Cléopatre Vii

Introduction Il s’agit d’une ordonnance (acte législatif émis par une autorité compétente l’exécutif ici : l’autorité royale -> acte public royal) de Louis VII datant de 1155. Si, durant les temps féodaux dans un premier temps les princes étaient assimilés aux autres et n’avaient pas de supériorité remarquable, au cours des XIème et XII ème siècle il va y avoir un retournement de situation, en effet le roi va tenter de reconstruire sa puissance, il veut réaffirmer ses prérogatives et ne veut plus

La charte de commune accordée à Senlis en 1173 est un texte diplomatique, cette charte lie le roi Louis VII, dit Louis le Jeune et la commune de Senlis. Louis VII est le fils de Louis VI dit Louis le Gros, il fut roi de 1137 à 1180, son règne s’inscrit dans la période féodale. A partir du 12ème siècle le système féodale étant stabilisé et des institutions de paix s’étant développées (la paix de dieu et la trêve de dieu), le royaume de France connaît une forte croissance démographique, de plus grâce

Montfort, chef de l'armée des croisés. Ce dernier meurt en 1218 au cours du siège de Toulouse et son fils, Amaury VI de Montfort, prend possession de la Cité, mais se révèle incapable de la gérer. Il cède ses droits à Louis VIII de France, mais Raymond VII de Toulouse et les comtes de Foix se liguent contre lui. En 1224, Raimond II Trencavel reprend possession de la Cité après la fuite d'Amaury[32]. Une deuxième croisade est lancée par Louis VIII en 1226 et Raimond Trencavel doit fuir[33]. La Cité de

ouverture. Il est le 3ème pont le plus long de Paris, puisqu'il rejoint la Rive Droite à l'île de la Cité puis celle-ci à la Rive Gauche. Le Pont au Change. Le premier pont construit, appelé le pont du Roy, sera érigé en bois au XIème siècle. Louis VII le Jeune obligera les orfèvres et les changeurs à s'y installer en 1411. L'édifice portera ensuite les noms de Grand Pont (1273), pont à Coulons, pont aux Colombes, pont aux Meuniers, pont de la Marchandise, pont aux Marchands et pont aux Oiseaux aux

s’affranchir de sa tutelle. Tous les trois craignent qu’Henri II attribue une partie de leurs principautés à leur frère cadet Jean en raison principalement de ce manque d’héritage. Ils prennent les armes contre leur père avec l’aide également du roi Louis VII de France et des noblesses poitevines et limousines. Malgré quelques actions d'éclats, comme la prise de Rouen, les trois frères sont défaits en 1174, et Aliénor est faite prisonnière par son époux. Après s’être soumis à son père, il se retourne

Introduction générale : Nous allons vous expliquer l'absolutisme religieux dans la société et ses conséquences dans le royaume français. Tout d'abord, il y a les différentes décisions prises par le roi pour diriger l'Église comme il le désirait . Ensuite, nous allons aborder le sujet suivant : le rejet des religions telle que le jansénisme et le protestanisme et de leurs respectives conséquences sur les pratiquants. En conséquence le roi a réagit à cette augmentation en révoquant l'Édit de Nantes

vers Abraamios, et d'autres désertaient l'établissement de son maître, non seulement à cause de sa science et de ses capacités d'enseignement, mais surtout en raison de son affabilité, de sa vie sainte et de son aspect divin. L'empereur Constantin VII Porphyrogénète le transféra dans un autre établissement; mais, comme les disciples s'attachaient à lui plus fort que le lierre au chêne, pour ne pas être cause de scandale et de rivalité avec son ancien maître, Abraamios — qui considérait les honneurs

Le Jansénisme est un courant de pensée qui, au sein de l'Eglise catholique, se présente comme l'interprétation fidèle de la pensée de saint Augustin sur la Grâce et la Prédestination. Il se caractérise aussi par l'exigence d'une grande pureté et d'une certaine rigueur de la pratique religieuse. Ces conceptions se heurtèrent aux idées plus optimistes des Jésuites, qui accordaient davantage à la liberté humaine. L'un des principaux théâtres de la lutte entre les deux théories fut, à la fin du XVIe

1er avril 1204[], à Poitiers, a été reine de France, puis d’Angleterre. Duchesse d’Aquitaine, elle occupe une place centrale dans les relations entre les royaumes de France et d’Angleterre au XIIe siècle : elle épouse successivement le roi de France Louis VII, à qui elle donne deux filles, puis Henri Plantagenêt, le futur roi d’Angleterre Henri II, renversant ainsi le rapport des forces en apportant ses terres à l’un puis à l’autre des deux souverains. Depuis son premier mariage pendant lequel elle a participé

(«J'ai cru épouser un homme, non un moine», aurait-elle confiée). Le roi Louis VII le Jeune devait son surnom à ce qu'il était le fils cadet de Louis VI le Gros. Il avait été élevé à l'abbaye de Saint-Denis car il n'était pas destiné à régner avant que ne meure son frère Philippe. De son éducation, il avait gardé l'empreinte monastique et peu de goût pour les armes. De retour en France, brouillée avec Louis VII, Aliénor obtient le divorce sous le vague prétexte d'une parenté trop proche (cousinage