Club des Jacobins

les partisans patriotes ordres nveaux et aux changements. Les patriotes vont se diviser en 2 courants les modérés et les avancés. Naissance de la gauche et la droit. Certains vont se radicaliser (extrême gauche révolutionnaire intransigeant, les jacobins) gp de pensée. Des forces extérieurs de plus en plus intransigeant, qui vont être les journalistes qui auront un rôle imp. (Maras) extrément influent; le peuple de Paris reforme et ne fonctionne pas, monarchie constitutionnelle, est un échec.

politiques (pas encore des partis) se forment, on y partage opinions et projets politiques. Il s'agit du Club des Jacobins (originellement club des Bretons). Il prend le nom de Jacobins car il s'installe dans un couvent dominicain, appelé aussi jacobin. Leurs idées plaisent peu au peuple; on y retrouve des bourgeois. Mais il aura plus tard une grande importance (Robespierre s'y trouve). Il y a le club des Cordeliers (Franciscains) dont sa figure de proue est Danton. Au contraire de sJacobins, la cotisation

sociétés de pensé : les 35 académies de province ou il y a des débats , des concours littéraire les salons qui sont des phénomènes parisiens organiser par des femmes, on y discute il y la noblesse libérale et la bourgeoisie -les clubs parisiens : ex le club de Valois diriger par le Duc d'Orléans, la société de l'avis de noirs mené par Lafayette, -loges fromaçconique : secrètes, orienter vers la réflexion et contribue à défendre les valeurs des Lumières Les mutations de la culture populaires

parisien en l’an II, Paris 1985. Aulard, A, Paris pendant la réaction thermidorienne, le Directoire, Cerf, 1898-1902. -Paris sous le Consulat. Cerf et Noblet 1909. Paris sous le Premier Empire. Aulard, La société des jacobins, Recueil de documents pour l’histoire du Club des Jacobins De Paris, Paris Cerf, 1889-1897, 6 vol. - Braesch, Férédéric, La Commune du 10 août 1792, étude sur l’histoire de Paris du 20 juin au 2 décembre 1792, Paris, 1911. Burstin, Haim, Le faubourg Saint Marcel à l’époque révolutionnaire

divergences entre les révolutionnaires modérés et les révolutionnaire plus progressiste (a gauche)=>Le club des jacobins /girondins. Le club des jacobins qui existait depuis deux ans (1789) connait une scission avec le départ de ses éléments les plus libéraux=>Ils vont quitter se club et en créer un autre celui des Feuillants et ce club ouvertement monarchiste s’oppose au club démocrate tel que le club des cordeliers dont les principaux leaders Danton et Marat auront un rôle important le 17/07/1791=>une

l’Assemblée constituante établit les libertés fondamentales : liberté de la presse, liberté de culte, de réunion, d’association. Un esprit nouveau souffle sur le pays : on discute politique à l’Assemblée, mais aussi dans les clubs[4] comme ceux des Jacobins ou des Cordeliers à Paris. Un peu partout des journaux de diverses tendances politiques se multiplient. De 1789 à 1791, l’Assemblée élabore également la première Constitution française qui sera finalement promulguée en septembre 1791. Le

l’armée et entre au service du duc d’Orléans compme « secrétaire des commandements ». Naissance de son 2ème enfant. 1789 : Il accompagne le duc d’Orléans à Londres. 1790 : Le duc d’Orléans et Laclos rentrent à Paris. Laclos est membre du Club des Jacobins. 1793 : - Il est arrêté comme orléaniste, - Exécution du duc d’Orléans. 1794 : Laclos est libéré. 1800 : Partisan de Bonaparte, il est réintégré dans l’armée comme général d’artillerie. 1803 : Affecté à Tarente, Italie du Sud

dangereuses en 1781. L'action du roman se passe vers 1769 au moment où la France occupe la Corse. 
En 1788, Laclos se joignit aux nobles libéraux. Il entra au service du duc d'Orléans, Philippe Egalité, qui vota la mort du roi. En 1790, il entra au Club de Jacobins. Il devint général sous Napoléon et mourut en 1803 pendant la campagne d'Italie. L’AUTEUR ET L’ŒUVRE : Le public a réagit violemment à la publication en 1782 des Liaisons dangereuses, car il y détecta une satire des mœurs de la haute société

roi, le 20 et 21  juin  1791, est un des actes essentiels de la Révolution car elle démontre l’incompatibilité de la royauté et de la nation révolutionnaire et précipite le conflit intérieur[24] entraînant une division entre jacobins monarchistes constitutionnels et jacobins démocrates[25]. Ces premiers comme Bailly, La Fayette ou Barnave, pressés de terminer la Révolution mettent sur pied la thèse de l'enlèvement du roi et par les décrets du 15 et 16 juillet le font innocenter et rétablir dans ses

devait desservir une pensée unique ; de même que, chez les animaux, la vie est sans réflexion au service de l'instinct. Depuis 1793, il avait aménagé sa barbe rousse en éventail. Quand même il n'aurait pas été, pendant la Terreur, président d'un club de Jacobins, cette particularité de sa figure l'eût, à elle seule, rendu terrible à voir. Cette figure socratique à nez camus était couronnée par un très beau front, mais si bombé qu'il paraissait être en surplomb sur le visage. Les oreilles bien détachées