Club des Jacobins

mort, resté célèbre, le 30 mai 1791. B) La tribune des Jacobins (1791-1792) Avec la clôture de la session parlementaire, Robespierre rentra dans la vie civile le 1er Octobre 1791. Après la séance inaugurale de l'Assemblée législative, il fit un voyage vers l'Artois. Rentré à Paris le 28 Novembre, l'assemblée du club lui offrit la présidence. Pendant son absence, de nombreux députés de la nouvelle Assemblée s'étaient inscrits au Club, dont parmi eux les nouveaux députés de la future Gironde

sa naissance à la mort de son grand-père en 1785, il porte ensuite le titre de duc de Chartres. Comme son père, le duc de Chartres est un partisan de la Révolution française. Sous l'influence de sa gouvernante, Madame de Genlis, il entre au club des Jacobins. Il participe en tant que lieutenant général aux batailles de Valmy, Jemappes où il joue un rôle non négligeable en évitant la retraite du centre lors du premier assaut, et Neerwinden. (Son titre de lieutenant général au service des armées républicaines

et nationales. Surtout entre 1793 et 1794, elles ont pris le relais des élections suspendues. Le club emblématique est le club des Jacobins. On pourrait le qualifier de « proto--formation » politique car dans ce club les élus débattent directement avec les citoyens. Mais il n'est pas le seul, pour ne citer que les plus connus : le club des Cordeliers, le club des capucins, la société de 1789, le club des Feuillants... De plus, il faut bien considérer que rien n'avait été prévu matériellement pour

rapprochent fortement d’Edmund Burke. Ce régime conserverait l’essentiel pour eux: pouvoir royal fort, abolition des privilèges, système bicaméral et séparation des pouvoirs. Néanmoins, ils s’opposent à la démocratisation de la société et au «pouvoir jacobin». C’est pour cela qu’ils seront hostiles à la Déclaration des Droits (les hommes ont des devoirs et non des droits selon Bonald) et à la Constitution, Joseph de Maistres ira même jusqu’à écrire que «Plus on écrit, plus les institutions sont faibles

comtesse de Genlis . Cette dernière va lui donner une formation à la vie pratique en même temps qu’une culture plus poussée que celle des princes de ce temps. Très tôt, Louis-Philippe se lance dans l’aventure révolutionnaire en s’inscrivant au club des Jacobins en 1790. Puis il part rejoindre la Garde nationale et s’engage ainsi dans l’armée révolutionnaire. Louis-Philippe participe aux batailles de Valmy et de Jemmapes. Mais, lassé des excès de la Terreur, il déserte et passe à l’ennemi avec le général

comte d’Artois (frère du roi) Le comte de Provence (frère du roi) Partisans de la Monarchie Constit. Lafayette Mirabeau Barnave Philippe Egalité Club des Feuillants Partisans de la République Girondins : Brissot, Vergniaud, Manon Rolland, Olympe de Gouge Montagnards : Danton, Robespierre, Marat, Saint-Just, Desmoulins Clubs des Jacobins et Cordeliers Partisans de l’Empire Napoléon, Talleyrand, Fouché, Cambacérès, Lannes, Murat, Ney, Davout

pour la première fois toutes ses ressources : multiplication des points de vue, liberté de ton, ironie cruelle de la chronologie, et surtout distanciation vis-à-vis des personnages. La Révolution éclate, et Laclos, épris de liberté, rejoint le club des Jacobins. Commissaire aux armées, il prépare largement la victoire de Valmy. Mais il est bientôt arrêté... C'est la chute de Robespierre qui le sauve de l'échafaud. Réintégré dans l'armée par Bonaparte, il continue de produire quelques poèmes, mais meurt

se réunit le 21 septembre 1792 et proclame la République. Cette proclamation de la République se fait le lendemain de la victoire de Valmy (20 sept 1789) face à l’armée prussienne. Les nouveaux élus sont des députés appartenant au club des Cordeliers et jacobins (bourgeoisie révolutionnaire). → La Convention nationale élue en septembre 1792 comprend des groupes politiques rivaux  : · Derrière Jacques Brissot et des élus

des problèmes politiques et s'occupent des tâches philanthropiques. A partir de 1792, l'activité des clubs se radicalise, et aux côtés de Jacobins ces clubs prennent part à la vie politique de leur région. Parmi les plus réputés à Paris on peut citer la Société Patriotique et de Bienfaisance des Amis de la Vérité (1791-1792). Fondé par Etta Palm d'Aedlers, ce club de femmes plaide pour l'éducation des petites filles pauvres puis réclame le divorce et les droits politiques. Enfin, les salons, tenus

à Versailes en 1789 pour suivre les débats révolutionnaires. Le machisme ambiant la fait fuir à Liège, sa ville d'origine, où elle est injustement emprisonnée pour complot contre la principauté de Liège. De retour en France, elle entre au Club des jacobins (Le 26 janvier 1792). IntroductionDénonciation de la misogynie. Hyperbole : « honteuse nullité » sentiment d'inutilité, d'infériorité et d'humiliation des femmes provoqué par les hommes Énumération (en rythme ternaire en 3 temps ) : plainte