Club des Cordeliers

forces modérés de l’AN à partir de la fuite du Roi. Ces forces extérieures sont le peuple de Paris, les journalistes (Desmoulins, Marat, Brissot) et les clubs (dont les plus célèbres furent le club des Jacobins (parti démocrate intransigeant), le club des feuillants ou encore le club des cordeliers). Avec la fuite du roi et l’échec des réformes constitutionnelles, la monarchie constitutionnelle de la constituante n’apparaît pas viable. Il faut réviser la Constitution. Le 3-14 septembre

et se termine au coup d’Etat du 18 brumaire le 9 novembre 1799. Elle a donc duré 10 ans. Personnages de la Révolution Française DANTON (1759-1794) est un clerc à Paris en 1780 puis un avocat en 1787. Orateur par la suite, très écouté des cordeliers, son rôle devient essentiel dans l'émeute du 10 août 1792 qui renverse la monarchie. Elu à la Convention puis nommé au comité de Salut Public pour s'occuper des affaires étrangères, il s'oppose à Robespierre. Il préside la Convention en été 1793

rétablir dans ses fonctions, ceci devant l’opposition des patriotes républicains et démocrates[43] — venus surtout des Cordeliers — bien décidés à réclamer la mise en accusation du roi et l’instauration d’une république[44] en déposant une pétition au Champ-de-Mars. Cette pétition antilégaliste fournit, le 16 juillet 1791, un prétexte aux bourgeois libéraux pour rompre avec le club des Jacobins et fonder celui des Feuillants dont ils prennent le nom[45]. Le lendemain 17 juillet, à la suite d’incidents

réconcilier la royauté avec la révolution. Député général sous la Restauration, mis à la tête de la Garde nationale en juillet 1830, il fût l’un des fondateurs de la Monarchie de juillet.    DANTON  (1759-1794) : Avocat, il fonde en 1790, le club des cordeliers. Membre du Comité de salut public, il est jugé trop modéré et en est éliminé en 1793. Il réclame la fin du régime de la terreur et entreprend des négociations secrètes avec l’étranger. Accusé de malversation et de trahison par Robespierre, il

rétablir dans ses fonctions, ceci devant l’opposition des patriotes républicains et démocrates[26] — venus surtout des Cordeliers — bien décidés à réclamer la mise en accusation du roi et l’instauration d’une république[27]en déposant une pétition au Champ-de-Mars. Cette pétition antilégaliste fournit, le 16  juillet  1791, un prétexte aux bourgeois libéraux pour rompre avec le club des Jacobins et fonder celui des Feuillants dont ils prennent le nom [28]. Le lendemain 17 juillet , à la suite d’incidents

izquierda (“Cordeliers”), y una mayoría que no condena la Monarquía Constitucional (que después constituirá el grupo de los “Girondinos”). Proceden del Club “Amigos de la Constitución” (1789), que se reunía en el convento de los Jacobinos de París. Primero la fuerza residía en la burguesía monárquica constitucional. Entre 1790-91 deslizamiento hacia la izquierda y valoración de la Constitución en un sentido democrático, del que aún participaban los girondinos incluidos en el club. Dicho club cambia

orateurs seront les députés de Bordeaux Vergniaud, Guadet, Gensonné ou Grangeneuve, leur penseur sera Condorcet . Issus de la moyenne bourgeoisie et relativement modérés, ils devront tenir compte de l'extrême gauche qui regroupe des membres du club des Cordeliers (Basire, Chabot ou Merlin) et des individus isolés comme Couthon ou Carnot. • au centre le Marais (345) regroupe des constitutionnels et des partisans d'une monarchie modérée. Trois figures s'imposent d'emblée, toutes trois représentative

ces sociétés ainsi que des clubs réservés aux hommes. L’union de ces sociétés permit d’envoyer des pétitions pour l’abolition de la monarchie signé par des hommes et des femmes sans distinction, surtt après la fuite du roi (pétition des cents). Le club de femmes Amis de la Vérité (1791-1792). Fondé par Etta Palm d'Aedlers, plaide pour l'éducation des petites filles pauvres puis réclame le divorce et les droits politiques.Enfin, les salons, tenus par les femmes des milieux dirigeants, tels ceux de

l’on discute de l’actualité ou des projets de lois à l’Assemblée. Ils forment à la politique et/ou informent les citoyens. Les plus connus, car ayant donné de brillants hommes politiques à la Révolution, sont les Cordeliers (de Danton) et les Jacobins (anciennement Club Breton), club d’origine de la majorité des députés de l’Assemblée entre 1791 et 1795 dont le plus connu fut Robespierre. 2- Des femmes exclues de l’exercice du pouvoir mais à l’influence forte a)- les femmes actrices de grands

de lois à tenir compte de l’avis public. Dès les premiers temps de la Révolution, vont se créer des clubs, dont 2 importants : • le club des Cordeliers, référence au Couvent des Cordeliers, formés d’artisans, petite bourgeoisie, attacher aux principes démocratique, ce club portera aussi le titre de Société des Droits de l’Homme et du Citoyen, • le club des Jacobins, beaucoup moins démocratique que le précèdent, les membres sont souvent de grand bourgeois, il va s’organiser, se structurer