début juillet 1791 : parution du journal Le Républicain à l'initiative de Condorcet. → Thomas Paine y défend l'idée que la République est le meilleur gouvernement possible

création du club des Jacobins et de celui des cordeliers, qui, de Paris, font circuler les mots d'ordre révolutionnaires grâces à leurs 51 ramifications dans tout le pays. Le vote de la loi Le Chapelier(14juin), qui interdit aux "citoyens d'un même état ou profession" de se regrouper, affirme le caractère bourgeois de la Révolution. Le 17 juillet 1791, les sans-culottes se rassemblent sur le Champ de Marss pour soutenir la pétition de certains membres des Clubs des Jacobins et des cordeliers où ils

parler de république. Un mouvement important parmi les révolutionnaires[réf. nécessaire] commence à réclamer le départ du roi. Des Cordeliers rédigent plusieurs pétitions contre lui, soutenus par des journaux comme le Républicain. Certains Jacobins décident de suivre les Cordeliers, ce qui crée une rupture en leur sein. Une partie de leurs membres créèrent le club des Feuillants. Cependant le roi bénéficie toujours du soutien d'une importante partie de la population, comme le montre les nombreuses

familles nobles émigrent à l'étranger et préparent une contrerévolution avec l'appui des monarchies étrangères. - celle des clubs de discussion nés en 1789 et fréquentés par la petite bourgeoisie parisienne, comme le club des Jacobins où s'expriment Danton et Robespierre, ou le club des Cordeliers, dominé par Marat. Ils trouvent au contraire le régime trop conservateur, dénonçant le suffrage censitaire et le droit de véto. Mais c’est l’attitude du roi qui entraîne la chute du régime : il ne s’est jamais

révolutionnaire, d'autant plus que les forces extérieures à l'assemblée prennent de plus en plus de place : le peuple de Paris, les journalistes comme Marat, Brissot ou Desmoulins. On se retrouve dan des clubs pour discuter : le club des jacobins, le club des girondins, le club des cordeliers etc. Ces forces déborderont l'assemblée nationale. Le 3 et 14 septembre 1791, une nouvelle Constitution est adoptée, puis l'Assemblée Nationale Constituante se sépare. B. L'assemblée législative du 1 octobre 1791 au

fil du temps. Le club breton est fondé à Versailles en avril 1789 c'est-à-dire quelques jours seulement avant l’ouverture solennelle des Etats généraux. Il regroupe les députés et les citoyens bretons mais accueille par la suite une grande majorité des députés. Ce club fait office de séance préalable aux réunions de l’Assemblée Nationale. En octobre 1789, de retour à Paris, certains députés du club breton composent la société des amis de la Constitution et quittent le club ; ils s’installent alors

drapeaux qui porteront les trois couleurs de la Nation ». Mais le projet n’est pas adopté et la formule sur le moment n’est reprise par personne. Six mois plus tard, en Juin 1791, sur un sujet similaire (l’organisation des forces armées), le Club des Cordeliers reprend l’idée à son compte et propose que l’uniforme national comporte « une plaque sur le cœur portant ces mots : Liberté, Egalité, Fraternité ». Mais la proposition n’a pas plus d’écho que celle de Robespierre, la devise retombe dans l’oubli