Cnossos

babylonienne   -1558 * L’empire egyptien domine la région. 18eme dynastie - Capitale Thèbes ; * Premiers heurts avec les Hittites et les Mitanniens.   -1520 * Chine des Shang   -1500 * les Olmèques   -1450 * Destruction de Cnossos capitale de la crète   -1372 * Aménophis IV Tente de supprimer le culte d’Amon pour le remplacer par le culte d’Aton. * Il change son nom en Akhénaton (fondateur du monothéisme il serait le fondateur de la grande fraternité blanche dont

Crétois vont devenir des transporteurs de la Méditerranée. Dès le 1er millénaire Avt-JC, la Crète est maîtresse de tous les trafiques en méditerranée. Les crétois avoir une utilisation très particulière : la cité palais. C’est un Etat. Ville de Cnossos, ville d’Hercule, c’est le palais du Minotaure. Spécificité : le Dédale.( nom de l’architecte) . Ont inventé la salle de bain : eu courante, évacuation des eaux…… Cité incroyablement riche. Institution de Cité-Etat-Palais. S’est développé une civilisation

nous nous faisons, à tort ou à raison, d'une civilisation « autre », où tout viserait à la beauté et à la joie de vivre, où la guerre même n'aurait pas de place (en tout cas, pas de fortifications autour des villes crétoises). Sur les fresques de Cnossos, le prêtre-roi marche parmi les lys, des femmes aux robes claires, jaunes, bleues et blanches, aux seins nus, dansent devant un large public assis sous des oliviers bleus. Des acrobates aux corps fins jouent entre les cornes d'un taureau... » 1

réussit à sortir du labyrinthe à l’aide du célèbre fil. Fou de rage, Minos enferma Dédale dans le labyrinthe, mais il parvint à s’enfuir en se fabriquant une paire d’ailes en cire. À sa mort, Minos devint l’un des juges d’Hadès. Le palais minoen de Cnossos était très vaste et c’est peut-être ce qui inspira le mythe du labyrinthe. Colère monstrueuse Adoration : Héra Lieu de recherche : Temple Amélioration : Augmente les attaques tranchantes, perçantes et écrasantes de toutes les unités mythiques

nouveaux des foules, et c’est notre émotion qui nous dira si les vieux pressentiments des hommes ne les avaient pas trompés. Si les rudes idoles, les bijoux, les vases, les morceaux de bas-reliefs, les peintures effacées que nous avons trouvés à Cnossos en Crète, à Tirynthe et à Mycènes en Argolide nous troublent à ce point, c’est précisément parce que ceux qui les ont laissés sont restés plus mystérieux pour nous et qu’il est réconfortant de constater, à propos de ces êtres inconnus, que sous la

musées (Le Caire, Le Louvre notamment), des pyramides, des mastabas et des monuments principaux de Giseh, Abou Simbel, Assouan, Edfou, Louxor, Memphis, Sakkarah et Thèbes. • Le monde égéen : la civilisation crétoise au travers de Mycènes et Cnossos et l’art cycladique. • La Grèce classique : Caractères, proportions, ordres au travers de l’art à Athènes - La sculpture grecque et son évolution. Le monde hellénistique. • Le monde romain : - L’architecture romaine : caractère et monuments.

mythologique fondateur 7. Un « dédale » est un synonyme du mot « labyrinthe » ; c’est un lieu où l’on s’égare à cause de la complication de ses détours. Le nom « dédale » vient du fait que l’architecte et inventeur Dédale a imaginé le labyrinthe de Cnossos en Crète pour y enfermer le monstre Minotaure, né des amours d’un taureau et de la reine Pasiphaé. 8. La « flûte champêtre » (l. 14) se nomme « syrinx » ou « flûte de Pan », du nom du dieu de la Nature signifiant « Tout », qui en est l’inventeur

de rois et de chefs, non pas des hommes, mais des êtres d’une espèce plus divine et meilleure… ». Lois, 713c-714c 25 Lois, VII, 797bc 26 République II, 380e-381a 28 Lois, XI, 917a 24 23 28 s’agit en l’occurrence de colons qui, partis de Cnossos, en Crète, vont fonder une colonie sur le continent. L’idéal serait une communauté quasi fusionnelle; mais on ne peut que s’approcher de cet idéal 29 .L’aspiration la plus haute dans cet Etat, c’est que tout soit commun : « les femmes sont

folklore d'après Phèdre", Mythologie et mythe dans le théâtre français, Genève, Droz, 1986. Émelina, Jean, "Racine et Quinault: de Bellérophon à Phèdre", [in] Hommage à Jean Onimus, Les Belles Lettres, 1979, p. 71-81. Fumaroli, Marc, "Entre Athènes et Cnossos; les dieux païens dans Phèdre", Revue d'histoire littéraire de la France, 1993, p. 30-61 et 172-190. Hall, Gaston H., "À propos de Phèdre. Quatre schémas mythologiques", [in] La Mythologie au XVIIme siècle, C. Faisant et L. Godard de Donville éd

célèbre restant celui du roi Minos à Cnossos. Les Grecs le surnommèrent le « labyrinthe », car on s’y perdait. On y devine une civilisation extrêmement raffinée, avec des peintures joyeuses, aux couleurs vives, ornées de très belles femmes (dont l’une si élégante que les archéologues l’ont appelée la « Parisienne »). La double hache, le labrys, était l’emblème du roi Minos. Les Romains reprendront ce symbole, qui figure encore sur nos passeports. Le palais de Cnossos était fabuleux, avec ses courtisanes