Club des Cordeliers

et ramenée à Paris, sous les huées. Là encore, une rupture s’effectue entre le roi et sa nation. Le roi est discrédité, et fissure de plus en plus monarchie, déjà affaiblie. Le 17 juillet 1791, la fusillade du champ de Mars (manifestants du club des Cordeliers, demandant la destitution de Louis XVI sont mitraillés par la garde nationale. Rupture entre défenseurs monarchie et ceux qui en sont les adversaires. B . Une Guerre divisant les français. France menacée par souverains étrangers soutenant

décembre 1790, ni les 27 et 28 avril 1791, jours où l'Assemblée constituante discuta des gardes nationales[2]. On la retrouve également dans la bouche de Camille Desmoulins, de l'Anglais lord Stanhope et de Momoro[3]. Ce dernier la reprend au Club des Cordeliers le 29 mai 1791[2]. De même, elle est mise en avant lors la « fête de la liberté » donnée en l'honneur des Suisses de Châteauvieux le 15 avril 1792[4], et Jean-Nicolas Pache (maire de la commune de Paris), fait peindre sur les murs, le 21 juin

débat. Le plus actif et le plus influent est le club des Jacobins. Ce club est le club des révolutionnaires durs, assez marqués à gauche. Ce sont des révolutionnaires qui veulent la fin de la monarchie et qui souhaitent ouvertement l’avènement d’une République. Ce club a joué le rôle de groupe de pression qui va essayer de faire passer des réformes mais sa véritable ambition est de propager partout le patriotisme. Autre club de moindre influence, le club des Feuillants. Il rassemble des révolutionnaires

fuir la capitale. Mais le convoi est arrêté à Varennes et le roi est placé "sous surveillance du peuple" au palais des Tuileries. "L'individu royal ne peut plus être roi", déclare  Danton  au Club des Cordeliers qui réclame la République et la déchéance du roi. La pétition recueille 6 000 signatures. Après sa tentative de fuite à Varennes, le roi perd la confiance du peuple. La monarchie constitutionnelle est un échec et le roi use de son droit de veto

(1789 - 1799). La France, qui est alors le pays le plus peuplé d'Europe, connaît, pendant près de quatre-vingts ans, la paix intérieure et la prospérité économique. A mesure que l'esprit philosophique se développe, dans les salons, les cafés ou les club, l'autorité monarchique se dissout, sapée par des tentatives de réformes sans lendemain, comme par l'opposition aristocratique. Forte de sa puissance financière, la bourgeoisie d'affaires manifeste son désir d'annexer le pouvoir politique, ambition

qu'il aurait soutenu DUMOURIEZ. Le mm jour, Marat au club des Cordeliers, lance une attaque contre les Girondins. Le 12 avril, le club des Girondins demande l'arrestation de Marat. Le 24 avril il est acquitté par le Tribunal Révolutionnaire, les Girondins ont perdu le bras de fer contre les Montagnards. * Le 18 mai, les Girondins créent une "comission des 12" chargée d'enquêter sur la "Commune". * Le 22 mai, BRISSOT demande la fermeture du club des jacobins. * Le 24 mai, la Commission fait

sénéchaussées de Carcassonne, Limoux et Castelnaudary s’accordaient pour réclamer des changements quel que soit l’ordre auquel ils appartenaient. La majorité des sociétés populaires créées dans les communes fut rattachée au Club des Jacobins, de préférence au Club des Cordeliers. Le département de l’Aude apparut le 29 janvier 1790. Les divisions administratives furent modifiées par la loi du 28 pluviôse an 8, qui créa quatre arrondissements (Poincaré les réduisit à trois en 1926) et ramena le nombre

Cela entraine des conflits avec les prêtres qui s’y oppose : ce sont les prêtres réfractaires. 3. L’instabilité interne à la FranceQuelles sont les conséquences de cet événement pour la France et l’Europe ? Le Club des Jacobins et les cordeliers sont créés pour changer la France L’ingérence de la politique française. La nation semble unie lors de la fête de la fédération le 14 juillet 1790. Louis XVI déclare accepter les principes d’une monarchie constitutionnelle. Cela dit

citoyens) dont le but est de peser sur les décisions de la convention se créent. Tous les citoyens peuvent y participer. Ces clubs sont aussi appelés des lobby (en anglais). Ce sont des groupes de pression. Le club des Jacobins soutient les montagnards. De même pour le Club des Cordeliers. Le club des Feuillants lui, est plutôt monarchique ; il soutient le roi. Il y a l’apparition de la presse, même si elle existait déjà un peu avant, avec les gazettes. La vie politique c’est aussi l’émeute, la violence

contre la faction hébertiste. Il sera jugé et guillotiné juste après eux. Ebook en poche • 2010 • La Révolution française Robespierre, Maximilien (1758-1794) Orateur populaire de la Convention, membre influent du Comité de salut public et du Club des jacobins, partisan de la politique de la Terreur. Après avoir contribué à la chute des diverses factions, il est à son tour renversé par les membres des Comités de gouvernement et les députés de la Convention puis guillotiné. Saint-Just, Louis-Antoine